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- Catégorie : Analytique d’affaires et performance
Les investissements dans les analyses de mégadonnées ne donnent pas nécessairement de mégaretombées. Deux chercheurs de l’École de gestion Telfer explorent comment tirer une valeur accrue de ces initiatives.
Dans une nouvelle recherche financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), les professeurs Ajax Persaud et Sandra Schillo de l’École de gestion Telfer chercheront à savoir si les petites et moyennes entreprises (PME) sont prêtes à tirer profit de la manne de données qui sont à leur disposition.
La même rengaine bourdonne aux oreilles des dirigeants de petites entreprises depuis des années. Les PME qui maîtrisent les mégadonnées seront en mesure de jouer dans les ligues majeures. Les PME qui obtiennent les bonnes données pointues et les aptitudes analytiques qu’il faut seront mieux en mesure de prendre les bonnes décisions dans le nouvel univers des médias numériques. Pourtant, la moitié des projets de mégadonnées tombent à l’eau. Que peuvent faire les PME ?
« La plupart des PME abordent les projets d’analyse de mégadonnées avec beaucoup de prudence, et on ne peut pas vraiment les blâmer », confie la professeure Schillo. En effet, on ne sait pas encore bien comment tirer toute la valeur de ces initiatives. « C’est une grande source d’inquiétude actuellement, parce qu’il est essentiel pour le Canada que ces entreprises demeurent à l’affût de l’analyse des mégadonnées pour rester concurrentielles à l’échelle mondiale. »
Le professeur Persaud ajoute que « L’analyse des mégadonnées devient rapidement un axe majeur pour les dirigeants d’entreprises, la principale préoccupation étant d’extraire la valeur maximale des données importantes. Cela transformera la gouvernance d’entreprise et la prise de décision. » Cette transformation est tellement rapide que, selon les prédictions du Big Data Consortium du Canada, nous connaîtrons bientôt une grave pénurie d’employés possédant le bon ensemble de compétences dans ce domaine. « En quelques années à peine, la capacité à stocker, saisir, traiter et analyser cette information a pris une grande importance stratégique pour les entreprises, explique Persaud. Elles se demandent toutes comment utiliser ces aptitudes à leur avantage. »
Il ajoute cependant que l’analyse des mégadonnées pose toujours un bien grand risque pour la plupart des petites entreprises, même pour celles qui souhaitent plus que tout profiter de leurs retombées et qui ont les ressources pour le faire. « La capture et l'extraction des données n’ajoutent pas automatiquement à la valeur ou à de meilleures décisions: les bonnes personnes possédant les bonnes compétences sont nécessaires pour générer des connaissances précieuses et la gestion doit agir de manière stratégique pour exploiter la valeur des connaissances. »
Dans le cadre de leur étude, les chercheurs de Telfer utiliseront des méthodes qualitatives et quantitatives pour évaluer si les PME sont prêtes à tirer parti des mégadonnées. Si la plupart des recherches dans ce domaine s’intéressent surtout aux technologies qui les entourent, les professeurs Persaud et Schillo, eux, souhaitent explorer les processus, les stratégies et les ressources de gestion de l’analyse des mégadonnées. Parallèlement, ils contribueront à la création de cadres de travail, d’échelles et d’indicateurs qui, à leur tour, éclaireront leur côté « gestion ». Ils s’attendent à produire des idées concrètes sur la question, au profit des PME canadiennes, du domaine de la gestion universitaire et du milieu des décideurs publics en matière d’entrepreneuriat.
Selon les chercheurs, comme toutes les initiatives qui visent à préparer les PME à exploiter les mégadonnées pour accroître leur compétitivité, leur étude s’aventure sur un terrain miné. Mais une chose est sûre : en raison de l’importance des PME pour l’économie et compte tenu de la promesse des mégadonnées, il est maintenant temps d’aider les entreprises à ouvrir le coffre-fort qui leur permettra d’accéder à cette richesse. « D’un côté, il y a ceux qui sont très euphoriques à propos des avantages de l’analyse des mégadonnées pour les PME. De l’autre, il y a ceux qui prônent la prudence pour éviter aux entreprises de subir de lourdes pertes », indique la professeure Schillo. « Mais il est probable qu’aucun des deux groupes ne soit très près de la réalité, ajoute le professeur Persaud. Nous espérons que notre recherche permettra de dresser un portrait réaliste de la situation. »
- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
Cette page est pour le cours de fusion entrepreneuriale de 2018. Pour plus d'informations sur la session à venir, visitez la page de cette année.
