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- Catégorie : Diplômés aux commandes
La réussite de Brennan Loh, diplômé de l’École de gestion Telfer, l’inspire à soutenir et à guider la nouvelle génération d’entrepreneures et d’entrepreneurs.
Il n’y a pas deux chemins semblables qui mènent à la réussite, mais certains sont plus sûrs que d’autres. Celui qu’a tracé Brennan Loh est une bonne voie à suivre pour les entrepreneures et entrepreneurs en herbe. Aujourd’hui membre de la haute direction de Shopify, ce diplômé de l’École de gestion Telfer s’est lancé tôt dans l’aventure, s’est constitué un réseau et a su saisir les occasions. Son parcours l’ayant mené dans les hautes sphères du monde des affaires canadien l’inspire à soutenir la jeune génération à Telfer par de généreux dons, son investissement personnel et des activités bénévoles.
Se lancer tôt
Brennan a toujours eu un lien étroit avec l’entrepreneuriat. Enfant, il rêvait de démarrer une entreprise, de bâtir quelque chose à partir de rien. Son penchant naturel pour l’entrepreneuriat n’y est pas étranger, mais il a aussi trouvé l’inspiration auprès de son père, un Singapourien qui a immigré au Canada.
Après avoir perdu son emploi, cet homme a pris le risque de créer son entreprise pour subvenir aux besoins de sa famille. Fier de son père, Brennan a également compris l’importance de cultiver l’esprit d’entreprise chez les personnes qui y aspirent, mais aussi chez celles qui y sont contraintes financièrement. Il s’est inscrit à Telfer en 2007, déterminé à développer ses qualités d’entrepreneur. Impatient de s’y mettre, il a adhéré au Club des entrepreneurs avant même le début des cours. Un tel enthousiasme promettait beaucoup pour son avenir.
Le Club a été pour Brennan un lieu de rencontre accueillant et stimulant, où il a fait la connaissance de personnes partageant sa passion. Il y a beaucoup appris et, dans ce milieu rassurant, il a pu faire des tentatives audacieuses, sans succès, mais sans crainte d’en subir les conséquences personnelles ou financières. Très attaché au Club, il a fait partie de sa direction pendant quatre ans, dont deux à la présidence.
« Le Club des entrepreneurs était un terrain idéal pour Brennan, affirme le professeur Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l’École de gestion Telfer. Il sait depuis toujours comment créer de la valeur pour les commanditaires et motiver les autres. C’était déjà un entrepreneur obstiné, et il l’est encore aujourd’hui! »
Se constituer un réseau pour multiplier les possibilités
En entrepreneuriat, il ne faut jamais faire cavalier seul. Là encore, Brennan en est la preuve incarnée. Dans le cadre d’un cours de troisième année, il a créé, avec deux amis de la Faculté de génie de l’Université d’Ottawa, une jeune entreprise de technologie nommée Avitu. À la fin de l’année scolaire, tous trois ont décidé de maintenir les activités de leur jeune pousse.
Cet été-là, ils travaillaient avec acharnement au projet Avitu dans un appartement surchauffé jusqu’à ce qu’un autre ancien étudiant de l’Université leur offre de partager les locaux de Shopify. Cet homme, c’est Harley Finkelstein, diplômé du programme conjoint de licence en droit et de maîtrise en administration des affaires, alors principal responsable de plateforme chez Shopify. Brennan a profité de la proximité avec Shopify pour discuter chaque semaine de pratiques éprouvées et de stratégies d’affaires avec Harley. En fait, le dévouement et les efforts acharnés des trois associés de Avitu ont tellement impressionné Harley et la haute direction de Shopify que l’entreprise leur a offert des emplois.
Saisir les occasions et en récolter les fruits
Brennan travaillait plus de 40 heures par semaine chez Shopify lorsqu’il a obtenu, en 2011, son baccalauréat en sciences commerciales spécialisé en marketing. Malgré les efforts énormes qu’il a dû déployer pour terminer ses études en travaillant à temps plein, l’expérience qu’il a acquise a renforcé sa confiance en lui et l’a incité à s’attaquer à de plus grands défis au sein de l’entreprise.
En une dizaine d’années, Brennan a contribué à faire de Shopify le géant du commerce électronique qu’il est aujourd’hui. Son ascension au sein de l’entreprise a de quoi impressionner : de responsable du développement des affaires, il est passé au poste de directeur du développement des affaires, puis à celui de directeur des marchés internationaux. Il a pris part à des projets variés, notamment des productions média et Shopify Rebellion, la branche de sports électroniques de l’entreprise.
Aujourd’hui directeur de la marque et des partenariats de marketing, Brennan confie que sa motivation vient en partie de sa fierté d’avoir réussi des projets qu’il croyait voués à l’échec. Malgré son parcours et ses réalisations remarquables, il reste modeste et n’aime pas attirer l’attention sur lui. D’ailleurs, à l’époque où il voyageait fréquemment pour son travail, il s’amusait du fait que peu de gens au siège social de Shopify savaient qui il était.
