Sophia Leong, directrice du programme MBA pour cadres Telfer, a représenté l'École le 21 novembre 2013, lors de la Journée de Startup Canada sur la Colline du Parlement. Le thème de la journée, Entrepreneurship Empowers Everyone, a été cimenté par le nombre d'intervenants de marque qui se sont succédé hier. Cette manifestation a été animée en partenariat avec le ministre d'État chargé de la petite entreprise, l'honorable Maxime Bernier, et a attiré près de 800 participants tout au long de la journée. La journée a commencé par l'intervention de Sir Terence Matthews et a été ponctuée de discussions sur tous les aspects de l'entrepreneuriat par des leaders des trois piliers de l'entrepreneuriat : les pouvoirs publics, l'industrie et le milieu universitaire. La soirée s'est terminée sur les leçons de Brett Wilson, l'un des dragons de la version anglaise de l'émission à succès de Radio Canada Dans l'œil du dragon. Trois mots ont lié les unes aux autres les idées véhiculées au cours de cette intense journée d'activités : mouvement, collaboration et culture.
« L'entrepreneuriat doit constituer un mouvement. » La directrice du programme MBA pour cadres Telfer, Sophia Leong, a renforcé cette affirmation pendant la table ronde de l'après-midi et a lancé un appel à l'action : « Arrêtons de parler et commençons à agir. »
L'entrepreneuriat a besoin de collaboration. Startup Canada veut rassembler l'ensemble des activités innovantes et des centres novateurs en une plateforme de collaboration unie, de manière à créer un écosystème entrepreneurial efficace dans lequel les trois piliers principaux de l'entrepreneuriat appuient et encouragent fermement les activités entrepreneuriales.
L'entrepreneuriat doit devenir une culture. Grâce à Startup Canada, le mouvement s'amorce dans la bonne direction. Si l'on veut encourager cette culture entrepreneuriale, elle doit être inculquée dès le plus jeune âge. Il fait transmettre l'esprit d'entreprise aux enfants à travers l'école, mais aussi pendant les repas en famille. En outre, ils doivent voir l'entrepreneuriat comme une profession viable alors qu'ils avancent vers le monde adulte.