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Principles for Responsible Management Education (PRME) est une initiative soutenue par l’ONU dont la mission est de transformer la formation en gestion, la recherche et le leadership de l’éducation intellectuelle à l’échelle mondiale en fournissant le programme PRME, en développant des communautés d’apprentissage et en promouvant la sensibilisation aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies.
En 2020, l’École de gestion Telfer a rejoint plus de 800 grandes écoles de commerce du monde entier qui se sont engagées à bâtir un avenir plus durable, en mettant en œuvre les six principes et en s’efforçant d’atteindre les ODD.
Ultimement, la vision du PRME est de faire en sorte que les objectifs de développement durable des Nations Unies soient atteints grâce à une éducation en gestion responsable. Les six principes du PRME sont fondés sur des valeurs reconnues internationalement par les États membres des Nations unies et fournissent un cadre d’engagement permettant aux établissements d’enseignement supérieur d’intégrer la responsabilité et la durabilité dans les pratiques en éducation, en recherche et sur le campus grâce à un processus d’amélioration continue. Les établissements d’enseignement supérieur qui deviennent signataires du PRME prennent un engagement public à l’égard de la création du savoir et de l’éducation qui soutient et forme des dirigeants capables de gérer les défis complexes auxquels font face les entreprises et la société au XXIe siècle. Le PRME est une plateforme multi-acteurs dotée d’un réseau dynamique de communautés d’apprentissage locales et mondiales, y compris des groupes de travail thématiques et des sections régionales, qui collaborent sur des projets et des événements. Depuis son lancement officiel en 2007 par Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies de l’époque, l’initiative PRME compte maintenant plus de 800 écoles de commerce de premier plan dans plus de 80 pays à travers le monde.
En tant que signataire du PRME, Telfer s’engage à investir dans l’avenir de notre monde et à faire tout ce qui est en son pouvoir pour garantir la pérennité de la planète. Figurant au sein du pôle stratégique d’impact sur la mondialisation, la gouvernance et le développement durable, l’Institut pour le développement durable en entreprise de Telfer place la durabilité au centre de la prise de décision, influençant une nouvelle ère de la pensée commerciale.
La planification stratégique axée sur la durabilité, les pratiques commerciales renouvelables et les valeurs plus écologiques ont un impact positif sur notre environnement mondial et nous permettent de bâtir un meilleur Canada. Afin d'établir des bases solides pour notre avenir, il faut complètement repenser et réorienter les pratiques d’affaires à la base de notre économie. Si les entreprises canadiennes investissent dans des technologies et des pratiques qui favorisent une économie écoresponsable, il sera possible, au fil du temps, de progresser vers un monde durable.
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Chantal Butler (B.Com. 1994) croit qu’il faut profiter de l’engouement pour la durabilité dans le secteur du commerce de détail alimentaire et prendre les mesures qui s’imposent au sein des chaînes d’approvisionnement. Mme Butler est vice-présidente des ventes et directrice générale de Loblaw Business, une filiale de Weston Foods. Elle collabore avec plusieurs de ses clients et clientes qui cherchent à influencer le secteur du commerce de détail alimentaire afin de le rendre plus durable. Comment les chaînes d’approvisionnement du commerce de détail alimentaire peuvent-elles contribuer à la création d’un monde plus vert et quels sont les principaux obstacles au verdissement de ce secteur? Nous nous sommes entretenus avec Chantal Butler pour en apprendre davantage sur les changements positifs qui s’annoncent.
Changements à l’horizon
Partout dans le monde, de plus en plus d’entreprises sont déterminées à réduire leur empreinte carbone et à créer une société meilleure. Or, pour entraîner de véritables changements en matière de durabilité, les mesures qu’elles prennent doivent à même leurs chaînes d’approvisionnement. Une étude menée par Sara Hajmohammad, professeure à l’École de gestion Telfer, suggère que les entreprises peuvent apporter des améliorations stratégiques à l’échelle sectorielle en orientant et transformant les pratiques et comportements de leurs fournisseurs sur les plans social et environnemental.