Un parcours inspirant au profit de la jeune génération
De nature humble, Brennan est prompt à louanger les personnes qui l’ont généreusement aidé à lancer et à propulser sa carrière. Il est reconnaissant à ses professeures et professeurs, à ses camarades et à ses collègues à Shopify de leur confiance et de leurs encouragements.
À son tour, Brennan s’inspire de sa réussite pour soutenir et guider les entrepreneures et entrepreneurs en devenir à Telfer. En tant que mentor officieux auprès de ces jeunes, il les encourage à chercher dès maintenant les occasions qui pourraient façonner leur avenir. Pour les aider à étendre leur réseau, il reste actif au sein du conseil d’administration du Club des entrepreneurs, à titre de conseiller. Enfin, pour les motiver et les soutenir, il agit comme mentor au Garage Démarrage du Carrefour de l’entrepreneuriat. Il est également investisseur providentiel dans le domaine des technologies.
Brennan a établi la Bourse Loh pour l’expérience entrepreneuriale, en appui aux initiatives audacieuses. Cette bourse offre aux étudiantes et étudiants de n’importe quelle faculté de l’Université d’Ottawa du soutien financier et du mentorat pendant leur cheminement entrepreneurial. « Il faut donner aux entrepreneures et entrepreneurs en herbe la possibilité d’échouer sans risque, soutient Brennan. Une des façons de le faire, c’est de leur fournir un filet de sécurité financière qui leur permettra de se consacrer à leur projet entrepreneurial pendant quatre mois, avec un coût minimal de renonciation à leurs études (en d’autres mots, en obtenant des crédits). J’aimerais que les universités fassent le pari de favoriser l’innovation entrepreneuriale de la population étudiante. »
En reconnaissance de sa contribution généreuse et intelligente, l’École de gestion Telfer a décerné à Brennan le Prix du jeune donateur de l’année 2021. Cet honneur pose un autre jalon dans sa carrière remarquable.
Si vous souhaitez soutenir l'expérience des étudiants à l'École de gestion Telfer, cliquez ici pour faire un don au Fond Telfer Nation. Pour plus d'informations, n'hésitez pas à contacter un membre de notre équipe.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Wiam Ben Karroum a obtenu un double diplôme en finance et systèmes d’information de gestion et analytique d’affaires (SIGA) de l'École de gestion Telfer en avril 2021. Elle a déjà obtenu un poste à temps plein chez Deloitte au sein de l'équipe Technologie, stratégie et transformation, après y avoir effectué un stage coop pendant ses études.
Wiam est également impliquée activement avec la Fondation Oublie Pour Un Instant, qui se concentre sur la sensibilisation des établissements de santé en incorporant la nature à l’intérieur. Organisme de bienfaisance enregistré depuis 2012, la fondation a été lancée par une diplômée de l'Université d'Ottawa, Jeannine Lafrenière, qui a elle-même été atteinte du cancer et souhaitait voir autre chose que des magazines dans les salles d'attente des hôpitaux pour les patients, les familles et le personnel.
Nous avons rencontré Wiam virtuellement pour mieux comprendre comment son implication parascolaire dans des clubs comme le Women in Management Network (WMN) l'a aidée à s'impliquer dans la Fondation Oublie Pour Un Instant. Comme beaucoup d'autres diplômés de Telfer, Wiam aide maintenant à bâtir un meilleur Canada.
Pourquoi était-il important de vous impliquer dans des activités parascolaires lorsque vous étiez étudiante? Qu'avez-vous appris en faisant du bénévolat dans des clubs?
« S'impliquer dans plusieurs clubs dirigés par des étudiants à Telfer m'a aidé à me développer personnellement et professionnellement. J'ai eu la chance d'acquérir plus de compétences en leadership et en communication et cela m'a permis de découvrir mes intérêts et mes passions en dehors des cours ! J'ai tissé des amitiés significatives avec des étudiants partageant les mêmes valeurs qui ont aidé et soutenu ma croissance tout au long de l'expérience universitaire et encore à ce jour.
J'ai également lancé le podcast « Words with WMN » pendant la pandémie ! Faire partie du Women in Management Network (WMN) m'a permis de rencontrer des femmes leaders incroyables et m'a fait comprendre où nous en sommes aujourd'hui sur le sujet de la diversité et de l'égalité et qu’il reste encore énormément à accomplir dans ce domaine. J'ai pu redonner à ma communauté et faire partie de causes qui me tiennent à cœur, ce qui m'a finalement amené à la Fondation Oublie Pour Un Instant. »
En tant que récente diplômée, qu’avez-vous tiré de votre expérience à Telfer?
« La meilleure chose que j'ai tirée de mon expérience à Telfer est ma capacité maintenant raffinée de réseauter et de maintenir des liens véritables. Dans l'ensemble, j'ai vécu une expérience merveilleuse, en essayant des nouvelles choses et en explorant la communauté, en passant par mon implication dans des clubs et le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP). J'ai compris le pouvoir de dire « oui » et de continuer à m'impliquer après l'obtention de mon diplôme. Telfer m'a fait réaliser que je m'intéresse à des choses que je ne connaissais même pas, dont la curiosité et les opportunités que j'ai saisies sont si importantes. »
Wiam s’est jointe à la Fondation Oublie Pour Un Instant en tant que coordinatrice de campagne au cours de sa dernière année d'université, grâce à la suggestion d'Omer Livvarcin, son professeur d'entreprise numérique. La fondation œuvre pour financer la construction de structures naturelles à l'intérieur des établissements de santé ainsi qu’appuyer leur première année d'entretien. Présentement, elle amasse des fonds pour le mur végétal du Carrefour santé d'Orléans, et ils ne le font pas simplement parce que les plantes sont jolies. De nombreuses études ont prouvé que le simple fait de regarder des plantes dans un environnement de soins aide les patients, les familles et le personnel à réduire leur stress.
