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À l’École de gestion Telfer, la direction des programmes de cycle supérieur ainsi que des programmes destinés aux cadres se renouvelle régulièrement. Sur la recommandation favorable du comité de sélection, Stéphane Brutus, doyen de l’École de gestion Telfer, a annoncé la nomination du professeur Walid Ben Amar à la fonction de directeur du programme de doctorat en gestion pour un mandat de trois ans, soit du 1er juillet 2022 au 30 juin 2025.
Portrait du nouveau directeur
Titulaire d’une maîtrise ès sciences comptables de l’Université du Québec à Montréal et d’un doctorat en administration des affaires de l’École de gestion HEC Montréal, Walid Ben Amar est actuellement professeur agrégé de comptabilité à Telfer, où il enseigne la finance et la comptabilité de gestion au premier cycle ainsi qu’au programme de MBA. Il siège par ailleurs au comité sur l’équité, la diversité et l’inclusion, qui œuvre à intégrer ces principes dans les programmes à Telfer.
Évolution du programme de doctorat en gestion de Telfer
La création d’un programme de doctorat, projet que L’École de gestion Telfer nourrissait depuis 40 ans, s’est réalisé sous la direction du doyen François Julien. La professeure Barbara Orser, de concert avec Danielle Bennette, s’est attelée à la tâche, avec l’appui du doyen Julien. Au bout de plusieurs années de dévouement et d’efforts, le programme a obtenu les approbations nécessaires en 2013, pour enfin voir le jour en 2016.
Ayant travaillé pendant deux ans à l’élaboration du programme, la professeure Silvia Bonaccio en a été la première directrice, en plus d’être une des principales artisanes de sa réussite. Au terme du mandat de cette dernière, la professeure Mirou Jaana a repris le flambeau et mené la première révision du doctorat, auquel s’est ajouté le volet « stratégie et organisation ».
Aujourd’hui, le programme compte six domaines d’études clés : comptabilité et contrôle, entrepreneuriat, finance, systèmes de santé, gestion des ressources humaines et comportements organisationnels, et stratégie et organisation.
En 2021, après avoir brillamment défendu sa thèse, Vusal Babashov est devenu le premier diplômé du programme de doctorat en gestion de Telfer. Il affirme que ces années d’études ont fait de lui une « meilleure personne, plus motivée et dotée de compétences en matière de résolution de problèmes et de leadership ».
Nos sincères remerciements à la professeure Chreim
La professeure Samia Chreim, directrice sortante du programme de doctorat, y a aussi laissé sa marque. « Grâce à elle, les doctorantes et doctorants ont accompli des progrès remarquables, en dépit de circonstances très difficiles », a souligné le doyen Brutus lors de l’annonce du changement de direction. En effet, la professeure Chreim a intégré de la souplesse et du soutien mental pour les étudiantes et étudiants pendant la pandémie, en plus d’organiser grand nombre de séances d’information et de mettre sur pied le salon étudiant du programme de doctorat. Nous remercions chaleureusement la professeure Samia Chreim pour son travail exceptionnel et son dévouement envers le programme de doctorat et sa communauté étudiante.
- Catégorie : Annonces Telfer
Le 23 juin dernier, l’École de gestion Telfer a tenu son Assemblée annuelle de reconnaissance de l’excellence. Organisée pour la première fois par le doyen Stéphane Brutus, cette assemblée annuelle estivale est l’occasion de souligner les efforts et le travail exceptionnel du corps professoral et des membres du personnel de Telfer en les récompensant avec des prix attribués par vote de leurs collègues et de leurs pairs.
