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Lors de la fin de semaine du 23 au 25 septembre, les étudiants de l'École de gestion Telfer inscrits au cours ADM4717 Leadership, stratégie et durabilité, ont participé à une simulation intensive appelée The Green Business Lab.
« The Green Business Lab est une expérience unique en ce sens qu'elle est la seule simulation d'affaires exhaustive et interactive en temps réel pouvant offrir aux étudiants une expérience pratique leur permettant de diriger une entreprise tout en réglant les problèmes les plus urgents découlant de questions environnementales et sociales auxquelles les organisations sont confrontées aujourd'hui », affirme Daina Mazutis, titulaire d'un fonds professoral en éthique, responsabilité et durabilité à l'École de gestion Telfer. « Les étudiants pourront établir des liens directs avec les décisions stratégiques importantes qu'ils auront à prendre en tant que futurs dirigeants d'entreprise. »
Travaillant en équipes, les étudiants se sont plongés dans la gestion d'une entreprise où chaque membre a joué un rôle essentiel au sein de l'entreprise. Ils ont façonné l'orientation stratégique de l'entreprise, conçu et fabriqué un nouveau produit, et amélioré le rendement. Toutefois, compte tenu de la pression croissante exercée par divers intervenants, y compris les clients, les gouvernements et les organisations non gouvernementales, la réussite repose sur la mesure du triple résultat : (résultat économique, résultat environnemental et résultat social).
Les équipes ont fait leur présentation finale devant un panel de juges, qui a évalué leur stratégie. Ce conseil d'administration était composé de Robert G. White, CA, CMA, CPA, conseiller et investisseur indépendant (B.Com. Telfer, 1992), de Kristina Haakman, viceprésidente des finances, Énergie renouvelable Brookfield (B.Com. Telfer, 2003), de Salim Charabati, B.Arch., MBA, conseiller à BuildGreen Solutions (B.Com. Telfer, 2016) et de John Purkis, associé principal, The Natural Step.
L'équipe Spherical Solutions (George Amidjinov, Kacey Cryan, Francis Desjardins, Alexis Harrison, Adam Khawas, Philippe Lafontaine et Vanessa Mangano) s'est classée au premier rang de la catégorie « Industrialized Nations », alors que l'équipe EcoImpact Spheres (Patrik Hashem, Andrew James Low, Olivia Le, Cassandre Pomerleau, Isabelle Trudeau et Jacob Sousa) s'est classée à la première place de la catégorie « Developing Nations ». Ces équipes ont élaboré la meilleure stratégie d'ensemble selon une perspective du triple résultat.
« Parlant au nom de la majorité des étudiants participants, The Green Business Lab propose des scénarios réels au rythme effréné entraînant une prise de décisions difficiles », a déclaré Francis Desjardins, étudiant. « La simulation en fin de semaine nous a permis d'appliquer les connaissances que nous avons acquises dans un environnement parfois stressant, mais toujours agréable. Non seulement nous avons appris plusieurs leçons d'affaires types, par exemple l'importance des profits et du flux de trésorerie, mais nous avons aussi examiné les répercussions d'autres résultats : l'importance de la sensibilisation sociale et environnementale. J'aimerais remercier notre animateur du Green Business Lab, notre professeur, mes camarades de classe et l'École de gestion Telfer pour cette formidable expérience. »
Cette simulation est devenue une réalité grâce au fonds d'innovation pédagogique de la famille Yersh de l'École de gestion Telfer.
À propos de la simulation The Green Business Lab
Cette simulation teste les connaissances et les capacités des étudiants propres aux disciplines élémentaires de la gestion, ainsi que leur compréhension globale du rôle des entreprises dans la société. La simulation The Green Business Lab a déjà eu lieu dans des universités réputées, notamment Cornell University, Georgia State University, Central Michigan University, Denver University, University of Michigan, Georgetown University, University of Iowa et Wayne State University, ainsi que de grandes sociétés multinationales, telles que General Electric, Rio Tinto et Chrysler Financial.
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Barbara Orser a été conférencière dans le cadre du « Canadian Entrepreneurship Institute » de Startup Canada qui a eu lieu le 1 septembre 2016. Cet événement ayant pour titre « Unlocking Feminine Capital : Canada and the World » a examiné comment améliorer les politiques publiques pour mieux soutenir les femmes entrepreneures canadiennes. Barbara Orser copréside actuellement un comité consultatif composé de 18 leaders provenant des centres d’entreprise des femmes, des réseaux et les organisations de soutien aux PME. Le mandat du Ontario Women’s Enterprise Committee est de mieux aligner l’infrastructure de soutien aux entreprises avec les besoins des femmes entrepreneurs de l'Ontario.