Chantal Butler déborde d’optimisme à ce sujet. Selon elle, le secteur du commerce de détail alimentaire peut jouer un rôle d’avant-garde en intégrant des pratiques durables à même ses chaînes d’approvisionnement. « Les choses ont beaucoup progressé dans le secteur depuis dix ans, et je crois vraiment que ce n’est que le début. »
Alors que les gens prennent davantage conscience des impacts environnementaux de leur consommation et tentent de trouver des produits plus verts, nombreux sont les détaillants alimentaires qui voient plus loin, non seulement en adoptant des pratiques durables à l’interne, mais en encourageant leurs fournisseurs à faire de même. Mme Butler explique « que les entreprises ont actuellement une occasion en or d’influencer à long terme toute la chaîne d’approvisionnement ».
La taille importe
Les géants du commerce de détail alimentaire collaborent avec de multiples fournisseurs de produits de base, notamment les aliments crus et les emballages. Selon Chantal Butler, lorsque d’importantes entreprises comme Weston Foods se fixent des objectifs de durabilité, elles peuvent influencer leurs fournisseurs. « Si certains fournisseurs ne contribuent pas activement à la réalisation de ces objectifs, nous en trouvons d’autres qui partagent notre vision », ajoute-t-elle.
L’union fait la force
Dans son étude, la professeure Hajmohammad soutient que si les entreprises d’un même secteur élaborent des stratégies communes pour influencer leurs fournisseurs, elles ont plus de chances de forcer ces derniers à adopter des mesures durables dans l’ensemble du secteur. Chantal Butler est d’accord avec ce point de vue. En effet, l’union est un vecteur efficace de changement au sein d’un secteur : « Les principales entreprises de commerce de détail alimentaire sont peut-être en concurrence les unes avec les autres, mais si elles se mettent toutes à exiger les mêmes normes en matière de durabilité, forçant leurs fournisseurs à s’ajuster et à répondre à leurs demandes, elles peuvent provoquer un véritable changement. »
Des alliances se sont d’ailleurs formées entre les géants du secteur afin d’encourager les fournisseurs à verdir leurs pratiques, en particulier en ce qui concerne l’emballage. « Les grandes comme les petites entreprises s’unissent pour contraindre les fournisseurs à s’approvisionner en plastique recyclable ou à éliminer certains types de produits dans leurs matières plastiques », affirme Chantal Butler.
Défis
Si la taille et la puissance d’une entreprise peuvent jouer en sa faveur au moment d’influencer sa chaîne d’approvisionnement, elles peuvent également compliquer l’innovation. Selon Chantal Butler, les grandes entreprises ont souvent de la difficulté à innover ou à implanter des changements à grande échelle qui touchent plusieurs aspects de leur portefeuille d’activités.
Or, elles devront innover davantage si elles veulent se donner de nouveaux objectifs et répondre aux attentes des consommateurs et consommatrices, dont la prochaine génération pourrait, par exemple, ne chercher à acheter que des produits provenant d’entreprises à l’approche « zéro déchet ».
Bien que l’importance de la durabilité soit largement admise de nos jours, il n’est ni simple ni rapide de transformer une chaîne d’approvisionnement. « Certains fournisseurs ont tendance à sélectionner quelles idées ils veulent adopter, certains autres sont prêts à innover avec vous, alors que d’autres s’inquiètent de la façon d’y arriver », explique-t-elle, ajoutant que les questions d’argent peuvent parfois entraver les démarches d’entreprises souhaitant devenir plus vertes.
Les politiques de durabilité peuvent, au bout du compte, augmenter les dépenses pour tout le monde. Les entreprises doivent donc faire pression pour que les gouvernements mettent en place des politiques appropriées et des mesures d’allègement fiscal. Autrement, les consommateurs et consommatrices risquent de devoir assumer les coûts supplémentaires : « Même si les organisations s’efforcent d’absorber le plus possible ces coûts, les prix risquent d’augmenter. »
Weston Foods, moteur de changement
Depuis deux ans, Chantal Butler met en œuvre le plan de durabilité décennal dont Weston Foods s’est doté. Comme l’emballage est une des préoccupations principales des consommateurs et consommatrices, l’entreprise en a fait une de ses priorités clés. « De nos jours, les gens veulent éliminer et remplacer autant que possible les plastiques très toxiques. »
En vue d’atteindre ses objectifs de durabilité et de réduire les répercussions environnementales des emballages, Weston Foods s’est associée à des fournisseurs afin de s’approvisionner de manière plus durable. Par exemple, l’entreprise élabore actuellement avec un de ses clients un projet pilote visant à évaluer si les emballages réutilisables ont leur place dans le domaine des produits emballés, alimentaires ou non.