La Fondation cherche à offrir aux malades, à leurs proches, à leurs soignants et au personnel un jardin naturel, sain et agréable pour leur permettre de faire une pause momentanée de leur peur, de leur douleur et de leur stress.
Wiam travaille avec des gens et des entreprises intéressées à joindre le programme de partenariat ou faire un don directement via leur site Web. La Fondation a pour objectif d'inclure systématiquement la nature dans la conception de dix hôpitaux, établissements de soins de longue durée ou foyers pour personnes âgées au cours de la prochaine décennie.
La passion de Wiam pour cette cause brille de mille feux et c'est un parfait exemple de la mission de Telfer de créer un changement social profond grâce à l'initiative d’un meilleur Canada. En plus de ce beau projet, nous avons également interrogé Wiam sur son avenir :
Quels sont vos plans pour l'avenir? Qu'attendez-vous avec le plus d'impatience?
« Mes plans sont de continuer à travailler avec les fondatrices du WMN pour étendre le réseau et de m'impliquer avec la Fondation Oublie Pour Un Instant pour le développer au niveau national. Je suis également ravie de commencer ma carrière à temps plein en tant que consultante technologique ! »
Nous sommes si fiers de toutes les réalisations de Wiam et que son implication dans la Telfer Nation ait pu lui donner la confiance et les compétences en leadership pour poursuivre un travail à but non-lucratif parallèlement à un emploi à temps plein. Nous sommes également ravis de voir une jeune diplômée s’unir à notre vision de bâtir un meilleur Canada. Nous souhaitons à Wiam du succès dans ses projets futurs.
- Catégorie : Engagement communautaire
Une nouvelle étude de Telfer montre que les familles traditionnelles ayant des entreprises traitent souvent leurs enfants différemment en fonction de leur genre, y compris dans la planification de la relève et l’éducation entrepreneuriale. Nous avons parlé à deux femmes qui ont grandi au sein de familles d’entrepreneurs pour apprendre comment les préjugés sexistes peuvent influencer la carrière et l’expérience des femmes en entrepreneuriat. Elles ont également donné des conseils aux entreprises familiales.
Emma O’Dwyer
Emma O’Dwyer, directrice régionale chez Family Enterprise Canada, a été témoin de préjugés dans sa propre famille. Elle affirme qu’elle n’a pas reçu de soutien, même si elle a obtenu « deux MBA d’universités prestigieuses, acquis une expérience externe et établi un réseau professionnel au-delà de l’entreprise familiale ». Elle se demande souvent si cela ne l’a pas empêchée de développer la confiance nécessaire pour emprunter une voie plus entrepreneuriale.
O’Dwyer affirme que les préjugés de genre peuvent nuire tant aux filles qu’aux fils. « Aujourd’hui, je constate que beaucoup d’hommes qui sont appelés à hériter de l’entreprise familiale ou à démarrer leur propre entreprise subissent une pression pour réussir. » Elle croit que « forcer les fils à diriger l’entreprise familiale limite leurs possibilités d’acquérir de l’expérience à l’extérieur de l’entreprise familiale et d’acquérir les connaissances professionnelles dont ils ont besoin. »
Susan St. Amand
Susan St. Amand est la fondatrice et présidente de Sirius Group Inc. et de Sirius Financial Services. Tout comme O’Dwyer, St. Amand a toujours eu un intérêt pour le monde des affaires. « Mon père et un groupe d’entrepreneurs locaux se rencontraient tous les jours pour prendre un café, et j’adorais me joindre à eux à l’occasion et écouter leurs histoires. » C’est la raison pour laquelle elle a fait des études en commerce.
Bien que St. Amand ait acquis de l’expérience et une formation en entrepreneuriat, son frère était quand même celui qui devait prendre la relève à la retraite de son père. « Il n’était tout simplement pas courant pour les femmes de diriger une entreprise familiale ou d’en hériter, donc on ne m’a pas pris en compte. » Cela ne l’a pas empêché de faire carrière dans une grande organisation financière avant de démarrer sa propre entreprise. Malgré son succès, on lui demandait souvent quand elle allait vendre son entreprise et assumer un rôle plus traditionnellement féminin.
Conseils aux familles pour lutter contre les préjugés de genre
O’Dwyer et St. Amand ont fait part de quelques suggestions pour aider les familles à lutter contre les préjugés de genre et à préparer la prochaine génération à réussir dans l’entreprise familiale et ailleurs :
- Traitez les enfants le plus équitablement possible et assurez-vous que les attentes et la pression soient les mêmes pour tous.