Professeur titulaire / Deloitte à l'École de gestion Telfer, la professeure Orser agit comme représentante canadienne au sein d'une équipe de 13 chercheurs internationaux qui examinent la politique publique des PME associée aux entreprises créées par des femmes. Leurs recherches actuelles dans le domaine de l’entrepreneuriat portent sur la littératie financière, les connaissances technologiques et l'efficacité des politiques de marchés publics. La professeure Orser a écrit le livre Feminine Capital en collaboration avec la professeure Catherine Elliott (Presses universitaires de Stanford, 2015).
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Nous avons reçu un don généreux provenant des fonds levés lors du 6e Tour cycliste Présents pour les jeunes de la Banque Nationale. Ce don, qui a été présenté à l’École par la Banque Nationale le 8 juillet 2016, permettra d’appuyer la compétition Elevator Pitch du Club des entrepreneurs.
La compétition Elevator Pitch met en valeur plusieurs de nos meilleurs talents à l’Université d’Ottawa. Faisant partie de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, cette compétition permet aux jeunes entrepreneurs de présenter devant un jury leurs nouvelles idées qui sont encore à l’étape du développement, et d’obtenir une reconnaissance pour leur travail. Les gagnants sont récompensés par de généreux prix monétaires avec lesquels ils pourront investir dans leurs idées d’entreprise. La soirée inclut une portion de réseautage et un conférencier qui discute de ses succès personnels, son expérience et les embûches traversées en tant qu’entrepreneur.
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Plusieurs équipes de la classe de 2017 du MBA pour cadres ont écrit à propos de leur expérience à Silicon Valley dans le cadre du voyage de consultation d'affaires en innovation et entrepreneuriat qui a eu lieu du 14 au 20 mai 2016. Les blogues sont disponibles en anglais seulement.
« Anticipation Mounts as the Class of 2017 fly into San Francisco »
Écrit par : Ashley Mascarenhas
« Make Yourself Known »
Écrit par : Adan Elsaadi et Mario Fowler
« Video: Bringing a Canadian Perspective to Silicon Valley »
Écrit par : l'équipe Kentaurus- Michael Bell, Martin Chartrand, Kevin Jones, MJ Levesque, Glenn Moran et Derek Quesnel
« Incremental Innovation vs. Invention »
Écrit par : l'équipe Capella – Mohamed Eldery, Daniel Feeny, Tanya Gracie, Kyle Taplay et Andrew Wright
« Surviving in an Innovative Playground »
Écrit par : l'équipe Canopus- Amanda Bernier, Scott Johnston, Matt Lundie, Kimberley Marr, Ryan Peatt et Sukri Sharbini
« Top 10 things Ottawa can learn from Silicon Valley »
Écrit par : Amanda Dwyer, l'équipe Sirius
« Our Silicon Valley Outcome: Uniting as One Big Team »
Écrit par : l'équipe Arcturus - Abdul Ahmadzai, Ajay Bhandari, Isabelle Blondeau, Bernard Guité et Kurt Schweitzer
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Le mercredi 4 mai 2016, l'équipe d'Enactus uOttawa était à Toronto pour défendre son titre de champion national à l'Exposition nationale d'Enactus Canada 2016, devant un jury composé de 65 personnes parmi lesquelles figuraient d'importants PDG canadiens. Chaque équipe participante était notée sur sa capacité à engendrer des progrès sociaux, environnementaux et économiques par l'action entrepreneuriale.
L'équipe d'Enactus uOttawa s'est rendue jusqu'en finale, en compagnie de trois autres : Université Memorial de Terre-Neuve, Université Ryerson et Université Saint Mary's. L'équipe de l'Université Memorial de Terre-Neuve a remporté le titre de champion national Enactus 2016 et va représenter le Canada à la Coupe du monde Enactus qui se tiendra cet automne à Toronto.