Conseils aux entreprises en quête de vert
Selon Chantal Butler, la durabilité n’est pas l’apanage des grandes entreprises; les petites et moyennes entreprises (PME) ont aussi un rôle à jouer dans la transformation de la chaîne d’approvisionnement. Voici ses conseils aux PME qui souhaitent devenir plus durables :
- Toutes les grandes organisations possèdent maintenant des stratégies de durabilité et de responsabilité sociale, qu’elles publient et dont elles suivent la progression. Examinez ce qu’elles font et adoptez les pratiques qui correspondent à votre modèle d’affaires.
- Les plus petites entreprises disposent parfois d’une plus grande flexibilité et peuvent essayer des propositions durables plus créatives ou plus ambitieuses. Mettez à profit la taille de votre entreprise pour innover davantage et aller plus loin que ne le peuvent les plus grands joueurs.
Peu importe leur taille, les entreprises de tous les secteurs peuvent contribuer au développement d’un Canada plus vert et d’un avenir meilleur. En tant que mère, Chantal Butler sait à quel point il est important de mettre de l’avant la durabilité de l’environnement : « À quoi ressemblera le monde de nos enfants, et celui de leurs enfants, si, collectivement, nous ne nous occupons pas maintenant de ces problématiques? »
Chantal Butler (B.Com. 1994), Vice-présidente des ventes, Les Compagnies Loblaw Limitée
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Diplômé d’une maîtrise en science des systèmes (uOttawa, 2012) et analyste de données chez Baker Tilly Ottawa LLP, Abtin Shakiba a récemment reçu le prix Ottawa Award 2021 du magazine Faces pour le meilleur analyste de données à Ottawa. Abtin, très heureux, a fait part de son succès sur LinkedIn et son fier employeur l’a félicité.
Abtin se spécialise dans l’intégration et la mobilisation des clients en vue de leur croissance et de leur expansion. Il aime aider les clients à résoudre efficacement leurs problèmes tout en offrant des services de consultation qui permettent de gagner du temps et de l’argent grâce à l’utilisation de données et d’analyses.
Abtin travaille sur plusieurs projets en appliquant des analyses avancées de données, des technologies, des renseignements sur les données, l’exploration de données, la modélisation de données, des algorithmes, l’automatisation et des outils de visualisation. Il se passionne pour l’établissement de la confiance de ses clients à l’égard de produits et de services de données complets, tout en mettant l’accent sur l’éducation et en développant des outils plus sophistiqués et évolutifs pour s’attaquer aux problèmes de données complexes au sein de l’industrie.
Le parcours du meilleur analyste de données d’Ottawa
Après avoir obtenu un baccalauréat avec spécialisation en commerce électronique en Malaisie, il a obtenu une maîtrise en génie des systèmes en 2012, un programme conjoint de la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa et de l’École de gestion Telfer. Pendant sa maîtrise, il a travaillé en étroite collaboration avec son directeur de thèse, la professeure de Telfer Sandra Schillo. Abtin a dit : « J’ai toujours aimé les chiffres et leurs relations entre eux. Cependant, le parcours a commencé à l’Université d’Ottawa lorsque je préparais ma thèse de maîtrise sous la supervision de la professeure Sandra Schillo. Nous recueillons et analysons les chiffres pour trouver des questions et des solutions à des problèmes réels. » Il a également ajouté qu’il avait acquis la capacité d’examiner des questions sous différents angles : « J’ai appris à regarder les questions sous différents angles, à sortir des sentiers battus, à apprendre des leçons de vie, à développer et à perfectionner mes compétences. »
Après avoir réfléchi à son parcours jusqu’à la remise de son prix d’Ottawa Award, Abtin a noté : « J’ai commencé à travailler dans quelques entreprises en démarrage (je le suggère fortement à tout le monde), ce qui m’a aidé à établir mon réseau professionnel et à progresser lentement dans ma vie personnelle et professionnelle. J’ai gardé contact avec des amis de l’université, des collègues de classe, des professeurs, des experts en la matière et quiconque m’a appris quelque chose de nouveau. Ce sont ces personnes qui ont proposé ma candidature et qui m’appuient, et je serai là pour elles lorsqu’elles auront besoin de moi. »
Abtin a continué de travailler avec la professeure Schillo lorsqu’elle l’a entraîné dans un projet de recherche dans le domaine des biocarburants sur lequel elle travaillait. La professeure Schilo s’est exprimé sur son expérience de travail avec Abtin sur le projet : « les données que nous cherchions étaient difficiles à trouver. Abtin a dû creuser beaucoup pour trouver les données que nous cherchions. » En 2017, la prof. Schillo, Abtin et la prof. Diane Isabelle de l’école de commerce de l’Université Carleton ont vu leur article, intitulée « Linking advanced biofuels policies with stakeholder interests: A method building on Qualty Function Deployment », publiée dans la revue scientifique Energy Policy d’Elsevier. L’article traite des biocarburants avancés et de leur incidence sur les décideurs canadiens dans l’industrie de l’énergie renouvelable.