- Identifiez les besoins des enfants en matière d’activités et d’expériences, ainsi que le soutien dont ils ont besoin pour développer leurs compétences et réussir dans n'importe quelle carrière.
- De grandes choses naissent de l'échec et de l'apprentissage. Laissez la prochaine génération essayer des choses, échouer, apprendre, essayer de nouveau et répéter pour réussir, et ça dans un environnement sain.
- L’héritage de votre famille ne devrait pas être uniquement l’entreprise, quel que soit le nombre de générations qui la composent. Laissez la prochaine génération trouver sa passion et explorer autre chose. Vous serez surpris des résultats.
- Donnez l’occasion aux enfants de rencontrer des modèles et des mentors de tous les genres très tôt dans leur vie.
- Impliquez-les aux conversations sur l’entreprise et les finances. Ne prenez pas pour acquis que les enfants ne s’intéressent pas aux chiffres, aux investissements ou aux affaires en raison de leur genre.
- Utilisez des histoires pour partager des connaissances et rendre l’information accessible.
- Apprenez aux enfants à prendre des décisions et à assumer leurs responsabilités dès le plus jeune âge. Être à l’aise avec le risque est essentiel pour se sentir confiant et indépendant.
O’Dwyer rappelle aux parents qui dirigent une entreprise familiale : « Vous jouez un rôle important dans le succès de la famille et de l’entreprise. » St. Amand souligne la nécessité de remettre en question les normes rigides, car « les familles sont membres de communautés et les communautés partagent des normes culturelles qui sont ancrées pendant des générations. Il faut de la force et du courage pour engendrer un changement et du temps pour évaluer les résultats. »
Susan St. Amand, TEP , FEA , IAS.A. est fondatrice et présidente de Sirius Group Inc. et de Sirius Financial Services à Ottawa, et présidente de Family Enterprise Canada. Apprenez-en davantage sur son travail auprès des familles multigénérationnelles.
Emma O’Dwyer est directrice régionale de Family Enterprise Canada.
- Catégorie : Futurs diplômés
Curieuse motivée et créative, Joy Xu est une brillante élève du programme de B.Com. de Telfer en spécialisation comptabilité.
Passionnée par la santé mentale au travail, elle s’inspire des dirigeants et organisations qui mettent en avant et priorisent la culture du bien-être des employés.
Comprenant l'importance cruciale de l'engagement communautaire, Joy a décidé de s'impliquer auprès de l'École en s'engageant dans le programme hautement compétitif des marchés financiers de Telfer. Cela l’a conduite à intégrer un stage en banque d’investissement pour l’été 2020 à travers le programme des Marchés financiers de RBC. En parallèle, Joy s’est également démarquée pour avoir été la gestionnaire de portefeuille leader du programme cette année-là. Au cours des dernières années, elle a participé à de nombreux concours de cas dont le concours national de la diversité et de l’inclusion organisé par l'École Telfer, ou encore les Jeux de Commerce Central où elle s’est vu attribuer la première place avec l'équipe de gestion des ressources humaines.
Joy s’est également impliquée au sein du Club de comptabilité de Telfer, dont elle a été la présidente pour l’année scolaire 2019-2020. Dans le cadre de ce rôle, elle a dirigé l'équipe pour l'organisation de leur événement annuel de réseautage avec des sociétés comptables et a créé une initiative axée sur la santé mentale dans le domaine de la comptabilité.
Selon elle, les nombreuses activités parascolaires proposées par l'École lui ont ouvert d'innombrables opportunités et lui ont permis de s'impliquer davantage tout en appliquant ses connaissances acquises en classe. Elle déclare : « Dans l'ensemble, j'ai eu la chance d'explorer de nouveaux intérêts, d'assister à des conférences de leaders inspirants et de développer mes compétences tant sur le plan professionnel que personnel. »
Bien qu’elle soit bientôt diplômée, Joy prévoit rester active au sein de la communauté de Telfer.
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Le prix Philos du doyen reconnaît les individus pour leurs réalisations philanthropiques et leur dévouement envers les autres. Ce prix a été créé en 2004 pour souligner le 35e anniversaire de l’École de gestion Telfer.
Nous sommes tous deux reconnaissants d’avoir grandi, d’avoir fait nos études et de vivre dans un pays bilingue et multiculturel au riche patrimoine autochtone. C'est pourquoi nous croyons depuis longtemps que nous avons le devoir de contribuer à notre tour à la société. Dan a été profondément marqué, à l’époque de ses études à l’École Telfer, au début des années 1980, par le concept de responsabilité sociale d’entreprise. Plus tard, nous avons bâti notre vie sur un principe de la philosophie juive, le tikkun olam, qui signifie « réparer le monde ».
Le tikkun olam vise à faire de petits gestes chaque jour pour réparer les dommages qu’on voit autour de soi. Bien que nous ayons, comme couple, la chance de pouvoir contribuer financièrement aux causes qui nous sont chères, nous croyons que la société fait parfois trop de cas des dons d’envergure. Un don d’un million peut faire les manchettes, mais on devrait se réjouir tout autant des dons que des millions de travailleurs et travailleuses font à la sueur de leur front pour appuyer des causes et des organismes qui leur tiennent à cœur.