« Nous avons commencé avec un équipe presque entièrement nouvelle cette année et avons lancé un nouveau portfolio de projets », commente le president de l’équipe, Corey Ellis, étudiant en gestion de 3e année à l’École Telfer. « Nous sommes très chanceux de pouvoir compter sur le support des professeurs, du personnel et des diplômés, ainsi que de la communauté, qui nous ont aidé tout au long de notre parcours. Nous avons hate de voir l’évolution de notre organisme dans l’année à venir. »
L'École Telfer s'est vu décerner le Prix de l'administration de l'année par Enactus Canada pour son soutien de l'entrepreneuriat chez les jeunes. Cette récompense, remise à l'administration de l'université ayant le mieux appuyé l'équipe Enactus sur son campus, a été acceptée au nom de l'École par Stephen Daze, qui est entrepreneur en résidence Telfer et l'un des mentors de l'équipe d'Enactus uOttawa.
En outre, un des projets présentés par l'équipe d'uOttawa à l'Exposition nationale d'Enactus Canada 2016, Northern Innovation Hub in Iqaluit, s'est vu remettre la semaine dernière une bourse de 30 000 $ de la fondation de la famille J.W. McConnell. Ce projet vise à résoudre deux problèmes d'un coup en récupérant des conteneurs de transport maritime inutilisés qui jonchent le littoral de la région et en les transformant pour répondre au besoin criant d'espaces commerciaux et résidentiels. Le projet Northern Innovation Hub a pour but de susciter d'autres changements à Iqaluit, une localité qui a besoin d'un endroit pour faciliter la planification nécessaire afin de s'adapter à l'accélération de l'urbanisation locale.
Félicitations à l'équipe d'Enactus uOttawa pour tout ce qu'elle a accompli!
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Kevin Smiley est étudiant du programme de MBA à temps plein de l'École de gestion Telfer et il croit fermement à l'entrepreneuriat social. Cette année, il a fondé SuraiTea Inc., un salon de thé à vocation sociale qui emploie principalement des réfugiés syriens afin de leur offrir des possibilités d'emploi au Canada, tout en réunissant des fonds pour les efforts d'installation.
Être au bon endroit au bon moment
Kevin a étudié en génie de l'environnement à l'Université Queen's et travaillé dans l'énergie renouvelable et le développement immobilier durable, et jouait un rôle actif dans l'écosystème d'innovation en ingénierie de l'Ordre des ingénieurs de l'Ontario/Ontario Society of Professional Engineers. Il a alors eu l'idée de créer un modèle d'entreprise durable qui serait bénéfique à tous les acteurs impliqués.
Début février 2016, Stephen Daze, entrepreneur en résidence de l'École de gestion Telfer, a informé Kevin de la Fin de semaine des entreprises en démarrage de l'Université d'Ottawa qui avait pour thème la réinstallation des réfugiés. C'est alors qu'il a décidé de créer une entreprise qui contribuerait à l'effort de réinstallation des Syriens au Canada. « Après avoir vu et lu de nombreuses histoires sur la pression énorme sur les ressources limitées que subissaient les organisations sans but lucratif, j'ai commencé à penser que je pourrais faire quelque chose pour aider », déclare-t-il.
Le projet
SuraiTea Inc. est une société qui utilise le pouvoir des marchés afin de créer un changement positif pour la réinstallation des réfugiés. Elle espère créer de l'emploi de grande valeur pour les réfugiés et établir une source durable de dons d'entreprise aux organisations qui sont actives dans l'effort de réinstallation des réfugiés au Canada. SuraiTea Inc. est une entreprise à vocation sociale et une « B Corp » en attente auprès de B Lab Canada.
Pourquoi le thé? Le jasmin est la fleur nationale non officielle de la Syrie, et Damas, la capitale de la Syrie, est appelée aussi « la ville du jasmin ».
Kevin a communiqué avec un fournisseur de thé en gros de Toronto qui utilise des ingrédients biologiques 100 % USDA et Biologique Canada dans des installations certifiées Ecocert. Il a ensuite communiqué avec le Centre d'emploi Compétences mondiales, une organisation d'Ottawa qui trouve des emplois aux immigrants et réfugiés récemment arrivés, et les a réunis. À ce jour, SuraiTea Inc. emploie 20 réfugiés syriens qui travaillent sur le projet. « Plus nos clients nous appuient en s'inscrivant à notre boutique en ligne et en achetant nos thés, plus nous pouvons créer de changement social positif pour les réfugiés », dit-il.