Prix d’excellence Telfer remaniés
Les lauréates et lauréats des Prix d’excellence Telfer (« Telfie »)sont des membres du personnel et du corps professoral qui se sont distingués par l’excellence de leur service et de leur dévouement à leur travail, tout en faisant preuve de leadership et d’initiative qui ont grandement bénéficié à la communauté de Telfer. Pour la première fois depuis sa création, les membres du corps professoral à temps partiel pouvaient également prendre part au vote, créant ainsi trois prix supplémentaires en reconnaissance à la contribution des professeur.e.s à temps partiel. Les gagnant.e.s des Prix d’excellence Telfer 2021 sont :
Membres du personnel administratif
- Marielle Brabant, analyste financière
- Rania Nasrallah-Massaad, conseillère à la recherche
- Nathalie Paré, spécialiste du succès scolaire et de l’expérience étudiante
Membres du corps professoral à temps plein
- Wojtek Michalowski, professeur titulaire en informatique de la santé et aide à la décision, et ancien doyen intérimaire
- Jane O’Reilly, professeure agrégée et boursière Telfer sur le bien-être au travail
- Shantanu Dutta, vice-doyen (recherche) et boursier Telfer en finance internationale
Membres du corps professoral à temps partiel
- Jasmin Manseau, professeur à temps partiel sous nomination à long terme, candidat au Ph. D.
- Marc Tassé, expert en éthique des entreprises et en crimes financiers et professeur à temps partiel
- Dorra Jlouli, fondatrice et PDG de Green & Smart Alternatives et professeure à temps partiel
Prix d’excellence en service Patricia Ann O’Rourke
Introduit en 2014, ce prix rend hommage à Patricia Ann O’Rourke, une personne qui a rendu des services exceptionnels tout au long de sa carrière, au profit de l’École Telfer et de ses partenaires. Elle personnifiait l’excellence en service et était une source d’inspiration pour chacun de ses collègues, qu’ils soient membres du corps professoral ou du personnel administratif. Patricia a pris sa retraite cette même année, après 32 ans de service.
Ce prix annuel reconnaît les employé.e.s (du corps professoral ou du personnel administratif) qui ont démontré une forte volonté et une capacité d’aider les autres et, ce faisant, de promouvoir les intérêts de l’École Telfer et de contribuer au développement d’une culture d’excellence en service.
Le gagnant du Prix d’excellence en service Patricia Ann O’Rourke 2021 est :
- Jeff Lanthier, gestionnaire principal du support informatique
Félicitations à tou.te.s les gagnant.e.s de 2021 qui, à leur façon et de manière unique, adhèrent à la vision de Telfer pour bâtir un meilleur Canada grâce à leur travail et à leur dévouement envers notre École!
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Diplômé d’une maîtrise en science des systèmes (uOttawa, 2012) et analyste de données chez Baker Tilly Ottawa LLP, Abtin Shakiba a récemment reçu le prix Ottawa Award 2021 du magazine Faces pour le meilleur analyste de données à Ottawa. Abtin, très heureux, a fait part de son succès sur LinkedIn et son fier employeur l’a félicité.
Abtin se spécialise dans l’intégration et la mobilisation des clients en vue de leur croissance et de leur expansion. Il aime aider les clients à résoudre efficacement leurs problèmes tout en offrant des services de consultation qui permettent de gagner du temps et de l’argent grâce à l’utilisation de données et d’analyses.
Abtin travaille sur plusieurs projets en appliquant des analyses avancées de données, des technologies, des renseignements sur les données, l’exploration de données, la modélisation de données, des algorithmes, l’automatisation et des outils de visualisation. Il se passionne pour l’établissement de la confiance de ses clients à l’égard de produits et de services de données complets, tout en mettant l’accent sur l’éducation et en développant des outils plus sophistiqués et évolutifs pour s’attaquer aux problèmes de données complexes au sein de l’industrie.