Nous pensons par exemple à cette femme qui a gagné, il y a quelques années, un prix Inspiration du Centre de santé mentale Royal Ottawa. Après avoir elle-même été traitée au Royal, cette nouvelle Canadienne, une femme de ménage, avait tenu à faire sa propre contribution. Elle a réussi à donner 500 $ par année à l’établissement tout en s’y impliquant comme bénévole. Le plus important, comme l’illustre magnifiquement cette histoire, ce n’est pas de donner beaucoup, mais bien de donner de la façon la plus significative et appropriée possible compte tenu de nos circonstances.
Cette conception de la bienfaisance est particulièrement importante pour les étudiants et les diplômés récents de l’École Telfer. Oui, vous êtes en début de carrière et oui, la pandémie a bouleversé l’économie, mais il demeure possible de faire votre contribution, même si vous n’avez pas beaucoup d’argent. La pandémie a brisé beaucoup de choses dans le monde. Les dommages — légers ou importants, symboliques ou concrets — ont besoin d’être réparés.
Commencez maintenant et simplement par prendre le temps chaque jour de faire des actes de bonté. S’il y a plusieurs façons de régler une situation difficile, choisissez la plus charitable. Maintenez cette attitude en faisant votre chemin dans le milieu des affaires. Laissez vos plus belles qualités — équité, générosité, empathie — s’exprimer au travail. Servez-vous-en pour bâtir un milieu de travail inclusif, cultiver des relations gratifiantes avec vos clients et vos partenaires, et adopter des pratiques d’affaires durables et socialement responsables. Tikkun olam.
Voici un résumé d'une entrevue effectuée par l'École de gestion Telfer le 21 août 2020 avec Dan Greenberg et Barbara Crook.
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Quatre étudiants du programme de baccalauréat en sciences commerciales de Telfer ont accédé à l’étape des demi‑finales du programme CEOx1Jour 2020, organisé par Odgers Berndtson. Les candidats sont soumis à un processus de sélection et les gagnants passeront une journée en compagnie d’un PDG participant au programme. Après avoir franchi avec succès les diverses étapes du processus de sélection, une étudiante de Telfer a réussi à se classer parmi les deux finalistes d’Ottawa.
Toutes nos félicitations aux étudiants du programme de baccalauréat en sciences commerciales qui ont accédé aux demi‑finales :
- Ciara Carey : 4e année, Gestion internationale
- Farah Osman : 3e année, Marketing
- Joy Xu : 4e année, Comptabilité
- Rylan Williams : 4e année, Gestion internationale
Ciara Carey, étudiante de 4e année au programme de baccalauréat en sciences commerciales, a réussi à se classer parmi les finalistes. Elle passera donc la journée du 26 février en compagnie de Sasha Suda, directrice et chef de la direction du Musée des beaux‑arts du Canada.
Le défi CEOx1Jour
Odgers Berndtson, une firme mondiale de recrutement de cadres, est l’initiatrice de ce programme mondial de jumelage d’étudiants de troisième et quatrième année avec des présidents et chefs de direction bien connus. Pour dénicher la prochaine génération de dirigeants d’entreprise canadiens, Odgers Berndtson a sélectionné 20 étudiants qui seront jumelés avec des PDG canadiens de renom.
Les étudiants découvrent le fonctionnement interne qui fait le succès d’une entreprise, par exemple l’instauration d’une culture de collaboration et d’innovation.
Pour sa 7e édition, le programme CEOx1Jour a accueilli de nouvelles entreprises intéressées à participer au programme de jumelage avec des étudiants, notamment :
- Capital One Canada
- Facebook et Instagram Canada
- Sephora Canada
- Absolute Software
- Total E&P Canada
- Musée des beaux‑arts du Canada
- Toronto Zoo
Odgers Berndtson offre à sa vaste gamme de clients des solutions intégrées de recrutement de talents. Le programme CEOx1Jour est la façon que l’organisation a imaginée pour investir dans la formation des dirigeants canadiens de demain.
Une finaliste de l’Université d’Ottawa au programme de cette année
Ciara Carey, la finaliste de cette année, a bien voulu raconter le chemin parcouru entre la présentation de sa candidature jusqu’à l’obtention de son emploi. Elle décrit notamment les diverses expériences qui lui ont permis d’être mieux préparée à franchir les diverses étapes du concours :
« Je me trouve très chanceuse d’avoir vécu différentes expériences et d’avoir fait partie de diverses équipes tout au long de mes études de premier cycle à Telfer (BSA, JDCC et autres associations). Ces expériences m’ont permis d’acquérir de nombreuses compétences très pointues, mais celles qui m’ont été les plus précieuses, ce sont les compétences générales que j’ai acquises.
En arrivant à l’université après avoir fait partie d’une équipe de basketball de compétition, je pensais avoir une bonne idée de l’éthique professionnelle et du travail d’équipe, mais ces activités parascolaires m’ont finalement appris ce que cela veut dire de faire partie de quelque chose de plus grand que soi. Elles m’ont appris à réfléchir, à examiner une situation dans son ensemble et à agir avec humilité. Mais surtout, elles m’ont appris à être une meilleure coéquipière.
