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Kelly Medora Elliott (B.Com. 2005) est une partenaire d’affaires à la firme de droit mondiale Dentons dans les services immobiliers, financiers et bancaires. En plus de sa pratique du droit, où elle procure des conseils légaux et stratégiques aux clients, Kelly occupe le poste de Directeur de Support à la Pratique et l’Optimisation de la région canadienne.
Naturellement ambitieuse et axée sur sa carrière, Kelly aime occuper des postes de leadership de plus en plus importants à Dentons, où elle dirige de nombreuses opérations commerciales et gère un large éventail de projets centrés sur les clients. Plus récemment, les travaux de Kelly à la tête de l’équipe d’appui et d’optimisation de la pratique, composée de 20 personnes, ont permis à la firme de s’adapter en ce qui concerne sa gestion. Pour ce faire, Kelly a eu recours aux leçons fondamentales du monde des affaires qu’elle a apprises à Telfer.
Kelly a été nommée récipiendaire du prix Forty Under 40 du Ottawa Business Journal, qui rend hommage aux chefs d’entreprise prospères et émergents de la région de la capitale nationale. Ceci est une démonstration de son succès à Dentons, de son profil professionnel impressionnant et de son engagement personnel à guider et à influencer les jeunes femmes de son réseau.
Depuis qu’elle est jeune, Kelly est passionnée par le monde des affaires. Elle se souvient de ses conversations sur sa carrière avec Professeur Koppel, qui font partie de ses meilleurs souvenirs de son passage à Telfer. À l’approche de sa collation des grades, elle savait qu’elle voulait poursuivre ses études. Éventuellement, elle a décidé d’étudier le droit à McGill.
Les femmes tenant des postes de leadership importants, comme la PDG et la directrice générale de Dentons, Beth Wilson et Andrea Nicholls, respectivement, inspirent Kelly. Sa volonté de voir les femmes participer à la prise de décision dans des grandes organisations l’a motivée à atteindre ses propres objectifs professionnels.
Kelly conseille aux récents diplômés de ne pas être trop exigeants envers eux-mêmes, et de ne jamais abandonner leurs rêves. Nous devons nous fixer des objectifs afin de viser haut, tout en affrontant les difficultés et les erreurs qui nous confronteront en cours de route, dit-elle. Ce qui est primordial, selon elle, c’est d’apprendre de ses erreurs et de ne jamais laisser tomber durant les périodes difficiles, en suivant les conseils de ses mentors lorsqu’ils nous encouragent à persévérer.
Étant donné ses réalisations impressionnantes et son succès dans son domaine si tôt dans son parcours professionnel, Kelly Elliott laissera sans aucun doute sa marque dans la pratique du droit au Canada.
Connectez-vous avec Kelly Elliott sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/kellymedoraelliott/
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Leader stratégique, développeur et bâtisseur, François Vaqué est un homme d’affaires accompli dont le parcours professionnel a été enrichi par son MBA de l’École de gestion Telfer.
Détenant un baccalauréat en Commerce international de Rouen et en Sciences économiques de l’Université du Québec à Montréal, François a choisi de poursuivre ses études à Telfer en raison de la diversité de ses étudiants et de l’expertise de son corps professoral.
Le programme de MBA a donné à François l’opportunité de rencontrer des employeurs potentiels, ce qui lui a permis de travailler à Newbridge Networks et de participer à l’élaboration de sa fonction marketing. Par la suite, François a travaillé en tant que chef de produit à Future Electronics avant de lancer sa propre entreprise nommée Marketingisland.com. Ses expériences de travail lui ont donné le savoir-faire requis pour aboutir à son poste de vice-président du marketing et des communications pour KPMG et Davies Ward Philips & Vineberg. Ces postes prestigieux ont renforcé la réputation de François en tant que professionnel ayant une vaste expertise en communication et marketing, pour finalement aboutir à son poste de vice-président des relations publiques et affaires corporatives chez Citoyen.
