Pourquoi un échange à l’international est bon pour vous
écrit par Nishwa Chaudhry
Étudiante de 2e année en gestion internationale
C’est une occasion qui risque de ne se présenter à vous qu’une seule fois au cours de votre vie.
Non, cette occasion fait plus que se présenter à vous : en fait, vous êtes encouragé à la saisir.
C’est l’occasion de découvrir de nouveaux pays, de nouvelles villes, de nouvelles personnes. Un nouveau monde.
Et le tout vous est offert sur un plateau d’argent par l’Université d’Ottawa.
Le programme d’échange international peut sembler intimidant, mais n’oubliez pas : pour la majorité des étudiants, l’occasion d’étudier un trimestre (ou plus) à l’étranger au cours de l’année scolaire risque de ne pas – voire jamais – se présenter à nouveau une fois les études terminées. Naturellement, il est possible que vous preniez des vacances et fassiez des voyages dans le futur, mais le fait de vivre seul dans un pays étranger, parmi des gens et dans des lieux dont on a seulement entendu parler ou que l’on a seulement vus dans les livres ou à l’écran procure un sentiment tout à fait différent. C’est peut-être la seule fois dans votre existence où vous vivrez un tel amalgame d’émerveillement et d’exploration.
Ce qu’il y a de merveilleux dans un échange, c’est que ce n’est ni un luxe, ni égoïste. L’Université d’Ottawa encourage ses étudiants à participer au programme pour faire l’expérience de ce que les participants ont qualifié de « période transformative » de leur vie.
C’est une affaire en or, non ?
La possibilité d’apercevoir la tour Eiffel par la fenêtre tous les matins.
L’enchantement face au soleil couchant, tard le soir à Budapest.
La joie de faire votre jogging quotidien dans les rues de Milan, fourmillantes d’activité.
L’émerveillement devant l’architecture d’Amsterdam.
L’excitation ressentie à la découverte de la Singapore University of Technology and Design.
La brise soufflant dans vos cheveux alors que vous roulez à bicyclette en Nouvelle‑Zélande.
Le sourire s’esquissant sur votre visage lorsque vous goûtez pour la première fois à une gaufre belge.
C’est ça, la beauté d’un échange à l’international.