Le cours de premier cycle « Fusion entrepreneuriale » est une initiative de l’École de gestion Telfer qui rassemble des collaborateurs de tout le campus pour mettre en place, gérer et offrir un cours d’un semestre avec crédits pour développer votre entreprise sur une période de 13 semaines.
Le cours « Fusion entrepreneuriale » sera un catalyseur de votre projet d’entreprise; vous pourrez consulter des mentors externes lors de séances thématiques et vous aurez aussi des périodes fréquentes d’accès au « laboratoire » pour que vous puissiez vous concentrer sur votre entreprise.
- Votre projet sera évalué à l’aide d’un sondage préliminaire et d’une entrevue afin de déterminer où vous en êtes avec votre projet et de fixer des objectifs.
- À la fin du cours, vous passerez une entrevue pour mesurer les progrès réalisés.
- Trois présentations à clichés obligatoires toutes les deux semaines vous permettront d’améliorer vos habiletés de présentation et de recueillir des commentaires précieux auprès des professeurs, des mentors et des pairs.
Une entrevue et un processus d’admission assureront que seulement les étudiants intéressés par l’entrepreneuriat seront acceptés.
Le cours et offert en anglais seulement. Le cours se tiendra les jeudis de 16 h à 19 h cet hiver. Il y aura 25 places disponibles. Les équipes formées d’étudiants sont admissibles au cours, cependant, l’inscription de tous les membres des équipes n’est pas nécessaire. La date limite pour soumettre sa candidature est le 12 décembre 2017.
Pour de plus amples renseignements ou pour soumettre votre candidature, veuillez communiquer avec Stephen Daze.
- Catégorie : Annonces Telfer
Pour visualiser la cérémonie d’inauguration officielle cliquez ici!
Vous pouvez consulter et télécharger les photos de la soirée sur notre page Flickr.
Après 25 années dans les locaux du World Exchange Plaza, notre centre dynamique et en croissance vient de déménager dans un tout nouvel édifice d’enseignement de classe mondiale situé au 99, rue Bank.
Les nouvelles installations du Centre de leadership pour cadres donnent sur l’atrium rénové et disposent de salles de classe spacieuses et éclairés. De plus, les candidats et instructeurs auront accès à plusieurs différentes salles de réunions ainsi que des zones de réseautages.
Les Programmes de perfectionnement du leadership pour cadres de Telfer sont offerts au Centre de leadership pour cadres :
Récemment classé en première place au monde entier par « CEO Magazine », notre programme de MBA pour cadres offre une plus-value visant trois aspects distincts : le leadership d’entreprise, l’incidence organisationnelle et la valeur pour la collectivité. Ce programme mondial, concret et pertinent, basé sur la Série Signature de six projets de consultation d’affaires, vise les professionnels cherchant à obtenir une expérience sur le marché international et les compétences en leadership nécessaires pour prospérer dans l’économie mondiale d’aujourd’hui.
Notre maîtrise en affaires de leadership de projets complexes, qui a été lancé en 2016, est un programme spécialisé conçu pour permettre aux participants d’acquérir les compétences approfondies et la confiance requises pour devenir un dirigeant efficace et obtenir d’excellents résultats. Il sera possible de mettre en application les vastes connaissances acquises dans divers domaines, notamment les projets complexes d’acquisition d’immobilisations, la mise en œuvre de programmes, la transformation des activités, les initiatives de technologie de l’information et la commercialisation de la recherche et du développement.
Notre vaste éventail de programmes de perfectionnement du leadership pour cadres, élaboré en partenariat avec des membres accomplis du corps professoral, des cadres en résidence de l’École de gestion Telfer, des praticiens experts de l’industrie et des penseurs reconnus à l’échelle mondiale provenant d’établissements d’enseignement partenaires, permet aux dirigeants émergents d’acquérir des connaissances et des compétences approfondies qu’ils peuvent immédiatement mettre en pratique dans leur vie professionnelle.
- Catégorie : Gestion des systèmes de santé
Une enquête pancanadienne unique en son genre lève le voile sur les comportements des aînés envers les technologies de la santé.
Titre du projet
IT Innovation and the Elderly: Technology Acceptance and Use in the Community
Chercheuse
Mirou Jaana, École Telfer
Subvention à l’appui de la recherche
Subventions Savoir du CRSH
Période
2017-2020
La professeure Mirou Jaana a entrepris une nouvelle étude qui permettra d’obtenir des données nationales sur l’utilisation des technologies de télémonitorage par les personnes âgées. Cette recherche est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).