Bien que François détient une carrière active et fructueuse, il croit fortement en l’importance d’équilibrer sa vie professionnelle et personnelle. « Ce qui compte pour moi c’est d’être travaillant, d’avoir une belle carrière tout en essayant de trouver un équilibre dans ma vie personnelle et familiale. » explique François. Il a développé cette perspective lors de ses études à Telfer, car sa cohorte lui a montré qu’on peut travailler fort tout en ayant du plaisir. François est inspiré par l’engagement social, ce pourquoi il redonne à la communauté par le biais de fondations axées sur les arts. De plus, il s’engage avec son alma mater en organisant des événements pour les diplômés et en donnant des conférences à Telfer pour montrer sa reconnaissance à la faculté qui l’a formé.
Il encourage les étudiants à s’engager, que ce soit dans des organisations à but non lucratif, avec la famille ou au travail dans le but d’avoir une vie équilibrée et enrichissante.
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En tant qu’aspirant entrepreneur, Cyril Moukarzel était à la recherche d’une école qui lui permettrait d'acquérir les compétences nécessaires pour créer et gérer une entreprise prospère. Il était attiré par la réputation internationale et l’expertise du corps professoral de l’École Telfer, ainsi que par son solide réseau de diplômés. Ces éléments ont fait de Telfer le choix évident pour lui.
L’école Telfer a eu un impact considérable sur la vie professionnelle et personnelle de Cyril. Ses professeurs l'ont guidé dans son cheminement professionnel et lui ont fourni les compétences nécessaires pour réussir dans le monde des affaires. En effet, c'est avec l'aide du professeur Gurprit Kindra qu'il a changé sa majeure de l'entrepreneuriat au marketing. Cette décision a eu un impact significatif sur sa carrière, car il a pu en apprendre plus sur le marketing numérique, ce qui lui a permis de démarrer les startups à partir de 0 et faire de celles-ci des entreprises générant des revenus. En outre, durant son temps à Telfer, Cyril s’est fait plusieurs expériences inoubliables, comme lorsqu’il a remporté la première place à la compétition « Elevator Pitch » de Telfer. Cet accomplissement lui a donné la validation et la motivation qu’il avait besoin pour poursuivre une carrière en entrepreneuriat.
Lorsqu’on lui a demandé comment l'École Telfer a contribué à son développement personnel, Cyril a expliqué en quoi l'École lui a permis de lancer sa carrière d'entrepreneur. C'est grâce à l'École Telfer qu'il a pu participer au « Startup Garage Accelerator ». Ce programme lui a permis d’obtenir les fonds nécessaires pour lancer sa première startup. La startup, appelée eCelery, est un marché en ligne où les gourmands affamés peuvent commander des repas ethniques authentiques faits par des chefs dans leurs propres cuisines. Sans ce programme et l’École Telfer, Cyril n’aurait pas été en mesure d’agrandir sa start-up à 40 chefs et d’obtenir des centaines de ventes mensuelles en quelques mois. Cyril a également expliqué que les personnes qu’il a rencontrées au cours de ses études l’ont aidé à se rendre où il est aujourd'hui.
Après eCelery, Cyril a travaillé comme chef de Marketing pour plusieurs startups, où il a été chargé de d’agrandir leurs ventes et leur clientèle. Il a également participé au programme « Techstars Accelerator » à Berlin pendant 3 mois, ce qui l'a aidé à perfectionner ses compétences en marketing et en entrepreneuriat avant qu'il ne puisse commencer sa prochaine entreprise. Cyril aspire à créer un impact positif et à changer le monde avec ses compagnies. Il atteint cet objectif avec sa compagnie actuelle, LifeDNA. LifeDNA est une compagnie de génomique personnelle qui analyse votre ADN et crée un régime personnalisé de suppléments diététiques basé sur votre génétique unique. Avec une équipe en pleine croissance et certains des meilleurs conseillers, LifeDNA a créé la gamme de suppléments la plus personnalisée au monde. À cet égard, Cyril se rappelle du fait que Telfer l'a mis en contact avec la communauté de l'Entrepreneuriat à Ottawa et lui a enseigné des compétences essentielles en affaires, ce qui l'a aidé à avoir cet impact positif.
