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Reem El Attar a une histoire à raconter sur les expériences interpersonnelles des immigrants au travail

Femme souriante

Malgré les initiatives mises en place pour promouvoir la diversité et l’inclusion au travail, les immigrants continuent de se buter à beaucoup de discrimination. Par exemple, il est fréquent que l’on manque de courtoisie à leur égard ou qu’ils vivent des interactions personnelles négatives. Les chercheurs en savent encore très peu sur les incidences de ces expériences sur le bien-être des immigrants au travail.

Dans son mémoire, Reem El Attar, étudiante à la maîtrise ès science en gestion, souhaitait révéler ces lacunes en matière de recherche. Dans une courte vidéo, elle explique les effets possibles des interactions personnelles négatives au travail sur le bien-être à long terme des immigrants. La recherche de Reem est financée par le Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier.

Produite par Anas Abdaljawwad 

« Je trouve qu’il est très gratifiant de savoir que ma recherche pourrait contribuer à améliorer le bien-être des immigrants racisés », explique Reem.

Pour en savoir plus sur la maîtrise ès sciences en gestion de l’École de gestion Telfer.