La professeure Schillo était ravie de voir Abtin gagner : « Je suis très fier des réalisations d’Abtin. Il travaille extrêmement fort, et c’est la raison pour laquelle il aurait reçu un tel prix. Il a un bon esprit d’équipe et il a toujours aimé apprendre de nouvelles choses, et j’ai beaucoup de respect pour lui après avoir travaillé ensemble au fil des ans pendant sa thèse, sur notre article et lorsqu’il était assistant à l’enseignement pour l’un de mes cours. »
En conclusion, Abtin a fait part de ce qu’il a retenu en matière de perfectionnement professionnel : « Peu importe où vous travaillez, quand vous commencez et où vous en êtes dans votre vie, le dévouement, le professionnalisme et le travail acharné se manifesteront toujours lorsque vous vous y attendez le moins. »
Félicitations à Abtin pour ses réalisations exceptionnelles, et nous lui souhaitons beaucoup de succès dans sa carrière.
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Félicitations à Vusal Babashov, maintenant diplômé au doctorat de Telfer, pour avoir terminé avec succès son programme de doctorat. Il a soutenu sa thèse sur les problèmes pratiques de l'analyse des soins de santé il y a tout juste quelques semaines.
Premier d'une longue série de doctorants
Vusal a présenté un récapitulatif de sa thèse et a défendu celle-ci à la suite de deux séries de questions pointues posées par les membres du jury. Satisfaits de ses réponses, ils ont unanimement reconnu qu'il avait soutenu sa thèse avec succès. Il sera donc le tout premier étudiant à avoir officiellement complété son doctorat à l'École de gestion Telfer.
Vusal a commencé ses recherches sur les systèmes de santé en 2016 lors de la création du doctorat en gestion de Telfer. « Ces quatre années de doctorat ont été incroyables, stimulantes et parfois même stressantes. », a déclaré Vusal en faisant le point sur son parcours à Telfer. « C'est une aventure longue et unique par laquelle vous devenez non seulement un expert dans votre domaine de recherche, mais aussi une meilleure personne, plus motivée et dotée de compétences en matière de résolution de problèmes et de leadership. Il y a certainement beaucoup à apprendre de cette expérience. Je suis profondément reconnaissant à tous, y compris à mes superviseurs, pour le soutien et les conseils qu'ils m'ont apportés tout au long de ce parcours. Je suis heureux d'avoir pu enfin atteindre la ligne d'arrivée de ce marathon, et je souhaite bonne chance aux autres candidats au doctorat. »
La ligne d’arrivée
Vusal a travaillé en étroite collaboration avec ses codirecteurs de thèse, Jonathan Patrick, professeur titulaire et vice-doyen (faculté) à Telfer, et le professeur adjoint Antoine Sauré, tout au long de son parcours de thèse. Le professeur Patrick a fait part de ses réflexions sur sa collaboration avec son étudiant : « Ce fut pour moi une grande satisfaction de voir Vusal soutenir sa thèse. L'élaboration d'une thèse digne d'être défendue est un processus long et difficile. Chaque recherche comporte ses obstacles - des pistes prometteuses qui ne mènent nulle part, des éléments déroutants qui prennent des mois à comprendre - et je sais qu'à de nombreuses reprises, Vusal a été tenté d'abandonner. Le fait qu'il ait persévéré et qu'il soit maintenant capable de récolter les fruits de cette détermination témoigne de son caractère. Alors, félicitations à Vusal d’être le premier diplômé du programme de doctorat de Telfer! »
Le professeur Sauré a également témoigné de son sentiment de fierté envers ce fait d’arme : « L’expérience que Vusal a acquise, son dévouement, sa détermination à maîtriser de nouveaux concepts et son désir de faire une différence positive dans son travail sont des atouts qui feront de lui un excellent professionnel peu importe le cheminement de carrière qu'il choisira. J'attends de lui qu'il continue à enrichir notre domaine de différentes manières, car sa contribution est très précieuse ».