Les technologies de télémonitorage (appelé aussi télésoins à domicile) existent depuis des dizaines d’années, mais on en sait peu sur les facteurs qui favorisent leur acceptation et leur utilisation. Selon Mirou Jaana, ces connaissances permettraient aux fournisseurs de soins de santé et aux décideurs de rédiger des lignes directrices sur la façon la plus avantageuse pour les patients de recourir au télémonitorage.
Dans le cadre du premier volet de son étude, la chercheuse et ses collègues mènent une enquête pancanadienne auprès de personnes âgées en vue d’évaluer leurs attitudes et comportements envers la technologie. L’enquête étudiera différentes applications générales de cybersanté, en plus de technologies spécialisées pour l’utilisation à domicile telles que les montres intelligentes, qui ont fait l’objet d’une attention accrue au courant des dernières années. Dans un second volet, la professeure Jaana et son équipe se pencheront sur les facteurs qui contribuent à l’acceptation et à l’utilisation de technologies de télémonitorage par les personnes âgées.
Si le look et le confort de ces technologies sont en constante évolution, leurs fonctions de base n’ont pas beaucoup changé, confie la professeure Jaana : « Ces technologies visent essentiellement à établir un lien entre un fournisseur de soins ou un responsable de dossier et un patient qui vit dans la communauté (p.Ex., chez lui ou dans une maison de retraite) et exige une attention et un suivi important. » Exemple : un patient qui souffre d’insuffisance cardiaque porte un appareil qui transmet de l’information sur les variations de son poids. En fonction de ces renseignements, l’infirmière pourra ajuster les médicaments du patient. Ce dépistage précoce de la détérioration de l’état du patient présente des avantages importants en empêchant les complications risquées et en évitant les visites inutiles dans les hôpitaux. Ceci est particulièrement important dans le cas des patients âgés.
Portant sur les facteurs d’acceptation de la technologie, la nouvelle étude de la professeure Jaana se fondera sur les résultats de ses recherches antérieures qui révélaient que le télémonitorage offrait de nombreux bienfaits aux patients âgés atteints d’une maladie chronique. En effet, le télémonitorage a des effets positifs importants sur les patients en ce qui a trait à leurs compétences de soins personnels et à leur gestion de maladies chroniques. « En mettant l’accent sur les facteurs d’acceptation, notre recherche révèlera les obstacles et les facilitateurs potentiels qui peuvent permettre une utilisation plus efficace du télémonitorage chez les patients âgés avec des problèmes instables », poursuit Mirou Jaana. Le télémonitorage soutient une intervention rapide en identifiant l’état de santé des patients, qu’ils ne remarqueraient pas par eux-mêmes, et ce avant que les complications ne nécessitent une visite à l’hôpital.
« Le domaine du télémonitorage prend de la maturité, mais il faut encore recueillir des données empiriques sur l’intégration de ces technologies dans le cadre des lignes directrices, souligne la professeure. En raison du vieillissement de la population, nous avons la responsabilité de comprendre les besoins des personnes âgées et de profiter des outils et des technologies qui les soutiennent, comme les applications de cybersanté. »
- Catégorie : Actualités
En matière de développement durable, les petites et moyennes entreprises innovent de façon multiple et subtile, observe Martine Spence. (Photo : Andrea Campbell / Université d'Ottawa)
Qu'il s'agisse de mode, d'alimentation ou de services, les consommateurs privilégient de plus en plus le local, le responsable, le bio et le réutilisable… Le développement durable n'est plus un concept abstrait : il trouve sa place dans toutes les sphères du quotidien.
Effet de mode ou réelle prise de conscience? Quoi qu'il en soit, les entreprises n'y échappent pas. C'est ce que constate Martine Spence, professeure de marketing et d'entrepreneuriat à l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa.
Depuis 10 ans, elle étudie les pratiques de développement durable et l'engagement social des petites et moyennes entreprises (PME). « Les PME contribuent de manière importante à l'économie des pays, elles y créent la majorité des emplois. Leur impact sur l'environnement et la société n'est pas négligeable, explique la chercheuse, qui s'intéresse à ces structures depuis longtemps. J'ai grandi dans le Sud de la France, où il y avait beaucoup de petits entrepreneurs. Pendant mes études de commerce, les grandes entreprises me paraissaient trop abstraites, trop politiques… Les PME, au contraire, sont menées par des gens qui adorent leur métier. Cela m'a toujours intriguée. »
Comment les PME embrassent-elles les pratiques de développement durable? Quelles sont leurs motivations et quels obstacles doivent-elles surmonter? Martine Spence analyse leurs comportements sur trois axes : respect de l'environnement, respect des personnes et respect de la communauté.