Mes activités parascolaires m’ont permis de vivre une foule d’expériences que je peux mettre à profit pour démontrer mes capacités de leader, ce que je n’aurais pu faire autrement. »
Processus de candidature
Le processus de présentation des candidatures a été lancé au début d’octobre 2019, une exigence que la Canadian Association of Business Schools (CABS) a ajouté pour tous les délégués des Jeux Du Commerce Central (JDCC). Après avoir déposé leur candidature, les étudiants ont répondu à un questionnaire d’évaluation Hogan en ligne. Ensuite, les candidats retenus ont été invités à une entrevue téléphonique avec un recruteur professionnel de cadres d’Odgers Berndtson. La dernière étape a été l’évaluation des demi‑finalistes aux bureaux de Odgers Berndtson, un exercice d’une demi‑journée. Les recruteurs ont eu recours à des défis, des ateliers et des exercices pour évaluer les compétences en relations interpersonnelles et en communication des candidats, ainsi que leurs habiletés à travailler en équipe et leur potentiel en matière de leadership.
Motivation à présenter sa candidature
À titre de déléguée des JDCC et de coordonnatrice des jeux de cette année, Ciara a décidé de présenter sa candidature parce qu’elle était persuadée que « ce serait extraordinaire de pouvoir ccompagner un PDG durant toute une journée. Après avoir lu le profil des PDG de ma région qui participaient au programme, j’étais vraiment enthousiaste à l’idée que j’allais passer une journée avec Sasha Suda et en apprendre davantage sur son parcours. Je suis particulièrement curieuse de connaître le fonctionnement général du Musée des beaux‑arts du Canada et les compétences en leadership que doit posséder un PDG. Je suis aussi curieuse de connaître les objectifs stratégiques de l’organisation et le rôle que joue Mme Suda dans leur réalisation. J’aimerais beaucoup en savoir plus sur son parcours personnel et connaître son opinion sur l’incidence de l’art sur la communauté. »
Conseils aux futurs candidats
Poser sa candidature à un programme de cette ampleur peut sembler intimidant au début, mais cela vaut vraiment la peine. Grâce à des conseils judicieux, vous pouvez essayer de vous classer parmi les finalistes. Voici les conseils que Ciara prodigue aux étudiants qui envisagent de poser leur candidature dans le cadre du programme CEOx1Jour de l’an prochain :
« Le conflit intérieur que vous vivez pour décider si vous allez présenter votre candidature ou non peut vous empêcher d’aller de l’avant. Quand des étudiants me demandent s’ils doivent ou non s’inscrire à Telfer, le meilleur conseil que je leur donne est le même que celui que je donnerais aux étudiants intéressés à participer à CEOx1Jour : N’hésitez pas, foncez. N’ayez pas peur de l’échec (toute expérience est une occasion d’apprentissage). Pour participer au programme CEOx1Jour, je pense vraiment qu’il faut être honnête et authentique, surtout à l’étape de l’évaluation Hogan du processus de sélection. »
Ciara a aussi dit qu’elle se fait un plaisir de conseiller les étudiants qui la consultent au sujet de leur future candidature!
Nous souhaitons à Ciara une journée enrichissante au Musée des beaux‑arts du Canada et nous espérons en savoir davantage sur son expérience.
- Catégorie : Annonces Telfer
Les Gee-Gees ont célébré le groupe d’étoiles académiques canadiennes 2018-2019 ce mercredi 20 novembre. La réception annuelle met en vedette des étudiants-athlètes d’équipes et de clubs interuniversitaires ainsi que des clubs compétitifs qui ont représenté l’Université d’Ottawa qui ont maintenu une moyenne d’au moins 8 ou qui sont aux études supérieures.
En 2018-2019, plus de 220 étudiants-athlètes ont reçu cette mention. Chacun était une figure d’engagement, de dévouement et de passion pour le succès scolaire et sportif. L’histoire de Brendan Jacome, étudiant en finance membre de l’équipe de hockey masculin, raconte la persévérance et la reconnaissance des forces.
Originaire de Caledon (Ontario), Brendan Jacome est un étudiant de 24 ans en quatrième année à l’Université d’Ottawa. Sur la glace, il est un joueur clé pour le Gris et Grenat, et il amène son esprit combatif jusque dans ses cours.