Vusal a jusqu'au 18 février pour compléter la révision suite aux commentaires reçues lors de la présentation de sa thèse, qui sera ensuite approuvée par ses directeurs de thèse avant d'être officiellement soumise à la bibliothèque de l'Université d'Ottawa.
Sujet de la thèse :
Trois problèmes pratiques dans l'analyse des soins de santé
Jury/examinateurs :
Gilles Reinhardt, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Jonathan Li, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Onur Ozturk, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Peter Vanberkel, professeur associé à l'Université de Dalhousie
Codirecteurs de thèse :
Jonathan Patrick, professeur titulaire à l'Université d'Ottawa
Antoine Sauré, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Présidente du jury :
Samia Chreim, professeure titulaire à l'Université d'Ottawa
Date de la soutenance :
Le lundi 18 janvier de 9 h à 12 h (HNE)
Vusal est le premier des nombreux étudiants qui termineront leur doctorat cette année à Telfer. Nous sommes extrêmement fiers de tous nos candidats au doctorat et nous nous réjouissons de leur succès.
Restez à l'écoute pour en savoir plus sur cet important jalon pour Telfer. Félicitations à tous les professeurs, membres du personnel et étudiants qui ont aidé Vusal tout au long de son parcours et ont rendu cet exploit possible.
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Les diplômés du MBA de l’École de gestion Telfer, Soumi Sarkar, Anjaney Agashe et Arun Subramanian se sont distingués lors de la 8e édition de la compétition de cas Schlesinger Global Family Enterprise (SG-FECC), en remportant la deuxième place du podium dans la catégorie des études supérieures. SG-FECC est une compétition de cas organisée par l’Université du Vermont qui a pour but de mettre les participants face à des questions uniques et des problématiques liées à l’entreprise familiale. Les participants doivent résoudre des cas complexes et présenter leurs solutions dans le cadre de quatre rondes pendant la compétition. Cette année, exceptionnellement, l’ensemble des épreuves ont eu lieu en ligne.
Selon Peter Jaskiewicz, mentor de l’équipe et professeur titulaire à Telfer en entrepreneuriat et entreprise familiale, bien que ce fut la première fois que Telfer participait à la SG-FECC, les organisateurs de l’événement leur ont accordé une grande reconnaissance. M. Jaskiewicz déclare que « notre équipe a assuré, même si nous n’avions pas d’expérience préalable aux compétitions SG-FECC et des antécédents d’un programme de formation en entreprise familiale de longue date à Telfer. »
De plus, les chefs d’entreprise et les consultants qui ont travaillé en tant que juges à la SG-FECC ont souligné à maintes reprises la prouesse des étudiants de Telfer, ce qui, selon le professeur Jaskiewicz, est une bonne indication du bon fonctionnement du programme MBA.
« J’ai trouvé cela très gratifiant d’épauler ces trois individus, car ils sont brillants, travaillants et sympathiques », a exprimé M. Jaskiewicz. « J’ai aimé les voir réussir haut la main leur analyse de problèmes complexes en entreprise familiale tout en offrant des solutions surprenantes pour régler ces problèmes. »
« De plus, ils ont fait preuve d’un grand esprit d’équipe depuis leurs débuts dans mon cours Advising Family Business jusqu’à leur présentation finale à la compétition de cas ; ils ont toujours travaillé en équipe, se sont comportés de façon très professionnelle, se sont appuyés mutuellement et ont eu beaucoup de plaisir tout le long. Bravo! », a ajouté le professeur Jaskiewicz.
Visionnez l’enregistrement intégral de la remise des prix, ici. (lien en anglais seulement)
Cliquez ici pour obtenir plus d’information sur la compétition de cas Schlesinger Global Family Enterprise. (lien en anglais seulement)
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Vous recherchez une nouvelle perspective sur un projet d’affaires récent ou spécial, ou souhaitez tout simplement travailler avec des étudiants au MBA qui sont passionnés et qualifiés? L’École de gestion Telfer est à la recherche d’organisations qui mettront nos étudiants du MBA au défi dans le cadre d’une situation professionnelle concrète.