« Ce que nous avons constaté, c'est que le degré d'engagement dépend de la volonté de l'entrepreneur. Ce sont les citoyens sensibles à ces questions dans la sphère privée qui mènent leur entreprise le plus loin en termes de responsabilité sociale et environnementale », résume-t-elle.
Qu'il s'agisse d'éteindre les ordinateurs le soir, d'installer des thermostats éconergétiques, de favoriser les transports actifs ou d'investir dans des technologies moins énergivores, les PME n'hésitent pas à implanter des pratiques « vertes ». « Ces entreprises sont particulièrement innovantes; elles sont flexibles, n'ont pas d'actionnaires et peuvent ainsi rapidement réorienter leur stratégie », observe Mme Spence.
Les investissements ne les effraient pas, au contraire. « Quand les PME embarquent, elles innovent beaucoup : elles savent qu'il va y avoir un retour positif », ajoute-t-elle, soulignant que, pour la plupart des entrepreneurs, l'objectif premier n'est pas de faire de l'argent, mais plutôt d'être actifs dans la communauté et de nourrir leur passion.
Qu'en est-il ailleurs dans le monde? Les défis sont-ils les mêmes partout? La chercheuse, qui travaille sur l'internationalisation de ces entreprises et fait partie de l'Observatoire international du développement durable en PME rattaché à l'Université de Montpellier, en France, a récemment comparé des PME situées au Canada, au Cameroun et en Tunisie. Son constat? « Le développement durable n'est pas encore incrusté dans les mentalités du Sud, même si certains entrepreneurs tunisiens y voient des possibilités commerciales. Ces pratiques peuvent les aider à faire affaire avec l'Europe. »
Les entreprises n'y sont pas moins engagées dans la communauté pour autant. « Certaines donnent par exemple un mouton à la communauté pour l'Aïd, dit-elle. Leur engagement social est inné, plutôt mû par la religion. » À l'heure de la mondialisation, ces observations montrent que la généralisation du développement durable ne se fera qu'en tenant compte du contexte socioculturel. Et que l'inspiration peut venir de partout, du Nord comme du Sud.
par Marine Corniou
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Inscrivez-vous dès aujourd'hui pour participer au concours de thèse de 10 minutes organisé par Sprott School of Business, l'École de gestion Telfer et le Département des sciences administratives de l'Université de Québec en Outaouais ! Le 29 septembre, vous aurez la possibilité de concurrencer avec vos pairs-es pour 6 000 $ en prix.
Pour participer, écrivez une soumission d'une page avec votre superviseur-e. Trois soumissions seront choisies par institution pour participer à la finale du Concours de thèse de 10 minutes à l'Université Carleton le 29 septembre.
Si votre proposition n’est pas retenue comme finaliste, vous êtes invités à l'utiliser pour contribuer à une exposition d'affiches qui se tiendra juste avant le Concours de thèse.
Pourquoi un Concours de thèse de 10 minutes ?
À ce stade de votre carrière universitaire, vous êtes probablement bien au fait de la structure de présentation académique traditionnelle : problème de recherche, cadre théorique, méthodologie, résultats et conclusions - dans cet ordre. Que vous souhaitiez adhérer à cette structure pour la plupart des présentations ne nous surprend pas. Nous comprenons l’importance de ceci dans votre formation académique.
Mais il existe une autre compétence importante pour les jeunes chercheurs : la capacité de communiquer l'impact et l'importance du travail de recherche, et ce en utilisant un langage clair, simple et accessible à monsieur et madame Tout le monde. Ainsi, avec le Concours de thèse de 10 minutes Telfer-Sprott-UQO, nous demandons aux présentateurs d'abandonner la structure de présentation académique traditionnelle. Au lieu de cela, trouvez un moyen alternatif de présenter votre projet de manière à ce qu'un praticien comprenne. Expliquez ce qui est novateur dans votre projet et l'impact potentiel de la recherche. Racontez une histoire. Recherchez des moyens créatifs pour expliquer comment et pourquoi votre recherche importe.
