MBA pour cadres de Telfer: Comment accélérer votre chemin vers une désignation CMC
Le titre de conseillère ou conseiller en management certifié (CMC) est un gage d’expertise, de professionnalisme et d’éthique dans le secteur du service-conseil en gestion. Pour ceux et celles qui souhaitent se démarquer, en particulier dans des marchés concurrentiels, le titre de CMC renforce la crédibilité et peut ouvrir la voie à de nouveaux débouchés. Stéphane Raby, diplômé du programme de MBA pour cadres de Telfer, explique comment celui-ci lui a permis d’obtenir rapidement ce titre.
De bonnes raisons d’obtenir le titre de CMC
Deux grandes raisons ont motivé Stéphane Raby à demander la certification de CMC-Canada. D’abord, parce que l’association défend ses membres auprès du gouvernement fédéral. « Si vous suivez l’actualité, vous aurez certainement entendu parler de projets de consultation qui ont mal tourné pour le gouvernement fédéral, explique Stéphane. Moi, ça m’a incité à obtenir le titre de CMC afin de promouvoir des services-conseils éthiques et dignes de confiance. » Il a été séduit par la façon dont CMC-Canada met de l’avant l’éthique et la qualité des services dans ce domaine, de sorte que la clientèle soit servie par des conseillères et conseillers certifiés qui suivent une méthode structurée.
Sa deuxième motivation? Le fait que le titre de CMC lui ouvrirait l’accès au financement du Programme d’aide à la recherche industrielle du CNRC, qui appuie des missions de consultation modestes (40 heures de service). Il pourrait ainsi travailler avec de petites entreprises, sur de petits projets, sans écarter la possibilité d’entreprendre de gros projets plus tard.
Des procédures de certification simplifiées grâce au MBA pour cadres

Fort de ses 30 ans d’expérience dans le domaine, Stéphane Raby possédait déjà une grande expertise en matière de service-conseil, mais son MBA pour cadres de l’École de gestion Telfer, à l’Université d’Ottawa, a considérablement accéléré l’obtention de son titre de CMC. « Pour être CMC, il faut suivre six cours à temps plein, produire trois rapports et passer un examen oral, explique-t-il. Toutefois, comme le programme de MBA pour cadres de Telfer est reconnu par CMC-Canada, les personnes qui l’ont suivi sont dispensées des six cours parce qu’il couvre le même contenu, ce qui nous fait économiser du temps et de l’argent. »
M. Raby ajoute que ses cours du MBA pour cadres lui ont permis d’acquérir des connaissances fondamentales directement applicables au processus de certification. Par exemple, la méthodologie de consultation qui y est enseignée reflète le processus de consultation en cinq étapes exigé pour la certification par CMC-Canada. Par conséquent, lorsqu’est venu le temps de préparer des rapports de consultation pour le CMC, il était déjà à l’aise avec la structure de ces rapports et projets. Il avait tous les atouts en main pour répondre aux exigences de la certification.
Les projets de consultation du MBA pour cadres : un tremplin pour l’obtention du titre de CMC
Le programme du MBA pour cadres de Telfer présente un autre avantage de taille, soit la réalisation de six projets de consultation concrets avec de vrais clients. Non seulement ces projets préparent les participantes et participants à s’attaquer à des problèmes réels, mais ils sont également pris en compte dans le calcul des heures de consultation requises pour la certification (à condition d’être réalisés dans les trois ans qui précèdent la demande de certification). « Si vous postulez au titre de CMC dans les trois ans suivant l’obtention de votre MBA pour cadres, les projets de consultation du programme sont comptabilisés dans le nombre d’heures de consultation requises, fait observer Stéphane Raby. C’est un avantage pour répondre aux critères d’expérience. »
De plus, pour s’être exercé à appliquer la méthodologie de consultation à maintes reprises pendant ses études, M. Raby a pu discuter des missions de consultation sans effort pendant l’examen oral de CMC-Canada. Cette aisance lui a conféré un avantage certain pour mettre en valeur son expertise devant le comité de certification.
Un titre professionnel qui mène loin
Stéphane Raby souligne que l’obtention de son MBA pour cadres et du titre de CMC lui a ouvert des portes dans le monde du service-conseil. Son diplôme lui avait déjà permis de nouer des partenariats professionnels, notamment de décrocher un rôle de conseiller auprès d’une entreprise technologique en démarrage, mais aujourd’hui, grâce à son titre de CMC, il a accès à un nouvel éventail de possibilités, notamment au financement du Programme d’aide à la recherche industrielle et à un réseau étendu de services-conseils. « Après avoir obtenu mon titre de CMC, j’ai reçu un message de Gregory Richards, vice-doyen aux programmes professionnels de deuxième cycle, qui me souhaitait la bienvenue parmi les CMC, se souvient-il. C’était spécial d’être accueilli dans cette nouvelle communauté par un membre de mon réseau du MBA pour cadres. » Gregory Richards détient le titre de CMC depuis plus de 20 ans et a été nommé Fellow CMC de l’association.
En plus de la reconnaissance professionnelle et de la crédibilité que lui confère son titre de CMC, Stéphane Raby a désormais accès à une foule de ressources, dont des études de marché, des modèles pour les cadres et des rabais grâce aux partenariats de CMC-Canada. Plus important encore, le titre de CMC est reconnu dans 50 pays. Il offre donc de formidables débouchés à l’international pour ceux et celles qui souhaiteraient percer ce marché. Qui plus est, CMC-Canada aide ses membres à obtenir un visa pour mener des projets de consultation à l’étranger.
La combinaison d’un MBA pour cadres et d’un titre de CMC offre donc un avantage tangible dans le monde compétitif des services-conseils. Si le programme de MBA pour cadres de Telfer fournit de solides connaissances du milieu des affaires et une expérience pratique du service-conseil, le titre de CMC vient, quant à lui, confirmer cette expertise grâce à un processus de certification rigoureux. Mis ensemble, ces titres de compétence renforcent la crédibilité, élargissent les réseaux professionnels et ouvrent de nouvelles possibilités d’avancement professionnel.