Connectez-vous avec Cyril sur LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/cyrilmoukarzel/
Pour plus d'informations sur LifeDNA, visitez: https://www.lifedna.com/
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Chaque année, le Ottawa Business Journal (OBJ) rend hommage aux chefs d’entreprise prospères et émergents de la région de la capitale nationale en les nommant sur leur liste « Forty Under 40 ». Ces pionniers représentent la diversité économique, l’esprit d’entreprise, et l’avenir du monde des affaires dynamique de Ottawa.
Parmi les récipiendaires de cette année, cinq sont des diplômés de l’Université d’Ottawa, dont une a étudié à l’École de Gestion Telfer. L’École Telfer souhaite féliciter Kelly Medora Elliott pour cet accomplissement impressionnant.
Après ses études à l’École de Gestion Telfer, Kelly a poursuivi son parcours scolaire en Droit. Elle est devenue partenaire à Dentons, firme d’avocats traitant l’immobilier, le développement de projets, et les services bancaires et financiers. Sa capacité à penser et agir stratégiquement, tout comme ses incroyables compétences de leadership, l’ont mené à son nouveau rôle en tant que Directeur de Support à la Pratique et l’Optimisation pour la région canadienne de sa firme. Ceux qui la connaissent sont d’accord que ses habiletés organisationnelles et son éthique de travail ont grandement contribué à son succès, et lui ont permis de devenir l’un des meilleurs avocats du Canada.
Cliquez ici pour en savoir plus sur Kelly Medora Elliott »
L’École de gestion Telfer souhaite également féliciter Amy Lynn Friesen, Christina Kathelyn Black, Ian Duff Bingeman, et François de Bellefeuille, tous diplômés de l’Université d’Ottawa et figurant sur la liste convoitée.
Cette année, le gala des prix « Forty Under 40 » aura lieu le 21 juin 2019 à l’hôtel Hilton Lac-Leamy. Le programme de MBA pour cadres de l'École Telfer fait partie des commanditaires de cet événement, où seront servis des cocktails et de la cuisine raffinée, le tout accompagné par de la musique et de la danse.
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Vers une culture d’entraide
Je suis arrivée à l’École Telfer il y a presque 30 ans en tant que jeune étudiante, incertaine de mes compétences. Je n’avais nullement besoin de m’inquiéter : mes professeurs m’ont donné tous les outils dont j’avais besoin pour réussir. Mieux encore, ils ont éveillé en moi une confiance dont je n’avais pas conscience – l’assurance de me voir dans un poste de haut niveau, d’être la dirigeante d’une organisation prospère et d’améliorer les conditions de ma collectivité grâce à des dons.
J’ai donc fait de cette vision une réalité, en devenant une haute dirigeante dans l’une des premières banques en importance au Canada et en contribuant activement à de nombreux organismes de bienfaisance. Pourtant, en gravissant les échelons professionnels, j’ai pu constater qu’il y avait encore moins de femmes en philanthropie qu’il n’y en avait dans des postes de direction. Des générations d’hommes ont pu s’appuyer sur d’autres hommes en tant que mentors et guides dans leurs vies professionnelles, mais les femmes n’ont pas eu ce luxe, que ce soit en tant que cadres ou en tant que philanthropes.
J’ai décidé de changer cela. Pour offrir aux femmes de carrière en devenir les modèles dont elles avaient besoin, j’ai commencé à agir à titre de mentore en matière de philanthropie. À mesure que ces dernières jeunes femmes s’impliquaient de plus en plus en tant que philanthropes, elles devenaient mentores à leur tour. Nous avons créé une communauté féminine qui encourage d’autres femmes à cultiver la générosité parallèlement à leurs réussites professionnelles. Lentement, mais sûrement, ce groupe grandissant de femmes a ouvert la voie à des relations basées sur l’entraide.
Notre travail est loin d’être terminé. Nous devons nous assurer que les femmes continuent d’avoir des exemples éloquents de philanthropie qu’elles peuvent reproduire. Nous devons favoriser une culture d’entraide et, ce faisant, laisser derrière nous un chemin parsemé d’une générosité plus claire et plus grande dans l’espoir de guider les autres.