Durabilité et affaires
L'objectif à long terme de Kevin pour SuraiTea Inc. est de finir par développer l'entreprise et ajouter d'autres gammes de thés d'autres régions du monde qui connaissent des crises humanitaires, telles que l'Afrique de l'Est, le Sri Lanka et ailleurs. « Les régions qui produisent certains des meilleurs thés connaissent aussi, malheureusement, certaines des pires situations », indique-t-il. « La Syrie a actuellement plus de 20 millions de réfugiés, mais il y a en réalité plus de 55 millions de réfugiés au total dans le monde, ce n'est donc pas juste un problème syrien. »
Kevin dit que le programme de MBA à l'École de gestion Telfer l'a aidé à acquérir les connaissances nécessaires pour créer son entreprise de A à Z. « L'École de gestion Telfer a vraiment été une expérience transformationnelle pour moi », déclare-t-il. « C'est là où j'ai découvert la certification B Corp, où j'ai appris que les entreprises vraiment fructueuses sont celles qui peuvent résoudre des problèmes, où j'ai découvert la motivation intrinsèque et où la flamme de l'entrepreneuriat est née en moi. »
CBC News a couvert l'histoire de SuraiTea Inc. Pour lire l'article, cliquez sur le lien suivant : http://tlfr.ca/547t3. Pour visionner le clip télévisuel, cliquez ici : http://tlfr.ca/u2xhx (l'histoire commence à 43 min 30 s.)
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Dasha Shakov, étudiante en troisième année inscrite au B.Com. avec option en marketing, est une entrepreneure innovatrice qui inspirera et impressionnera sans aucun doute toutes les personnes qu'elle rencontrera pendant de nombreuses années à venir. En tant qu'étudiante, qui jongle un emploi à temps partiel, le yoga, les voyages et les activités parascolaires, Dasha a en plus pu trouver du temps pour fonder Parcelly, une société d'expédition de colis en ligne, avec sa mère. L'idée derrière Parcelly est d'offrir une solution de cadeaux uniques pour ses amis, les membres desa famille et ses êtres chers qui sont loins. Les colis sont composés de 4 à 5 articles autour d'un thème spécifique, tels qu'un anniversaire, un mariage ou même une séparation. Une fois que la personne commande un colis dans la boutique en ligne, la mère et la fille réunissent les articles dans une boîte et l'expédient à l'adresse du destinataire. « C'est une façon aisée, significative et créative de montrer qu'on pense à quelqu'un », dit-elle.
Dasha dédie aussi beaucoup de temps à son rôle de directrice des événements de l'Association de droit des affaires Telfer. Elle a participé à la planification du concours de plaidoirie, de l'événement Vins et fromages et de la troisième série de conférences annuelles du club. « Faire partie d'un club vous permet de dialoguer avec des gens incroyables, d'organiser diverses activités et d'y participer », indique-t-elle. « C'est une façon vraiment amusante de se créer des souvenirs inoubliables! »
Dasha se sent chez elle à l'École de gestion Telfer. L'École étant située au cœur de la capitale nationale, elle aime y rencontrer d'autres étudiants brillants qui viennent de partout dans le monde. « L'École de gestion Telfer m'a permis d'élargir mes horizons et de rencontrer une myriade de personnes fantastiques qui partagent les mêmes affinités que moi. C'est un milieu stimulant pour apprendre », déclare-t-elle.
Ce qui compte le plus pour Dasha, c'est d'être authentique, de relever de nouveaux défis, d'explorer de nouvelles possibilités et de dire « oui » aux choses qui sortent de sa zone de confort. Elle a récemment fait une demande pour étudier en France l'année prochaine par l'entremise du Programme d'échanges internationaux. « Vivre et apprendre loin de chez soi, dans un pays étranger, sort définitivement de ma zone de confort. Toutefois, ce sera une expérience formidable dont je me souviendrai pour le restant de ma vie », affirme-t-elle.
La compagnie de Dasha, Parcelly, a été présentée dans d'autres articles publiés par des revues sur le campus, comme The Fulcrum et Her Campus, et a également fait l’objet d’un profil dans Kidbacker.
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L'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa vient de participer à la compétition régionale du championnat canadien Enactus, et a reçu plusieurs prix d'excellence lors du rassemblement de plus de 25 autres universités et collèges pour son excellence en action entrepreneuriale et en leadership communautaire. Enactus, le plus grand organisme étudiant axé sur l'entrepreneuriat au Canada, encourage les jeunes d'aujourd'hui à promouvoir la croissance économique, environnementale et sociale de leur communauté.