Le parcours du meilleur analyste de données d’Ottawa
Après avoir obtenu un baccalauréat avec spécialisation en commerce électronique en Malaisie, il a obtenu une maîtrise en génie des systèmes en 2012, un programme conjoint de la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa et de l’École de gestion Telfer. Pendant sa maîtrise, il a travaillé en étroite collaboration avec son directeur de thèse, la professeure de Telfer Sandra Schillo. Abtin a dit : « J’ai toujours aimé les chiffres et leurs relations entre eux. Cependant, le parcours a commencé à l’Université d’Ottawa lorsque je préparais ma thèse de maîtrise sous la supervision de la professeure Sandra Schillo. Nous recueillons et analysons les chiffres pour trouver des questions et des solutions à des problèmes réels. » Il a également ajouté qu’il avait acquis la capacité d’examiner des questions sous différents angles : « J’ai appris à regarder les questions sous différents angles, à sortir des sentiers battus, à apprendre des leçons de vie, à développer et à perfectionner mes compétences. »
Après avoir réfléchi à son parcours jusqu’à la remise de son prix d’Ottawa Award, Abtin a noté : « J’ai commencé à travailler dans quelques entreprises en démarrage (je le suggère fortement à tout le monde), ce qui m’a aidé à établir mon réseau professionnel et à progresser lentement dans ma vie personnelle et professionnelle. J’ai gardé contact avec des amis de l’université, des collègues de classe, des professeurs, des experts en la matière et quiconque m’a appris quelque chose de nouveau. Ce sont ces personnes qui ont proposé ma candidature et qui m’appuient, et je serai là pour elles lorsqu’elles auront besoin de moi. »
Abtin a continué de travailler avec la professeure Schillo lorsqu’elle l’a entraîné dans un projet de recherche dans le domaine des biocarburants sur lequel elle travaillait. La professeure Schilo s’est exprimé sur son expérience de travail avec Abtin sur le projet : « les données que nous cherchions étaient difficiles à trouver. Abtin a dû creuser beaucoup pour trouver les données que nous cherchions. » En 2017, la prof. Schillo, Abtin et la prof. Diane Isabelle de l’école de commerce de l’Université Carleton ont vu leur article, intitulée « Linking advanced biofuels policies with stakeholder interests: A method building on Qualty Function Deployment », publiée dans la revue scientifique Energy Policy d’Elsevier. L’article traite des biocarburants avancés et de leur incidence sur les décideurs canadiens dans l’industrie de l’énergie renouvelable.
La professeure Schillo était ravie de voir Abtin gagner : « Je suis très fier des réalisations d’Abtin. Il travaille extrêmement fort, et c’est la raison pour laquelle il aurait reçu un tel prix. Il a un bon esprit d’équipe et il a toujours aimé apprendre de nouvelles choses, et j’ai beaucoup de respect pour lui après avoir travaillé ensemble au fil des ans pendant sa thèse, sur notre article et lorsqu’il était assistant à l’enseignement pour l’un de mes cours. »
En conclusion, Abtin a fait part de ce qu’il a retenu en matière de perfectionnement professionnel : « Peu importe où vous travaillez, quand vous commencez et où vous en êtes dans votre vie, le dévouement, le professionnalisme et le travail acharné se manifesteront toujours lorsque vous vous y attendez le moins. »
Félicitations à Abtin pour ses réalisations exceptionnelles, et nous lui souhaitons beaucoup de succès dans sa carrière.
- Catégorie : Annonces Telfer
Félicitations à Vusal Babashov, maintenant diplômé au doctorat de Telfer, pour avoir terminé avec succès son programme de doctorat. Il a soutenu sa thèse sur les problèmes pratiques de l'analyse des soins de santé il y a tout juste quelques semaines.
Premier d'une longue série de doctorants
Vusal a présenté un récapitulatif de sa thèse et a défendu celle-ci à la suite de deux séries de questions pointues posées par les membres du jury. Satisfaits de ses réponses, ils ont unanimement reconnu qu'il avait soutenu sa thèse avec succès. Il sera donc le tout premier étudiant à avoir officiellement complété son doctorat à l'École de gestion Telfer.