- Catégorie : Distinctions
Cette année, la lauréate du prix Robert Wood Johnson de l’Université d’Ottawa est Belinda Maciejewski. Ce prix est décerné à l’étudiant le plus susceptible d’apporter une contribution considérable à l’avancement de la gestion des services de santé. La remise du prix Robert Wood Johnson a eu lieu à l’occasion de la Conférence nationale sur le leadership en santé, organisée par SoinsSantéCAN et le Collège canadien des leaders en santé à St. John’s (T. N.-L.) les 4 et 5 juin 2018.
Depuis sa création en 1956, le prix a été remis à près de 300 professionnels de la santé canadiens. Il est appuyé par la compagnie de produits médicaux Johnson & Johnson, en partenariat avec six grandes universités canadiennes offrant un programme de maîtrise en gestion des services de santé, notamment l’Université Dalhousie, l’Université de Montréal, l’Université d’Ottawa, l’Université de la Colombie-Britannique, l’Université de l’Alberta et l’Université de Toronto.
Après avoir obtenu le titre de comptable professionnelle agréée, comptable agréée (CPA, CA) auprès de PricewaterhouseCoopers à Vancouver, Belinda Maciejewski a décidé d’allier son sens aigu des affaires à sa passion de toujours pour le secteur de la santé. C'est ainsi que lui vient l'idée de déménager à Edmonton pour travailler pour les services de santé de l’Alberta (Alberta Health Services), à l’époque tout juste mis sur pied. Belinda a travaillé pendant plus de cinq ans en tant qu’analyste financière principale au sein de services de conseil appuyant des programmes hautement prioritaires. À ce titre, elle a découvert que la direction administrative des organisations canadiennes de soins de santé était confiée principalement à des cliniciens s’appuyant sur une formation limitée ou inexistante en affaires. Elle a également constaté qu’il existait un fossé entre les administrateurs et les cliniciens, ce qui constituait un véritablement obstacle, voire un frein au progrès.
Forte de son rôle de médiatrice entre les administrateurs et les cliniciens, Belinda a souhaité étendre la médiation au-delà du domaine de la finance en entamant le programme de maîtrise en gestion des services de santé (MGSS) de l’École de gestion Telfer à l’Université d’Ottawa.
Belinda est convaincue des avantages que des points de vue différents et des bagages professionnels variés peuvent apporter au moment de prendre des décisions éclairées et solides. Elle souhaite apporter sa contribution au changement de plusieurs façons, plus précisément en mettant les pratiques commerciales et la technologie au service des activités cliniques et en transcendant les silos qui empêchent le secteur canadien des soins de santé de devenir un système innovant digne du 21e siècle.
En décembre 2017, Belinda a également reçu le prix Michael Garron, qui reconnaît la capacité d’un étudiant du programme de MGSS de l’Université d’Ottawa à proposer des solutions de santé novatrices aux problèmes pratiques auxquels il a été confronté pendant sa résidence. Belinda a fait sa résidence à l’Hôpital d’Ottawa, et a présenté son projet intitulé « Mapping the Operational Process for the New TOH Home Dialysis Program » (cartographie du processus opérationnel dans le cadre du nouveau programme de dialyse à domicile de l’Hôpital d’Ottawa). Belinda occupe actuellement le poste de directrice de l’exploitation au sein de l’Hôpital d’Ottawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Les profits, les personnes et la planète. Mieux connu sous le terme de « triple performance », ce concept se démarque par l’inclusion de certaines sphères, sociale et environnementale, dans l’exercice d’évaluation de la rentabilité d’une entreprise. C’est à partir de cette même vision que The Unscented Company, une gamme composée de produits corporels et ménagers sans parfum, voit le jour. Lancée sur le marché en 2016, cette marque s’appuie sur deux principes fondamentaux qui ont grandement inspiré la fondatrice et PDG, Anie Rouleau, dans le processus créatif de son entreprise. « Tout d’abord, il était important de redéfinir la notion de propreté en offrant exclusivement des produits naturels et sans parfum. Ensuite, les emballages devaient être conçus pour faciliter un mode de vie durable, et ce, dans le but de réduire de façon importante l’empreinte plastique collective. »
La philosophie d’Anie repose sur un modèle où la transparence, l’inclusivité et la responsabilité s’entremêlent. Plus concrètement, c’est « l’homme ou la femme qui maintient sa vision tout en restant en accord avec ses convictions profondes, et ce, même en période difficile » qui lui sert d’inspiration. D’ailleurs, c’est grâce à cette même vision innovatrice que l’entreprise d’Anie s’est vu octroyer la certification B Corp, faisant de The Unscented Company la première entreprise canadienne de produits corporels et ménagers à être certifiée.