Règles
Étudiants-es/programmes éligibles
- Ph.D. in Management - Sprott School
- Doctorat en administration, D.B.A. - gestion de projet, UQO
- Informatique et génie informatique - Étudiants inscrits dans le programme de Doctorat en sciences et technologies de l'information, UQO
- Doctorat en gestion - École de gestion Telfer
- Doctorat en technologies des affaires électroniques - École de gestion Telfer
- M.Sc. en gestion , M.Sc. en systèmes de santé, M.Sc. en technologies des affaires électroniques - École de gestion Telfer
Les étudiants-es qui ont présenté lors du Forum Telfer-Sprott-UQO de mai 2016 sont également éligibles, à condition qu'ils présentent une nouvelle soumission / proposition.
Comment participer
Préparez une soumission d'une page avec votre superviseur-e. Inclure le contenu qui serait généralement inclus dans une présentation de type académique, mais dans un format différent - qui met en évidence ce qui est innovant dans votre projet et son impact potentiel. Nous recherchons des façons créatives d'expliquer comment et pourquoi la recherche compte.
Concours de thèse - sommaire
- Chaque établissement sélectionnera 3 étudiants-es comme finaliste pour présenter au concours.
- Chaque présentation ne doit pas dépasser 10 minutes.
- Les présentateurs seront évalués sur leur capacité à transmettre l'importance de leur recherche avec clarté et impact
- 6 000 $ en prix attribués. 1er prix - 3 000 $; 2e prix - 2 000 $; 3ème prix - 1 000 $
Dates importantes
31 juillet - l'étudiant-e soumet son avis d'intention de participer
18 Août - date d'échéance pour les propositions d'une page, préparées conjointement par l'étudiant-e et son/sa superviseur-e
Au début de septembre - l'École Telfer, l'École Sprott et l'UQO auront chacun choisi leurs trois présentateurs
29 septembre – Concours de thèse de 10 minutes et exposition d’affiches à Sprott School of Business
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Plusieurs équipes de la classe de 2018 du MBA pour cadres écrivent à propos de leur expérience à Silicon Valley dans le cadre du projet de consultation en matière d'innovation et d'entrepreneuriat. Les blogues sont disponibles en anglais seulement.
Monday is about Finding the Right Problem to Solve
Written by Joanne Gardner, Team Procyon
Tuesday is about Making It Happen
Vlog by Darren Fleming, Team Kentaurus
Wednesday is about translating the value from technology, risk and employees into success
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(dans le sens horaire à partir de la gauche) : Carolyn Montague de Perfocus Management Inc.; professeurs Jonathan Calof et Stephane Tywoniak; Jake Jacobson de Babcock Canada Inc.; James Maloney, député; Joe Armstrong de CAE; et Yasmin Ratansi, député.
L’École de gestion Telfer continue d’influencer l’avenir de la gestion des mégaprojets grâce à des travaux de recherche d’avant-garde et à son leadership. Le dernier exemple de ce leadership est la participation du professeur Stephane Tywoniak à un débat de spécialistes sur le leadership de projets complexes organisé par le Centre Pearson pour des politiques progressistes.
Devant des représentants du gouvernement, d’entreprises et d’associations industrielles, le professeur Tywoniak a déclaré qu’il existe un consensus mondial à propos de la nécessité de redéfinir les approches traditionnelles de la passation de marchés dans le cadre de mégaprojets et d’acquisitions importantes. Les mégaprojets posent des défis toujours plus complexes aux gouvernements, ici et à l’étranger. À la suite de quoi, il a fait un compte rendu d’une série de tables rondes sur la gestion de projets complexes qui ont réuni quelque 300 dirigeants des secteurs public et privé d’Australie, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis.
L’exposé de Tywoniak a ouvert la porte à un débat de spécialistes, de députés et de cadres supérieurs provenant de CAE, de Babcock Canada Inc. et de Perfocus Management Inc.
L’événement se déroulait le 18 mai au cœur de la cité parlementaire. L’événement s’inscrivait dans le cycle de rencontres sur l’économie de demain du Centre Pearson, dirigé par Jonathan Calof, un autre professeur de l’École Telfer, et par Yasmin Ratansi, députée et vice-présidente du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires.