Les championnats régionaux d'Enactus Canada pour le Centre du Canada se sont déroulés au Hilton Meadowvale à Mississauga (Ontario) et ont permis d'approuver les réalisations entrepreneuriales de plus de 500 étudiants de la région. Avec l'aide supplémentaire de professionnels, de conseillers pédagogiques et d'organisateurs, l'événement de deux jours a réuni l'esprit compétitif, la collaboration et la célébration. Les étudiants s'affrontaient dans des exposés en direct visant à démontrer leur action positive dans leurs communautés locales et internationales, et ce, dans les catégories de l'entrepreneuriat, des enjeux environnementaux, de l'autonomisation des jeunes et de l'éducation financière.
Enactus uOttawa, un groupe maintenant composé de plus de 116 jeunes dirigeants motivés de sept différentes facultés de l'Université d'Ottawa, a concouru dans les quatre catégories. En reconnaissance de l'incroyable incidence qu'elle a eue grâce à divers projets novateurs et à fort impact, l'équipe a obtenu la place de premier finaliste du Défi vert ÉcoVie de la Banque Scotia, du Défi d'éducation financière de Capital One, et du Défi d'autonomisation des jeunes de la Banque Scotia, et a remporté un prix impact pour le Défi de l'entrepreneuriat de la Banque TD. En plus de ces réalisations, la vice-présidente de la gestion de projets, Shevaun Ensor-Harrison a reçu le prix dirigeante de la Banque HSBC de demain 2016, Centre du Canada, en reconnaissance de sa contribution à Enactus et de son engagement à améliorer la vie des habitants de sa communauté grâce à l'action entrepreneuriale.
L'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa passera maintenant à la compétition de l'Exposition nationale d'Enactus Canada, qui aura lieu du 2 au 4 mai à Toronto (Canada), au Metro Toronto Convention Centre, et s'efforcera de conserver le titre d'Équipe Canada une fois de plus pour 2016. Suivez la progression de l'équipe sur Facebook, Twitter et LinkedIn.
Enactus uOttawa souhaiterait remercier tous ses partisans et conseillers, et aimerait féliciter toutes les équipes qui ont participé pour leur incidence positive sur leur communauté.
- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
En raison de la récente hausse d'activités entrepreneuriales sur le campus de l'Université d'Ottawa, il convient de reconnaître et de célébrer l'aboutissement de chaque cycle annuel d'enseignement, de compétitions, d'ateliers et de travail acharné qui donne lieu à de formidables entreprises en démarrage.
À l'automne 2015 et au début de 2016, nous avons mené la deuxième recherche annuelle pour trouver les cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus de l'Université d'Ottawa. Il s'agit d'un effort de collaboration entre l'École de gestion Telfer, la Faculté de génie, Garage Démarrage et le Carrefour de l'entrepreneuriat de l'Université d'Ottawa.
« Chaque année, la qualité des entreprises en démarrage sur le campus s'améliore », a déclaré Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l'École de gestion Telfer. « L'intérêt des étudiants, le programme des facultés et la croissance de la culture d'entrepreneuriat contribuent à une meilleure qualité, et je suis heureux de constater que notre nouvelle génération de dirigeants crée ses propres occasions. »
Voici les cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa, sans ordre particulier :
Helix (optimisé par MicroMetrics)
- Cofondateurs : Andre Richards, dirigeant principal de la technologie (baccalauréat ès sciences spécialisé, 2011, uOttawa) et Artem Abramov, président-directeur général.
- MicroMetrics est une entreprise de logiciels qui met l'accent sur l'innovation de l'expérience du client. En collaboration avec TripAdvisor, elle a mis au point Helix, une plateforme de gestion de l'expérience du client qui permet au personnel hôtelier de répondre en temps réel aux mécontentements des clients. Depuis son introduction, Helix a aidé des marques comme Starwood et IHG à fournir des expériences de service à la clientèle mémorables, à améliorer les taux de fréquentation et à surpasser leurs concurrents à des propriétés de premier plan en Amérique du Nord.
Gymtrack
- Cofondateurs : Lee Silverstone, président-directeur général, et Pablo Srugo, directeur de l'exploitation.
- Gymtrack est une plateforme qui offre un entraîneur personnel à chacun par l'entremise de son gymnase; elle a une incidence sur l'industrie des gymnases, qui s'élève à 80 milliards de dollars. Gymtrack fournit aux gymnases un entraînement personnel qui suit automatiquement toute la séance d'entraînement, de la musculation au cardio, en plus d'aider les gymnases à réduire leur perte de clientèle.
Go Give-Back
- Cofondateurs : Lemuel Barango, (baccalauréat ès sciences, 2015, uOttawa) et Liora Raitblat, B.Com. Telfer, 2015, uOttawa).