Les étudiants au MBA Telfer possèdent en moyenne de 6 à 7 ans d’expérience professionnelle à temps plein, ce qui garantit qu’ils ont une base théorique de qualité et des compétences techniques pour mener à bien leur stage. Tous nos étudiants au MBA sont supervisés par un membre de la faculté et ils ont accès à des données de pointe qui les aideront à résoudre les problèmes les plus complexes de votre entreprise.
Il ne fait aucun doute que l’expérience sera enrichissante tant pour vous que pour nos étudiants. Le programme de stage MBA offre aux entreprises la possibilité de recruter des personnes qualifiées et d’évaluer leur capacité à s’intégrer au sein de leur milieu de travail sans avoir à passer par le long processus d’embauche traditionnel.
L’expérience du programme de stage MBA
Au cours des années précédentes, nos organisations partenaires qui ont embauché des étudiants au MBA dans leur équipe ont été satisfaites de ce que cela leur a apporté.
« Le programme de stages MBA a aidé à remplir avec succès un rôle pour projet niché au sein de notre département des finances. Au final, nous avons embauché notre stagiaire dans un poste à temps plein, ce qui en dit long sur la qualité du programme et de ses étudiants » - Paul Richards, Directeur du développement des affaires et intérêt à L'Hôpital d’Ottawa
« Happy Goat Coffee Company est un grand fan du programme de stage MBA de Telfer ! Ce projet nous aide à trouver des réponses et des solutions à des problèmes pour lesquels nous n'avons généralement pas les ressources ou le personnel - ou les deux - afin de les traiter. La qualification des participants et la qualité des résultats des projets réalisés jusqu'à présent sont évidentes. Happy Goat Coffee Company ne peut que recommander vivement ce projet! » - Dr. Hans-Juergen Langenbahn, Maître torréfacteur à Happy Goat Coffee Company.
« Je tiens à apporter tout mon soutien au programme de stage proposé par l'École de gestion Telfer. Il s'agit d'une formidable opportunité pour les étudiants d'acquérir des connaissances de nature plus pratique qui les aideront dans leur recherche d'emploi. L'organisation elle-même en bénéficie également, non seulement du point de vue du mentorat, mais aussi en acquérant des conseils et des avis d'experts additionnelles. » - Elizabeth Kingston, présidente du Conseil International du Canada, chapitre de la Capitale nationale
Voici comment vous pouvez bénéficier de notre programme :
En quoi consiste un stage acceptable?
Il s’agit d’un projet ambitieux qui vous apporte des résultats significatifs. Par exemple, les stages actuels incluent des projets de développement des marchés, d’amélioration des processus, et la revue des processus stratégiques.
Combien d'heures les stagiaires peuvent-ils travailler?
Il existe deux options de prestation : les stages à temps partiel et les stages à temps plein. Le stage à temps partiel représente de 15 à 20 heures par semaine pour une période de 6 mois (de janvier à juillet). Celui à temps plein consiste en 40 heures de travail par semaine (de septembre à décembre). Le nombre exact d'heures varie selon si le stage est commandité par Mitacs* ou OCE**, ou s’il est financé directement par l’organisation.
Combien cela coûtera-t-il à mon organisation?
Le salaire moyen d’un stagiaire au MBA varie entre 20 et 25 $ de l’heure. Vous pouvez faire une demande d’appui financier pour embaucher le stagiaire par Mitacs ou OCE, ou vous pouvez offrir un salaire payé entièrement par votre organisation. Il est possible d’offrir un stage non rémunéré, cependant, offrir un salaire à l’étudiant augmente vos chances qu’il ou elle vous choisisse pour son stage.
Que dois-je fournir au stagiaire?
- Un projet motivant et stimulant.
- Un parcours d’intégration technique et organisationnel.
- Le temps de discuter des problématiques avec l’étudiant et de fournir une rétroaction sur les rapports de progrès.
Trouvez le bon stagiaire au MBA Telfer pour votre organisation
Contactez l’équipe du succès scolaire et de l’expérience étudiante
Le programme de stage MBA Telfer
Téléphone : (613) 562-5884
Courriel :
Visitez la page du programme de stage MBA sur notre site.