Lire la suite : http://www.thepearsoncentre.ca/platform/managing-mega-projects-may18/
Pour en savoir plus sur le leadership de projets complexes à l’École de gestion Telfer [en anglais seulement]
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Le professeur Samir Saadi représentera l’École Telfer au sein d’une équipe de chercheurs de premier plan devant scruter les pratiques de fusion et d’acquisition d’entreprises dans le cadre d’un atelier de recherche canado-israélien. Interdisciplinaire et interuniversitaire, cet atelier se concentrera sur les éléments de réussite des fusions et des acquisitions au Canada et en Israël, à un moment où les deux pays cherchent à tirer plus de valeur des réorganisations de sociétés de ce type. C’est le Halbert Centre for Canadian Studies de l’Université hébraïque de Jérusalem qui financera l’atelier.
Professeur agrégé de finance, l’expertise de recherche de Samir Saadi porte sur les activités de fusion et d’acquisition d’entreprises de hautes technologies et sur le rôle et le pouvoir des PDG durant ce type de transactions. Dans le cadre de ce projet, son expertise aidera à mieux comprendre les obstacles à venir quant à la réussite de ces transactions au Canada et en Israël. Cette initiative voit le jour à un moment où des entreprises canadiennes et israéliennes se trouvent souvent dans la mire d’acheteurs et où, par conséquent, l’amélioration des résultats de ces transactions a un impact sur la productivité des entreprises, les employés et sur l’adoption potentielle de nouvelles technologies ou d’expertises.
Bâtissez votre entreprise et obtenez des crédits de cours grâce au cours « Fusion entrepreneuriale »
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Dans le but de mieux canaliser la motivation des étudiants qui ont l’esprit d’entreprise, l’École de gestion Telfer, en collaboration avec la Faculté de génie et la Faculté des arts, a récemment combiné des projets d’entrepreneuriat à des crédits de cours. Le cours « Fusion entrepreneuriale » est une initiative à l’échelle du campus qui mise sur les ressources de démarrage d’entreprise de l’Université et de la collectivité pour aider les étudiants à développer leurs entreprises dans le cadre d’un cours avec crédits d’une durée de 13 semaines.
« Le cours, qui se veut essentiellement un incubateur auquel sont assortis des crédits de cours, offre d’importantes occasions aux étudiants qui cherchent à mettre leur entreprise sur pied et qui souhaitent tirer profit des ressources externes et de celles offertes par l’Université, déclare Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick. À deux reprises au cours du semestre, les participants présentent leur projet d’affaires à des juges externes dans l’espoir de se voir décerner un prix en argent. »
Les étudiants présentent une demande en vue d’être admis au programme. Leurs entreprises font alors l’objet d’un examen afin de déterminer à quelle étape elles se trouvent et d’établir ce que les étudiants seront en mesure d’accomplir pendant le semestre. À la fin du cours, les étudiants font une dernière présentation et font état de leurs progrès pour mettre en relief les travaux qu’ils ont accomplis pendant le semestre. Les présentations obligatoires toutes les deux semaines permettront aux étudiants de peaufiner leurs techniques de présentation et de recueillir de précieux commentaires auprès de leurs professeurs, de leurs mentors externes et de leurs pairs.
Microbright, par exemple, est une entreprise en démarrage qui se sert des microbes naturellement présents dans l’environnement pour éliminer les métaux toxiques provenant d’activités minières qui se trouvent dans l’eau. « Le cours “Fusion entrepreneuriale” m’a aidé à comprendre, d’un point de vue commercial, comment il faut s’y prendre pour connaître du succès avec une entreprise en démarrage. Ce cours m’a donné les outils et le mentorat auxquels je n’aurais pas eu accès autrement », explique Daniel Grégoire, candidat au doctorat à la Faculté des sciences et l’un des fondateurs de Microbright.
L’entreprise Eephorea, quant à elle, vise à répondre aux besoins de l’industrie du divertissement grâce à la production et à la promotion d’expériences de divertissement en temps réel. « Si les gens se déplacent pour assister à un événement d’une durée de plusieurs heures, pourquoi ne pas leur offrir des activités intéressantes en plus des têtes d’affiche? Des activités simples, comme des dégustations, des danseurs acrobatiques, des accessoires pour prise de photos et des expositions visuelles intrigantes, peuvent nettement rehausser l’expérience des invités et rendre un événement encore plus inoubliable, affirme Zachary Princi, étudiant à l’École de gestion Telfer. Le cours “Fusion entrepreneuriale” m’a permis de consacrer plus de temps à mon entreprise sans pour autant nuire à mes études. »
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le programme et pour découvrir comment vous pouvez vous inscrire à la session d’hiver 2018, veuillez communiquer avec Stephen Daze.
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L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez