Jeune donatrice de l'année
Sarah Parr
Mes années à Telfer m’ont appris l’importance de travailler fort et de repousser mes limites. Peu de temps après avoir reçu mon diplôme, j’ai obtenu le titre de vérificatrice interne autorisée (CIA). Pour moi, c’était un réel accomplissement. Au fil des années, cela a continué à m’ouvrir des portes et à m’offrir de nombreuses opportunités sur le plan professionnel. La croissance continue et l’apprentissage sont pour moi des valeurs essentielles, c’est pourquoi il est si important pour moi de redonner à Telfer un peu de ce qu’elle m’a offert, et c’est pour moi un réel honneur de recevoir ce prix. Cela démontre qu’il n’est pas nécessaire d’attendre des années pour faire une différence.
BÉNÉVOLE DE L'ANNÉE
Jodie Harrison
Je suis de nature extravertie, j’aime travailler avec les gens et avoir l’occasion de créer un impact. C’est d’ailleurs ce que j’ai aimé à Telfer : la possibilité de rencontrer d’autres professionnels et de côtoyer des mentors. Cette connexion est importante. C’est pour ces raisons que je suis une bénévole. Avec le Programme de mentorat par les cadres, nous avons la possibilité de prendre un étudiant sous notre aile, de le conseiller sur le développement de sa carrière. À titre de Présidente du 24e tournoi annuel de golf de Telfer, j’ai également participé à la création d’un fond en vue d’offrir une bourse d’admission à l’École. Je suis honorée et reconnaissante d’avoir l’occasion de redonner et appuyer la génération future.
DONATRICE FIDÈLE DE L'ANNÉE
Marie Fortier
J’ai débuté des études en commerce, mais en 1969, j’ai découvert l’existence de la Maîtrise en Administration de la Santé, et je n’ai plus jamais remis ce choix en question. J’ai accompli mes 10 premières années de carrière avec beaucoup de satisfaction. Cependant ma contribution se limitait à une seule ville. J’ai alors accepté un emploi subalterne dans le domaine de la santé autochtone. Cela m’a incité à développer une vision nationale. Cette approche m’a servie dans mon rôle de sous-ministre déléguée, puis sous-ministre auprès des communautés des langues minoritaires, avec comme résultat la prospérité des organisations qui continuent aujourd’hui à faire une différence. Je suis extrêmement fière de ces réalisations. C’est la principale raison pour laquelle on m’a remis l’Ordre du Canada en 2016. Je me sens à la fois humble et reconnaissante d’avoir obtenu cette distinction prestigieuse.