Vusal a commencé ses recherches sur les systèmes de santé en 2016 lors de la création du doctorat en gestion de Telfer. « Ces quatre années de doctorat ont été incroyables, stimulantes et parfois même stressantes. », a déclaré Vusal en faisant le point sur son parcours à Telfer. « C'est une aventure longue et unique par laquelle vous devenez non seulement un expert dans votre domaine de recherche, mais aussi une meilleure personne, plus motivée et dotée de compétences en matière de résolution de problèmes et de leadership. Il y a certainement beaucoup à apprendre de cette expérience. Je suis profondément reconnaissant à tous, y compris à mes superviseurs, pour le soutien et les conseils qu'ils m'ont apportés tout au long de ce parcours. Je suis heureux d'avoir pu enfin atteindre la ligne d'arrivée de ce marathon, et je souhaite bonne chance aux autres candidats au doctorat. »
La ligne d’arrivée
Vusal a travaillé en étroite collaboration avec ses codirecteurs de thèse, Jonathan Patrick, professeur titulaire et vice-doyen (faculté) à Telfer, et le professeur adjoint Antoine Sauré, tout au long de son parcours de thèse. Le professeur Patrick a fait part de ses réflexions sur sa collaboration avec son étudiant : « Ce fut pour moi une grande satisfaction de voir Vusal soutenir sa thèse. L'élaboration d'une thèse digne d'être défendue est un processus long et difficile. Chaque recherche comporte ses obstacles - des pistes prometteuses qui ne mènent nulle part, des éléments déroutants qui prennent des mois à comprendre - et je sais qu'à de nombreuses reprises, Vusal a été tenté d'abandonner. Le fait qu'il ait persévéré et qu'il soit maintenant capable de récolter les fruits de cette détermination témoigne de son caractère. Alors, félicitations à Vusal d’être le premier diplômé du programme de doctorat de Telfer! »
Le professeur Sauré a également témoigné de son sentiment de fierté envers ce fait d’arme : « L’expérience que Vusal a acquise, son dévouement, sa détermination à maîtriser de nouveaux concepts et son désir de faire une différence positive dans son travail sont des atouts qui feront de lui un excellent professionnel peu importe le cheminement de carrière qu'il choisira. J'attends de lui qu'il continue à enrichir notre domaine de différentes manières, car sa contribution est très précieuse ».
Vusal a jusqu'au 18 février pour compléter la révision suite aux commentaires reçues lors de la présentation de sa thèse, qui sera ensuite approuvée par ses directeurs de thèse avant d'être officiellement soumise à la bibliothèque de l'Université d'Ottawa.
Sujet de la thèse :
Trois problèmes pratiques dans l'analyse des soins de santé
Jury/examinateurs :
Gilles Reinhardt, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Jonathan Li, professeur associé à l'Université d'Ottawa
Onur Ozturk, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Peter Vanberkel, professeur associé à l'Université de Dalhousie
Codirecteurs de thèse :
Jonathan Patrick, professeur titulaire à l'Université d'Ottawa
Antoine Sauré, professeur adjoint à l'Université d'Ottawa
Présidente du jury :
Samia Chreim, professeure titulaire à l'Université d'Ottawa
Date de la soutenance :
Le lundi 18 janvier de 9 h à 12 h (HNE)
Vusal est le premier des nombreux étudiants qui termineront leur doctorat cette année à Telfer. Nous sommes extrêmement fiers de tous nos candidats au doctorat et nous nous réjouissons de leur succès.
Restez à l'écoute pour en savoir plus sur cet important jalon pour Telfer. Félicitations à tous les professeurs, membres du personnel et étudiants qui ont aidé Vusal tout au long de son parcours et ont rendu cet exploit possible.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Futurs diplômés
Depuis 2010, le projet F.L.Y. (Future Leaders in Youth) est géré par Enactus uOttawa en tant que programme de leadership qui a pour mission de responsabiliser les jeunes. Ces étudiants universitaires enseignent aux jeunes certaines des compétences les plus importantes de la vie à travers des ateliers stimulants qui leur fourniront l’occasion de s’épanouir sur le plan personnel et professionnel.
La semaine dernière, le projet F.L.Y. a été mentionné dans un article publié par The Star à Toronto, qui soulignait l'habileté de l’équipe à aider les étudiants à mieux comprendre le bien-être mental : un sujet qui devient de plus en plus important, surtout avec les restrictions misent en place à cause de la COVID-19.
Avec l’aide de Jack.org, les représentants du projet F.L.Y. ont créé un programme de santé mentale dans l’ensemble des écoles de la région, des groupes communautaires et des communautés rurales afin d’éduquer les jeunes de tous âges sur le bien-être mental, tout en renforçant leur habileté à demander de l'aide et du soutien en cas de besoin. Les sujets abordés dans le programme d'enseignement élémentaire comprennent le discours intérieur positif, les activités de soins et l’enseignement de la pleine conscience.
Au cours de la dernière année, Enactus uOttawa a pris énormément d'ampleur en collaborant avec huit (8) nouvelles écoles partenaires et suscitant l’intérêt de 500 participants à ses ateliers.