- Go Give-Back offre une solution pour les organisations caritatives; il s'agit d'une plateforme mobile qui permet de faire des dons et, ainsi, de répondre au facteur d'impulsion. Cette application fournit des données démographiques détaillées à l'organisation, y compris des analyses « en mouvement » qui sont utilisées pour conserver et mobiliser les donateurs.
TruReach
- Fondateur : Jeff Perron, MBA (candidat au doctorat en psychologie clinique, uOttawa); responsable de clinique : Mme Joti Samra, Ph. D., psychologie clinique)
- TruReach offre un accès instantané à des thérapies cognitivo-comportementales scientifiquement prouvées. Cette application permet d'éliminer le stigmate associé à la maladie mentale et aide les gens à se sentir mieux plus rapidement. TruReach réduit les coûts associés à la gestion de la maladie mentale, et ses analyses fournissent aux organismes les données pour le prouver.
Spectrafy
- Cofondateurs : Richard Beal, président-directeur général, et Viktar Tatsiankou (B.Sc.A., M.Sc.A., génie électrique et génie informatique, uOttawa).
- Spectrafy a réinventé la façon dont nous mesurons la lumière du soleil et l'atmosphère. La solution de Spectrafy, SolarSIM, combine du matériel simple et des logiciels révolutionnaires pour diminuer de plus d'un ordre de grandeur les coûts liés à la mesure de la lumière du soleil et de l'atmosphère.
Comment les cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus ont-elles été sélectionnées?
Un comité d'étude composé de quatre dirigeants sur le campus qui dirigent diverses activités entrepreneuriales a choisi les candidats possibles à partir des entreprises en démarrage dans leurs programmes. De plus, un appel de mises en candidature public sur le Web a permis aux entreprises en démarrage de manifester leur intérêt. Le comité a ensuite évalué les candidats, et une première longue liste des meilleures entreprises en démarrage a été établie.
Une rétroaction de divers diplômés et entrepreneurs de Silicon Valley a été obtenue avant la sélection de la liste définitive des cinq meilleures entreprises en démarrage. Des entreprises en démarrage sélectionnées parmi les cinq meilleures seront invitées à visiter Silicon Valley pour une expérience d'apprentissage et de développement des entreprises. Le nombre exact d'entreprises en démarrage qui seront invitées à Silicon Valley dépendra du financement disponible.
Photo: Liora Raitblat, cofondatrice de Go Give-Back, à Startup Weekend 2015 (27 février au 1 mars)
- Catégorie : Actualités
L'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa a organisé son concours annuel exemplaire d'étude de cas « Strat24 » la fin de semaine dernière. Cette compétition est l'occasion par excellence pour les étudiants en génie et en commerce de l'Université d'Ottawa de travailler ensemble pour mettre en valeur leurs talents intellectuels et créatifs.
Douze équipes, chacune composée de deux étudiants de l'École de gestion Telfer et de deux étudiants de la Faculté de génie, se sont vu attribuer un cas réel, créé en collaboration avec le commanditaire de Strat24, Hydro Ottawa. Les équipes n'avaient que 24 heures pour résoudre leur cas; elles ont donc travaillé toute la nuit pour trouver des solutions novatrices et uniques. Elles ont ensuite présenté leurs solutions à un jury, et les gagnants de chaque groupe ont ensuite participé à la dernière ronde de présentations.
Grâce au soutien d'Hydro Ottawa et à l'esprit de compétition de 48 étudiants appliqués de l'Université d'Ottawa, la cinquième édition de cette activité annuelle a connu un succès retentissant.
L'équipe gagnante, composée de Roma Stepanchenko, Katya Berezovskaia, Amanda Godin et Barry Li, a proposé qu'Hydro Ottawa adopte la technologie d'un réseau électrique intelligent au moyen d'une application, ce qui permettrait à l'entreprise de services publics d'aider ses clients à réduire leur consommation d'énergie et leur empreinte carbone sans nuire à son bénéfice net. La solution proposée a permis aux quatre étudiants de remporter la première place, soit un prix en argent de 4 000 $.
Félicitations à tous les participants pour leur travail et leurs solutions créatives! Des détails sur la prochaine édition du concours seront publiés sur le site www.strat24.com [Ce lien n'est plus disponible] ou sur les médias sociaux de l'équipe Enactus de l'Université d'Ottawa.
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Enactus uOttawa
613-562-5800, poste 3700
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