« Environ la moitié de cours relèvent des mathématiques et c’est une de mes forces. Si je ne comprends pas une question, j’ai la volonté et le besoin de trouver la bonne réponse. Je vais m’asseoir et travailler dessus jusqu’à ce que je la trouve, » explique-t-il. « Je dois m’assurer de bien comprendre avant de passer à autre chose. Tu ne le vois pas comme une tâche, mais comme quelque chose qui te permettra de t’améliorer. »
S’améliorer est un processus qui prend place autant sur la glace qu’en classe. « Si tu travailles vraiment fort sur quelque chose et que tu as un objectif d’établi, tu as de bonnes chances de l’atteindre. Je pense que c’est une perspective précieuse qui s’emploie dans de nombreuses situations. »
Brendan aime côtoyer ses collègues de Telfer tout en ayant ses coéquipiers de l’équipe de hockey qui le soutiennent. « Dans mon groupe, il y a des gens qui viennent de partout dans le monde. C’est intéressant d’observer nos façons de faire les choses qui sont parfois différentes, mais en fin de compte, chacun est concentré et souhaite faire de son mieux. J’ai aussi de bons professeurs qui ont de l’expérience sur le terrain et qui sont très intéressants. »
« Beaucoup de gars dans l’équipe travaillent vraiment fort à l’école et plusieurs de mes colocataires sont en finance aussi. Nos entraîneurs veulent aussi s’assurer qu’on réussisse. Si on doit manquer quelque chose à cause d’un conflit d’horaire avec l’école, ils sont compréhensifs. » Huit joueurs de l’équipe de hockey masculin ont obtenu le titre d’étoile académique canadienne en 2018-2019.
Sur la glace, Brendan a acquis quelques statistiques intéressantes lors de la dernière saison : il n’a reçu aucune pénalité. Il a obtenu le titre national du joueur de hockey masculin au meilleur esprit sportif en partie pour ses statistiques, mais aussi en reconnaissance de sa qualité de jeu générale ; il était classé quatrième des Gee-Gees pour le nombre de points et troisième pour le nombre de buts comptés, et il est un excellent défenseur.
« Mon rôle est d’arriver et de compter des buts, pas de faire bouger les autres. Je suis plus utile pour mon équipe sur la glace qu’au banc des pénalités ! Mais j’aime travailler fort et m’assurer de bien jouer un match sous toutes ses facettes. »
Cette capacité d’être polyvalent a aussi été reconnue sur le campus. Il a remporté le Prix du recteur pour les Gee-Gees grâce à son dévouement exceptionnel dans ses études et sa communauté ainsi que pour sa performance comme athlète. En plus de sa MPC de 8,38, il participe activement aux efforts de l’équipe dans la communauté locale avec des ateliers. Il soutient aussi physiquement Movember, Hockey Gives Blood, Do It For Daron et les activités pour la fierté auxquelles les Gee-Gees participent.
Brendan attend la fin de ses études à l’Université d’Ottawa ce printemps. Autant le monde du hockey que celui des finances ont leurs portes ouvertes.
« J’aimerais continuer et jouer au hockey professionnel l’année prochaine. Je veux cependant plus que tout aider l’équipe à gagner cette année. J’y vais une année à la fois pour le moment et je verrai ce que ça donne. J’ai obtenu de bons stages lors des derniers étés auprès de bonnes firmes dans le secteur immobilier commercial. Je suis parti en bons termes et j’ai de bonnes relations, donc ce sont assurément des possibilités pour l’avenir. »
- Catégorie : Distinctions
Le doyen François Julien et la vice-doyenne des programmes et directrice exécutive du Centre de leadership pour cadres Telfer, Julie Beauchamp, sont heureux d’annoncer la nomination de Guy Laflamme et de Jean Desgagné à titre de cadres en résidence au Centre.
Le Centre de leadership pour cadres fait partie de l’École de gestion Telfer et se consacre à la prestation de programmes novateurs de perfectionnement des cadres supérieurs. Le Centre compte parmi ses clients des organismes des secteurs public, privé et sans but lucratif de la région d’Ottawa, de l’ensemble du pays et de l’étranger.
Guy Laflamme
Guy Laflamme est un conférencier reconnu à l’échelle internationale, qui compte 25 ans d’expérience dans des postes de marketing et de production ayant une grande visibilité dans diverses organisations, notamment le ministère du Patrimoine canadien, la Commission de la capitale nationale et le Casino du Lac-Leamy. Il a obtenu son MBA de l’École de gestion Telfer en 1989 et y a enseigné à temps partiel pendant 15 ans. Il a reçu la médaille Trudeau en 2005, la plus haute distinction décernée par l’École de gestion Telfer à ses diplômés.
En 2018, il a reçu le prix Diplômé de l’année, qui reconnaît les réalisations exceptionnelles d’un ancien étudiant de l’Université d’Ottawa au cours de l’année précédente. Cette année, nous avons demandé à M. Laflamme d’assumer la présidence d’honneur du 50e anniversaire de l’École de gestion Telfer. M. Laflamme a dirigé le projet Ottawa 2017 pour célébrer les 150 ans du Canada. Le programme de 40 millions de dollars, qui a permis de tenir de grands événements et festivités, a rapporté 300 millions de dollars à la ville d’Ottawa. Ce succès lui a valu l’Ordre d’Ottawa et un Prix d’excellence de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario pour l’ensemble de sa carrière. Radio-Canada et Le Droit l’ont nommé « Personnalité de l’année » en raison de sa vision, de son imagination débridée, de sa détermination et de son enthousiasme.
Jean Desgagné
Jean Desgagné, qui a récemment été nommé chef de la direction de Stablecorp Canada et membre du conseil d’administration de CAA Insurance et d’Echelon Assurance, a été président et chef de la direction, Solutions globales, perspectives et stratégies d’analyses TMX. En tant que comptable professionnel agréé et fier diplômé de l’École de gestion Telfer (B. Com 1986), il est actuellement membre du Conseil consultatif du recteur de l’Université d’Ottawa et président du Conseil consultatif du doyen (Toronto) de l’École de gestion Telfer.