Apprenez-en davantage sur les nombreuses initiatives orchestrées dans le cadre du projet F.L.Y. dans l’article publié dans The Star. (Article disponible en anglais seulement)
*Photos d'archive (2019)
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Pouya safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa, Récipiendaire de le prix Jeune Phénix
Le prix Jeune Phénix, créé à l'occasion du 30e anniversaire de l'École de gestion Telfer, reconnaît l'excellence de jeunes diplômés (moins de 40 ans) ayant relevé d'importants défis dans une courte période de temps.
On me fait l’honneur de me remettre le prix Jeune Phénix, et j’en suis reconnaissant. Je dois toutefois dire que toutes mes réalisations sont le fruit des occasions qui m’ont été offertes, en particulier à l’École de gestion Telfer. Je n’en reviens pas de la confiance qu’on m’y a manifestée.
Peu après la fin de mon MBA à Telfer, on m’a offert d’aider à améliorer le volet d’apprentissage expérientiel des cours de finance du B.Com. pour mieux préparer les diplômés à assumer divers rôles dans le monde de la finance. L’École Telfer m’a aussi accueilli comme chargé de cours et professeur à temps partiel. Les connaissances et l’expérience que j’ai acquises m’ont ensuite permis de décrocher le poste de directeur associé de l’Institut de développement professionnel de l’Université d’Ottawa.
Les cours que je donne au premier cycle portent sur l’éthique, la durabilité et la responsabilité sociale, des choses d’une importance vitale en finance et en innovation. L’innovation est autant le produit de l’égalité des chances que du savoir-faire technologique et de l’excellence scientifique. Je crois que le Canada peut atteindre à la fois l’excellence et l’égalité des chances en s’appuyant sur ses fondements multiculturels.
En fait, notre pays peut devenir un chef de file de l’innovation en veillant à ce que les nouveaux Canadiens aient la chance de bien s’intégrer, à ce que tous les Canadiens aient la possibilité d’ajouter des cordes à leur arc par la formation continue et à ce que les jeunes Canadiens n’aient pas à s’exiler pour poursuivre leurs objectifs professionnels et leurs projets d’entreprise.
La pandémie de coronavirus est un type particulier d’ouverture. Personne ne l’a voulue et, pourtant, elle provoque beaucoup de changements rapides, entre autres dans nos méthodes de travail. Très bientôt, de nombreuses occasions d’améliorer les choses se présenteront. Le Canada doit les saisir pour devenir plus juste, plus équitable et plus vert. J’encourage les étudiants et étudiantes de Telfer à prendre part au mouvement.
Pour ce faire, voici cinq leçons que j’ai apprises : premièrement, visez le bonheur, et non la richesse. Le bonheur fait ressortir nos meilleures qualités. L’argent suivra. Deuxièmement, ne vous comparez pas aux autres : vous aurez plus de succès en suivant votre propre chemin. Troisièmement, lorsque ce sera de nouveau possible, voyagez pour élargir vos horizons. Quatrièmement, continuez à apprendre après avoir eu votre diplôme. Enfin, cinquièmement, trouvez une cause qui vous tient à cœur et à qui vos connaissances pourraient être utiles. Votre chance vous attend. Ne la laissez pas filer.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Pouya Safi (MBA 2013), directeur associé, Institut de développement professionnel uOttawa.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada passe par un partage plus équitable des ressources de notre pays entre les Canadiens eux-mêmes et avec les pays pauvres. Au Canada, le partage est une attitude, fondée sur l’inclusion et la tolérance. C’est aussi une action : régler nos désaccords de façon pacifique et réunir les contributions de toutes sortes de gens pour résoudre nos problèmes.
À l’étranger, les possibilités de partage sont infinies. J’ai géré des hôpitaux à Thunder Bay, Hamilton, Wingham et Pembroke. À ma retraite, ma femme et moi avons commencé à diriger des équipes de bénévoles canadiens pour améliorer les infrastructures hospitalières en Tanzanie. Au cours des 15 dernières années, en collaboration avec l’Alliance de santé communautaire Canada-Afrique (organisme affilié à l’Université d’Ottawa), nous avons supervisé 16 missions réunissant 120 bénévoles canadiens. Ces bénévoles ont travaillé 500 semaines à 25 projets d’amélioration des hôpitaux totalisant plus de 300 000 $ en dons.
