Twenty one MBA students from American universities, including Harvard, Yale, Rice, Cornell, and Sloan as well as three students from Mexico visit for briefing on business relations

Des étudiants du MBA de 21 universités américaines, y compris Harvard, Yale, Rice, Cornell et Sloan, ainsi que trois étudiants du mexique sont à Ottawa du 31 mai au 5 juin afin de participer à une semaine de séances d’information intensives sur les relations d’affaires entre le Canada, les Etats-Unis et le Mexique.

Le Canadian Leadership Orientation Program est organisé par l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa à l’intention d’étudiants à la maîtrise en administration des affaires aux Etats-Unis et au Mexique. Les participants assistent à des exposés donnés par des représentants d’entreprises canadiennes de premier plan, du gouvernement et d’associations nationales à Ottawa et à Montréal.

« La relation commerciale entre le Canada et les États-Unis, affirme Micheál Kelly, doyen de l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa et cofondateur du programme, est la plus importante au monde et aura une incidence sur la carrière professionnelle de ces diplômés en affaires. Tous ceux qui aspirent à une carrière dans ce domaine devraient comprendre la structure des marchés canadiens et américains et les relations politiques et commerciales entre les deux pays. Les connaissances acquises dans ce programme feront d’eux de meilleurs gens d’affaires. »

Le programme a été lancé à titre expérimental en 2005. Seulement 24 étudiants sont invités à y participer chaque année.

Selon le doyen Micheál Kelly, qui a joué un rôle de premier plan dans l’élaboration du programme, limiter le nombre de participants améliore l’interaction et l’apprentissage : « C’est un programme spécial qui restera gravé dans la mémoire des étudiants et qui aidera à former leur carrière. »

Les partenaires fondateurs du programme − l’Université d’Ottawa, l’Association des études canadiennes aux États Unis et HEC Montréal − ont mis sur pied cette initiative pour que la prochaine génération de chefs d’entreprise américains et mexicains connaisse mieux le Canada.