Le programme de MBA pour cadres de Telfer séduit des professionnelles et professionnels de Toronto
La décision de suivre un programme de MBA pour cadres ne se prend pas à la légère; elle est souvent mue par le désir de se perfectionner, d’élargir son champ de compétences ou de faire progresser sa carrière. Les raisons sont aussi diversifiées que les expériences personnelles. Quatre Torontoises et Torontois nous expliquent ce qui les a incités à s’éloigner de leur ville de résidence pour réaliser le MBA pour cadres de Telfer à l’Université d’Ottawa.
À chaque personne ses motivations
Ces quatre diplômées et diplômés du programme ont des bagages bien différents et leurs propres raisons d’avoir entrepris un MBA. Syeda Afrina, diplômée en sciences, s’est lancée dans le secteur des finances et souhaitait aiguiser son sens des affaires. De son côté, Aidin Kerem, conseiller chevronné en affaires et en technologies, sentait le besoin de solidifier ses assises pour servir une clientèle haut placée. Une professionnelle de l’immobilier qui préfère garder l’anonymat voulait mieux s’y retrouver dans le monde des affaires toujours changeant, surtout dans les domaines des technologies et des affaires internationales. Enfin, Scott Johnston souhaitait abattre les obstacles à son avancement professionnel dans l’établissement d’enseignement supérieur où il travaille.
Lorsqu’elle a décidé de s’inscrire à un programme de MBA pour cadres, Syeda Afrina a fait des recherches approfondies et comparé les différentes offres à Toronto, à Ottawa et en Colombie-Britannique. De même, les trois autres diplômées et diplômés ont soupesé quatre options avant de choisir Telfer. Scott Johnston précise avoir évalué tous les programmes offerts à Toronto avant de choisir celui-ci sur la recommandation d’un ami.Étudier à Ottawa : une décision motivée par différents facteurs
Toutes ces personnes établies à Toronto ont préféré le programme de MBA pour cadres de Telfer à Ottawa pour différentes raisons. Syeda Afrina, qui a passé la majeure partie de sa vie dans la métropole, souhaitait découvrir une nouvelle ville et a été séduite par le style du programme. « Étant l’unique soutien financier de ma famille, je voulais un programme abordable, exhaustif et relativement proche de mon domicile, explique-t-elle. Le MBA pour cadres de Telfer offrait le programme le plus complet au meilleur rapport qualité-prix, et je pouvais assez facilement faire les allers-retours à Ottawa. » De plus, les occasions de réseautage dans la capitale du Canada, la bonne réputation de ce programme chaudement recommandé, son coût abordable et les projets de consultation sont autant de facteurs ayant fait pencher la balance pour les quatre diplômées et diplômés.
Quelques défis logistiques
Il va de soi que le choix d’étudier dans une autre ville comporte son lot de défis logistiques sur le plan du transport, de l’hébergement et de la gestion du temps. Chacune de ces quatre personnes a trouvé divers moyens de remédier à ces problèmes. « Une fois admise, j’ai communiqué avec les responsables de plusieurs hôtels à Ottawa pour voir s’il était possible de louer une chambre à prix fixe pour la durée du programme, note Syeda Afrina. J’ai obtenu quelques offres concurrentielles. » Scott Johnston a lui aussi trouvé des solutions efficaces aux questions du transport et de l’hébergement. « J’ai utilisé une carte étudiante de VIA Rail pour tous mes déplacements, dit-il. Et j’ai loué une chambre dans un logement en colocation avec des étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs de l’Université d’Ottawa. » En ce qui concerne la gestion du temps, les quatre personnes ont profité de leurs trajets entre les deux villes pour faire des lectures, terminer des travaux et se préparer à leurs cours. Elles ont aussi réservé des blocs de temps dans leur agenda pour leurs études.
Le coût des études : Ottawa ou Toronto?
Nos quatre professionnelles et professionnels sont unanimes : contre toute attente, le coût total des études à Ottawa – qui englobe les droits de scolarité, les déplacements, les repas, l’hébergement et les menues dépenses – est moins élevé que les seuls droits de scolarité à Toronto. D’ailleurs, le montant inférieur de ces droits à Ottawa compense le temps et l’argent investis dans les déplacements.
L’idée d’étudier à des kilomètres de son lieu de travail semble illogique de prime abord, et pourtant, le fait de se constituer de nouveaux réseaux professionnels à Ottawa comporte l’avantage de diversifier ses relations et de multiplier les possibilités.
Un modèle d’apprentissage hybride
Au moment où trois de ces quatre personnes ont entrepris leurs études, le programme de MBA pour cadres de Telfer n’était offert qu’en présentiel. Il est maintenant offert en mode hybride, soit en personne, en ligne ou une combinaison des deux. Les quatre diplômées et diplômés auraient bien aimé pouvoir étudier en ligne, surtout les jours de tempête ou quand leur charge de travail était plus importante, mais reconnaissent du même souffle la valeur irremplaçable des relations et des activités de réseautage en personne, sans compter l’apprentissage pratique en situation réelle. « Le modèle hybride aurait été plus pratique pour moi, mais je me serais tout de même rendu régulièrement à Ottawa pour les cours, car je tiens à rencontrer des gens », souligne Aidin Kerem. Scott Johnston abonde dans le même sens : « Le modèle en ligne comporte ses avantages, mais rien ne remplacera les rencontres en chair et en os. Les activités de réseautage et les conversations durant les pauses étaient des plus enrichissantes. Le mode hybride aurait été idéal durant les périodes où j’avais beaucoup de travail, mais sans conteste, je n’aurais pas pu me passer des cours et des relations en personne. »
Le choix d’un programme de MBA pour cadres dans une autre ville
Si on leur avait donné la possibilité de revenir sur leur décision, les quatre professionnelles et professionnels de Toronto affirment sans équivoque que leur choix se serait tout de même arrêté sur le programme de MBA pour cadres de Telfer. « Bien que Toronto soit considérée comme le centre financier de la province, je pense que bon nombre de propriétaires de petites et moyennes entreprises gagneraient à élargir leurs connaissances des affaires, surtout en ce qui a trait à la stratégie et à la croissance, estime Aidin Kerem. D’après mes recherches, le programme de Telfer se distingue par l’étendue des sujets couverts et son utilité pour les personnes de tous les secteurs d’affaires. » « Ça ne fait aucun doute, j’aurais quand même choisi Telfer, affirme Scott Johnston. Le programme a élargi mon champ de compétences et m’a procuré une expérience d’apprentissage hors pair. Je suis très reconnaissant aux membres du personnel de soutien et du corps professoral pour leur dévouement. »
Si vous désirez, vous aussi, suivre un programme de MBA pour cadres pour approfondir vos compétences en affaires, ne limitez pas votre recherche à votre ville. Vous pourriez découvrir des possibilités insoupçonnées plus compatibles avec votre budget et vos objectifs.