Aider les autres est une source de satisfaction personnelle et professionnelle. C’est le genre de travail qu’on se sent bien de faire comme Canadien. C’est aussi ce qui nous rend meilleurs comme pays. Le Canada est vu comme un pays pacifique qui aborde les problèmes de façon non partisane. Cette approche impartiale, fondée sur le partage de nos connaissances avec les personnes les plus affectées et vulnérables, et une denrée rare aujourd’hui.
Cette approche est sans doute plus nécessaire que jamais. La pandémie de coronavirus a montré à quel point le monde est interconnecté et donc à quel point nous sommes vulnérables et dépendons les uns des autres. Comme Canadiens, nous avons bâti un système de santé universel conçu pour permettre à tous de vivre en meilleure santé. Nous devons continuer de soutenir et d’améliorer ce système.
La maîtrise en gestion des services de santé de Telfer a beaucoup contribué à la valorisation de la profession. C’était vrai quand j’ai obtenu mon diplôme en 1973, et ce l’est encore aujourd’hui. En 50 ans de carrière en santé, certains de mes outils et méthodes ont évolué, mais les principes fondamentaux demeurent : l’utilisation des données et la planification stratégique, le leadership et le travail d’équipe, la bienveillance et le partage.
L’École Telfer m’a aussi donné des camarades de classe à qui j’ai pu demander de l’aide et des conseils. J’encourage les étudiants et étudiantes de la maîtrise en gestion des services de santé de Telfer à garder le contact avec leurs camarades de classe. En faisant votre chemin dans le système de santé, vous en viendrez à comprendre que vous et votre organisation avez besoin des autres. En tant que dirigeant, vous devez vous mettre au centre d’un environnement organisationnel fondé sur le partage : le partage entre votre organisation et les autres, et entre le système de santé et les gens qu’il sert.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Lloyd Koch (MGSS 1973), Ancien PDG, Hôpital Régional de Pembroke.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Le Canada est un pays de plus en plus marqué par la diversité. Plus que jamais, des gens nous
arrivent de partout, riches de parcours variés et de vastes bagages d’expériences et de
connaissances. C’est beau à voir et il faut que ça continue. Toutefois, la diversité elle-même
ne représente qu’une partie de l’équation.
Il faut aussi travailler sur l’inclusion. Un Canada véritablement équitable, c’est un pays où des
gens de tous les horizons et de toutes les couleurs participent activement aux actions et aux
décisions à tous les niveaux de la hiérarchie de nos entreprises, de nos organismes et de nos
institutions publiques.
La fonction publique, en particulier, se doit d’être plus inclusive. Une fonction publique
vraiment représentative de sa clientèle créera des politiques plus éclairées, offrira un meilleur
service et gagnera durablement la confiance des Canadiens et Canadiennes par son efficacité
et son ingéniosité. La diversité et l’inclusion sont bonnes pour les affaires, un point c’est
tout, car elles vont souvent de pair avec le succès et la résilience.
Pour moi, l’inclusion dans la fonction publique est aussi une conviction personnelle. Je suis
la fille d’immigrants haïtiens et la première personne noire à atteindre le rang de sous-
ministre dans la fonction publique fédérale. J’ai commencé comme étudiante dans un poste
de ressources humaines il y a plus de 30 ans. Je suis depuis peu sous-ministre déléguée à
Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, ce dont je suis extrêmement fière. Pourtant, je
me pose la question : pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps?
Tout le monde se pose ce genre de question ces temps-ci. La pandémie de coronavirus —
qui a affecté tant de gens, et en particulier les populations vulnérables — et les appels
pressants à la justice sociale ont provoqué un examen de conscience au Canada et dans la
fonction publique. Mes collègues et moi tenons à ce que la représentation, les politiques, les
programmes, les services et les organisations au fédéral reflètent la diversité de la population
et répondent à ses besoins les plus pressants, et nous travaillons en ce sens. J’ai moi-même le
devoir et le privilège de veiller à ce que les portes restent grandes ouvertes pour les
personnes comme moi.