« Je retrouve le vrai bonheur dans l’action de redonner. Je veux contribuer à un meilleur monde et j’aime bâtir l’entreprise de demain. » Ce même désir de faire une contribution à la société peut d’ailleurs être illustré par la Bourse d’échange international Anie Rouleau. Créée en 1999, cette bourse permet non seulement d’offrir à des jeunes la possibilité de poursuivre leurs études à l’étranger, mais encourage aussi les jeunes femmes à se tailler un chemin vers l’entrepreneuriat. « Chaque lettre de remerciement que je reçois des récipiendaires me rappelle à quel point il est important de redonner et de participer à la vie universitaire des jeunes. »
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Après avoir obtenu son diplôme d’une école privée à Bahreïn, George Khalife a entrepris de trouver une université où il pourrait se perfectionner, et contribuer à l’accroissement de l’établissement. Après avoir jeté son dévolu sur l’École de gestion Telfer, George a obtenu un baccalauréat en commerce en 2015. Il s’est inscrit à l’École Telfer en raison de l’authenticité des professeurs, des possibilités inexploitées, d’un programme d’études solide en voie d’amélioration et du bassin d’étudiants et de diplômés qui était, et demeure, étroitement lié.
Pendant ses études à l’École Telfer, George se souvient de certains cours et professeurs qui ont eu une influence marquée sur lui, notamment les cours du programme en systèmes d’information de gestion (SIG) avec Nour El-Kadri, le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance avec Pouya Safi, et le cours d’évaluation des capitaux propres avec la professeure Miwako Nitani. George mentionne également trois camarades de classe, avec lesquels il a contribué à créer un fonds de placement géré par les étudiants appelé T&V Capital Management, maintenant connu sous le nom de Fonds de capital de l’École de gestion Telfer. Cette initiative lui a permis de rencontrer le premier commanditaire du Fonds, ce qui l’a amené à se joindre au groupe TMX.
George donne de nombreux exemples qui ont contribué à en arriver là où il est aujourd’hui au cours de ces années à l’École Telfer, y compris les liens noués avec les professeurs, les amitiés établies au cours de ses études, les clubs et les activités parascolaires auxquels il a participé, le réseau de diplômés, les événements de réseautage et les ateliers universitaires organisés par cet établissement. « Ce sont les choses qui ont contribué à ma réussite au cours de mes études à l’université et après l’obtention de mon diplôme », a déclaré George.
Pour ce qui est de sa motivation, ce sont ses parents qui l’inspirent. Les parents de George ont quitté le Moyen-Orient pour lui donner, à lui et à sa sœur, la possibilité d’un avenir meilleur. Comme il le dit lui-même : « Chaque fois que je me sens mis au défi, ou fatigué ou que l’envie d’abandonner me prend, je retourne les voir et me souviens de toutes les difficultés qu’ils ont dû surmonter pour m’aider à en arriver là, c’est tout ce qu’il me faut pour persister. »
Après l’obtention de son diplôme, George a immédiatement commencé à travailler à la Bourse de Toronto (groupe TMX), dans le cadre du programme d’intégration professionnelle en rotation sur deux ans. À la fin de ce programme, il a accepté un poste à temps plein où il dirige des activités commerciales de TMX à Toronto et à New York. Alors qu’il travaillait pour TMX, George a mis au point de nombreux projets en marge, dont BookBack, une application pour les étudiants universitaires leur permettant d’acheter et de vendre des livres, a animé une émission balado diffusée – « Let’s Grab Coffee (prenons un café) », et a blogué sur LinkedIn ainsi que sur son site personnel.
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