* Mitacs est un organisme sans but lucratif qui fournit la contrepartie du financement aux organismes qui embauchent des étudiants à temps plein pour un stage.
** Le programme AvantageTALENT des Centres d’excellence de l’Ontario fournit la contrepartie du financement aux compagnies qui embauchent des étudiants aux études supérieures.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Futurs diplômés
Depuis 2010, le projet F.L.Y. (Future Leaders in Youth) est géré par Enactus uOttawa en tant que programme de leadership qui a pour mission de responsabiliser les jeunes. Ces étudiants universitaires enseignent aux jeunes certaines des compétences les plus importantes de la vie à travers des ateliers stimulants qui leur fourniront l’occasion de s’épanouir sur le plan personnel et professionnel.
La semaine dernière, le projet F.L.Y. a été mentionné dans un article publié par The Star à Toronto, qui soulignait l'habileté de l’équipe à aider les étudiants à mieux comprendre le bien-être mental : un sujet qui devient de plus en plus important, surtout avec les restrictions misent en place à cause de la COVID-19.
Avec l’aide de Jack.org, les représentants du projet F.L.Y. ont créé un programme de santé mentale dans l’ensemble des écoles de la région, des groupes communautaires et des communautés rurales afin d’éduquer les jeunes de tous âges sur le bien-être mental, tout en renforçant leur habileté à demander de l'aide et du soutien en cas de besoin. Les sujets abordés dans le programme d'enseignement élémentaire comprennent le discours intérieur positif, les activités de soins et l’enseignement de la pleine conscience.
Au cours de la dernière année, Enactus uOttawa a pris énormément d'ampleur en collaborant avec huit (8) nouvelles écoles partenaires et suscitant l’intérêt de 500 participants à ses ateliers.
Apprenez-en davantage sur les nombreuses initiatives orchestrées dans le cadre du projet F.L.Y. dans l’article publié dans The Star. (Article disponible en anglais seulement)
*Photos d'archive (2019)
- Catégorie : Annonces Telfer
C’est avec une grande tristesse que la famille du professeur William (Bill) Rentz a annoncé son récent décès.
Membre de la famille Telfer depuis le 1er juillet 1975, Bill a marqué 3 différentes générations de jeunes esprits, notamment par le biais de ses cours de finance et de gestion de portefeuille; il a également été le coordonnateur de la section comptabilité et finance de l’École. Au fil des ans, il a accueilli et aidé de nombreux professeurs en finance au moment de leur intégration à Telfer, et il était considéré comme un mentor par ses étudiants.
« Bill a beaucoup contribué à l’Université et surtout à la section comptabilité et finance. Il a siégé au comité de pension de l’université pendant plusieurs années et nous avons pu tirer profit de son expertise. Il posait toujours les vraies questions lors des comités et des conseils de l’École. Il avait un merveilleux sens de l’humour qui nous manquera beaucoup. Quand je suis arrivé à Telfer, Bill était toujours disponible et souriant pour me donner des conseils, que je le veuille ou non. Sa porte était toujours ouverte si l’on voulait simplement jaser ou discuter de quelque chose de plus urgent. Le bureau 7106 paraîtra bien vide dans les mois à venir. La communauté de Telfer a perdu un cher collègue dont l’âme compatissante et la personnalité attachante nous manqueront beaucoup. » - Professeur Philip McIlkenny
« Bill était un collègue respectueux et bienveillant qui était toujours prêt à donner de son temps, à apporter sa contribution et ses idées. Ses connaissances en matière de recherche et son expertise pédagogique ont permis à beaucoup d’entre nous d’aborder notre travail d’une nouvelle façon. Même si Bill n’était pas toujours d’accord avec nous, il nous écoutait toujours et terminait la conversation sur une note positive. Ses conseils et son opinion nous manqueront beaucoup. » - Professeur Samir Saadi
« Partager le couloir du 7e étage avec Bill a donné place à de nombreuses discussions de fin d’après-midi. Sa porte était toujours ouverte pour lui demander son opinion, échanger des nouvelles sur la recherche et l’enseignement, parler de politique et découvrir son amour de la famille. Les étudiants de Bill appréciaient grandement ses cours; les longues files d’attente devant sa porte témoignaient de ses rapports avec eux. Travailler avec Bill au Conseil de l’École et à l’APUO nous a permis d’observer son talent enviable pour dire à la fois peu et beaucoup. Bill était un collègue gentil et cher qui comprenait et encourageait la communauté et la collégialité. Nous avons eu de la chance de le connaître. » - Professeure Cheryl S. McWatters
Bill nous manquera à tous. Compte tenu des mesures de santé publique actuelles, sa famille a annoncé qu’il n’y aura pas de funérailles publiques. Une cérémonie privée avec les proches parents sera organisée en sa mémoire.