En tant que premier donateur du Fonds de capital Telfer, M. Desgagné a également contribué à la création du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance Telfer. Il agit également à titre de mentor pour le Programme sur les marchés financiers et comme juge pour de multiples compétitions dans le domaine financier, ainsi qu’en tant que conférencier renommé pour d’innombrables événements.
En 2009, M. Desgagné et son épouse ont créé la Bourse de la famille Desgagné/Soden pour les étudiantes en sciences commerciales. « J’applaudis tout ce qui se fait pour aider les femmes à accéder aux postes de direction, dit-il, mais je suis aussi convaincu qu’il faut investir en amont pour les attirer. » « Tout le monde y gagne : les étudiants et étudiantes, Telfer et moi‑même, dit‑il. Avec le recul, je peux me dire que j’ai fait quelque chose de bien. »
Il a également reçu la médaille Trudeau de son alma mater en 2009, ainsi que la médaille du jubilé de la reine en 2002, en reconnaissance de ses services à la communauté.
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Le MBA francophone de Telfer a été un énorme catalyseur de changement dans la carrière de notre diplômé Mélanie Potvin qui est aujourd’hui, la directrice du projet du Carrefour santé d’Orléan à l’Hôpital Montfort.
Ayant fait ses études au baccalauréat en physiothérapie à l’université d’Ottawa, Mélanie a débutée sa carrière dans le système de la santé. Après plusieurs années de services cliniques à l'Hôpital Montfort et dans la communauté d’Ottawa, elle a décroché un poste en santé et sécurité au travail. Dans ce poste, non seulement Mélanie a-t-elle été exposé à la sphère administrative du systèm de santé, mais cela a développé en elle un intérêt qui l’a pousser à vouloir en connaître d’avantage sur le monde de la gestion. C’est là qu’elle a décidé qu’un MBA était ce qui lui fallait pour accélérer sa carrière.
Lors de son application, Mélanie fut contacté par l’École de Gestion Telfer, afin de sonder son intérêt pour suivre l'entièreté de son MBA en français. La possibilité d’obtenir des bourses spécifiques à ce programme, mais surtout d’utiliser sa langue maternelle ont grandement charmés Mélanie, qui a sauté sur l’occasion de poursuivre un diplôme d’étude supérieures en français.
Après avoir travaillé dans le système de santé, Mélanie à appris, grâce au MBA de Telfer, conjointement avec ses cours du MSSG (Maîtrise en Gestion des services de santé) comment travailler sur le système même et les divers défis qu’il représente. Ses expériences éducatives et pratiques lui ont donc permis d’acquérir les compétence nécessaire en gestion de projets complexes.
Au delà de la gestion de projet, Mélanie a aussi développé ses habiletés en présentations orales, leadership, ressources humaines et autres outils de gestion importants dans ses nouvelles fonctions.
Mélanie peut maintenant dire qu’elle à ce qu’il faut pour créer un impact au travail et dans sa vie quotidienne.
En savoir plus sur le programme de MBA Telfer.
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Alexander est doctorant à l’École de gestion Telfer où il se spécialise dans les systèmes de santé. Il s’intéresse à l’application des méthodes d’analyse et de systèmes d’information de gestion aux enjeux liés à la santé, et plus particulièrement dans le secteur de la technologie mobile appliquée à la santé.
Il est titulaire d’une maîtrise ès sciences en systèmes de la santé avec une spécialisation en durabilité de l’environnement de l’Université d’Ottawa, et d’un diplôme de premier cycle en biologie de l’Université Carleton. Son mémoire de maîtrise portait sur la définition officielle, la mesure et la simulation de l’état de préparation des communautés côtières aux événements environnementaux catastrophiques.
Après avoir obtenu sa maîtrise, Alex a travaillé comme chercheur et expert-conseil indépendant en gestion tout en enseignant à temps partiel à l’École de gestion Telfer. Il a eu l’occasion de travailler sur divers sujets, notamment l’application de l’analyse d’options réelles et de la modélisation financière à l’industrie de l’énergie solaire en Ontario, ou encore la modélisation de la manière dont les organisations utilisent les médias sociaux pour prévoir les problèmes susceptibles de survenir. Alex s’intéresse aussi à la gestion des pêches et a participé, avec le gouvernement et le secteur privé, à plusieurs projets concernant la gestion des pêches et des zones côtières canadiennes.
Alex est membre de la Canadian Association of Management Consultants (Eastern Ontario Chapter Council) où il est responsable du marketing et des médias sociaux. Pendant son temps libre, il aime voyager, jouer au volleyball et faire du vélo ainsi que réparer ses nombreuses bicyclettes.
Alex est le récipiendaire de la bourse doctorale Lilian et Swee Chua Goh, la première bourse d’admission créé par des donateurs pour des candidats au doctorat à l’École de gestion Telfer.
Pour en savoir plus sur le doctorat en gestion.
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