Mon B.Com. de Telfer m’a appris à tirer parti des occasions qui se présentent, surtout dans
les moments difficiles. Pendant mon congé parental en 1995, j’ai utilisé mes connaissances et
mes compétences entrepreneuriales pour cofonder The Bagel Run, inc. — la première
fabrique de bagels montréalais cuits au four à bois d’Orléans (Ontario) —, toujours en
activité 25 ans plus tard. Aujourd’hui plus que jamais, il est important que les étudiants et
étudiantes de Telfer mettent leurs connaissances et leurs compétences au service de leurs
communautés. Prenez acte de la nouvelle réalité. Repérez les possibilités. Puis faites-vous un
plan et agissez pour bâtir un meilleur Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Caroline Xavier (B.Adm. 1990), Sous-ministre déléguée, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing, Récipiendaire de la médaille Trudeau 2020.
Établie en l'honneur du révérend père Roland Trudeau, o.m.i. et directeur du Département de commerce de 1950 à 1965, la médaille Trudeau a été instaurée en 1989. Elle est l'honneur le plus prestigieux qu'accorde l'École de gestion Telfer. Le but visé est de mettre en évidence l'excellence de nos anciennes et anciens pour offrir des modèles à nos jeunes diplômés.
Un meilleur Canada, c'est un Canada plus empathique. Mon entreprise, QMR Consulting
and Professional Staffing, cultive l’empathie pour offrir un milieu de travail agréable à ses
employés et entretenir des relations fructueuses avec ses clients. Premièrement, chez nous,
l’empathie est une exigence à l’embauche. Lorsque nous avons un poste à pourvoir, nous
cherchons des candidats qui manifestent une volonté d’écouter les autres et d’apprendre de
leurs points de vue et expériences.
Deuxièmement, l’empathie est une chose que nous pratiquons au quotidien, ce qui
commence par prendre le temps d’écouter nos collègues et nos clients pour bien
comprendre leurs problèmes, leur réalité et leurs circonstances. J’ai découvert qu’écouter
attentivement au lieu de se borner à réagir est une marque de respect, de compassion et de
bienveillance, autant de valeurs au cœur de l’empathie.
Nous encourageons aussi nos employés à savourer les bons moments de leurs journées.
Lorsqu’ils font quelque chose de bien pour un client, leurs collègues ou eux-mêmes, nous
voulons qu’ils prennent le temps d’en ressentir la satisfaction au lieu de passer tout de suite à
la prochaine tâche. Et aussi qu’ils expriment leur gratitude pour les petites ou grandes
réalisations des autres.
L’expression efficace des émotions est une autre qualité empathique que nous prisons. Au
travail, on ne s’emporte pas : tout problème, quelle que soit sa gravité, a sa solution. Chacun
d’entre nous s’attend à ce que les autres assument leurs responsabilités et apprennent de
leurs erreurs, mais il est toujours intéressant de constater à quel point les conversations et les
relations s’améliorent dans une entreprise lorsqu’on donne la chance aux employés
d’exprimer leurs émotions de façon constructive.
La pandémie de coronavirus a renforcé mon appréciation de l’empathie. Elle a mis en relief
notre obligation commune de nous mettre à l’écoute des plus vulnérables d’entre nous et
d’apprendre d’eux si on veut faire avancer le Canada plutôt que retourner à l’ancienne
« normale ».
Ma relation avec l’École de gestion Telfer m’a aussi donné une meilleure compréhension de
cette qualité essentielle. L’École m’a non seulement permis d’acquérir des connaissances
indispensables au programme de MBA, mais m’a aussi offert des expériences enrichissantes
comme PDG en résidence, président du conseil consultatif du doyen et, surtout, mentor
auprès des étudiants. J’encourage les étudiants à profiter des avantages sur le plan personnel
et professionnel que procure le fait de prendre son temps et d’écouter attentivement, de faire
preuve de gratitude et de bienveillance, et de cultiver l’empathie pour bâtir un meilleur
Canada.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 7 août 2020 avec Dan Moorcroft (EMBA 1997), Fondateur et Président, QMR Consulting & Professional Staffing.
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