Tout détail supplémentaire concernant les condoléances sera communiqué, le cas échéant.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
En raison de la « nouvelle normalité » à laquelle on doit s’adapter depuis six mois, cette année est une nouvelle expérience pour tout le monde. La pandémie de la COVID-19 a entraîné de nombreux changements, apprentissages, défis et même opportunités.
En mars dernier, après avoir dû repousser son événement prévu en présentiel, l’équipe de la Conférence Legacy s’est engagée à offrir, lorsque possible, une conférence mémorable encore cette année, même si cela implique de le faire virtuellement. De plus, cette édition est particulièrement spéciale pour l'équipe, puisqu’il s’agit du 10e anniversaire de la Conférence Legacy à Ottawa, la plus grande conférence organisée par des étudiants au Canada. C’est en 2010 qu’un étudiant de l'Université d'Ottawa a saisi l'occasion d'inspirer la prochaine génération de leaders étudiants par l'entrepreneuriat, et ainsi de créer la Conférence Legacy.
La Conférence Legacy est conçue pour les personnes désireuses d’apprendre et de passer à l’action. Les conférenciers ont une attitude décontractée et offrent une expérience personnelle, souvent en portant des vêtements plutôt informels comme des t-shirts et des jeans. « Legacy vise à partager des moments authentiques et réels de l’esprit entrepreneurial. Nous donnons à la prochaine génération de leaders des moyens d’action lors de nos ateliers, de nos séances de mentorat, de nos salons de l’emploi et d’autres événements », comme l’explique leur site web.
Conférence Legacy 2020
Comme toujours, la conférence est ouverte à tous les étudiants et étudiantes de l’Université d’Ottawa qui s'intéressent au leadership et à l'entrepreneuriat. Elle vise à « fournir à la prochaine génération de dirigeants les ressources nécessaires pour les aider à cultiver de nouvelles idées, à lancer des entreprises ou à développer des entreprises existantes ». L’équipe de Legacy et la directrice de cette année, Sally Adam, sont heureux de présenter leur toute première édition virtuelle de l’événement, ayant indiqué que ce sera la même expérience phénoménale, mais « cette fois-ci dans nos joggings ».
Cette dernière nous parle de ses motivations à rejoindre et à diriger le mouvement de la Conférence Legacy cette année : « J’ai découvert Legacy par hasard et depuis, je suis passionnée par notre mission. Nous nous concentrons avant tout sur le partage de moments forts liés à la passion, à l'échec et à la persévérance qui définissent souvent l'entrepreneuriat. Malheureusement, c'est souvent à l'université que les étudiants laissent la peur les pousser à prendre des décisions qui changent leur vie sur les chemins qui valent la peine d'être parcourus. Legacy change cela pour beaucoup de jeunes, dont moi-même ».
La liste des conférenciers de cette année comprend :
- Jason Fried, fondateur et PDG de Basecamp
- Rob Villeneuve, PDG de Rebel
- Brian Scudamore, fondateur et PDG de 1-800-GOT-JUNK?
- Anne De Aragon, vice-présidente et directrice nationale chez GoDaddy Canada
- Shawn Kanungo, conférencier principal et stratège en matière de perturbations
- Emily Anne Epstein, rédactrice en chef chez Narcity Media
- Mike Smith, fondateur de Skate4Change et de The Bay
- Travis Rosbach, cofondateur d’HydroFlask
- Seth Godin, entrepreneur et auteur à succès
- Izzy Camilleri, designer chez IZ Adaptive
Vous souhaitez vous joindre au plaisir et apprendre de cette lignée de dirigeants pour cultiver de nouvelles idées, démarrer des entreprises ou donner un coup de main à celles existantes? Réservez votre billet pour assister à la conférence virtuelle Legacy, le vendredi 2 octobre 2020.
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La voix des étudiants
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