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À l'École de gestion Telfer, nous avons officiellement nommé sept éminents chefs d'entreprise canadiens au sein du Cabinet de leadership stratégique de l'École afin de travailler avec le doyen Stéphane Brutus à la mise en œuvre de la vision de Telfer pour un meilleur Canada. Tous les membres du cabinet mettent à profit leurs années d'expérience à la tête de certaines des entreprises les plus importantes et les plus influentes du Canada. La réunion inaugurale a lieu aujourd'hui, le 6 octobre, au pavillon Desmarais.
Ce cabinet a pour mandat de conseiller l'École Telfer sur ses choix stratégiques et de fournir des informations permettant d'évaluer la pertinence, la qualité et l'efficacité de ses programmes actuels et futurs. Le Cabinet contribue également à identifier les moyens par lesquels le monde des affaires et le secteur public peuvent contribuer au développement de l'École.
Rencontrez le Cabinet de leadership stratégique
Rob Ashe (Telfer BCom ‘82), Président du Cabinet de leadership stratégique, est le fondateur de la firme Cognos, une entreprise reconnue mondialement pour ses produits d’informatique décisionnelle. Créée à Ottawa en 1984, elle deviendrait la toute première société logicielle milliardaire au Canada. Président et chef de la direction de l’entreprise de 2004 à 2012, Rob Ashe est demeuré à la barre de l’informatique décisionnelle de Cognos après son acquisition par IBM en 2008. Il occupe depuis mai 2015 le rôle de directeur indépendant principal chez Shopify, où il continue de faire progresser l’industrie informatique dans la région. L’Ottawa Business Journal et la Chambre de commerce d’Ottawa lui ont conjointement décerné, en 2020, un Prix d’excellence pour l’ensemble de ses réalisations. Fellow de l’Institut des comptables agréés de l’Ontario, Rob Ashe est également partenaire en chef à Bridge Growth Partners, directeur principal de MSCI et directeur de ServiceSource International; il a été directeur principal chez Halogen jusqu’à sa vente à Saba Software en 2017.
Louis Gagnon (Telfer MBA ‘97) travaille au sein d’Intact Financial Corporation, le plus important fournisseur d’assurance dommages au Canada depuis 2007. M. Gagnon a occupé de nombreux postes de direction clés, en commençant par celui de vice-président principal, Québec, puis en passant par ceux de président, Intact Assurance; président et chef de l'exploitation; président, Service et Distribution; et président, Opérations canadiennes. En juin 2021, M. Gagnon a été nommé chef de la direction, Canada. Dans son rôle actuel, M. Gagnon est responsable de toutes les entités et opérations d'affaires basées au Canada, y compris Intact Assurance, belairdirect, BrokerLink et Johnson Insurance. Avant de se joindre à Intact, M. Gagnon a dirigé un courtier d'assurance prospère avec des bureaux au Québec et en Ontario et a été très actif dans les associations de courtiers provinciales et nationales. M. Gagnon est membre du conseil d'administration du Bureau d'assurance du Canada et de l'Institut C.D. Howe, membre du Cabinet de leadership stratégique du doyen de l'École de gestion Telfer et membre du Comité consultatif international du recteur de l'Université de Montréal. Il a été un membre actif de conseils d'administrations et un bénévole pour de nombreuses organisations caritatives et il est particulièrement fier d'avoir été impliqué dans Centraide pendant plus de 30 ans.
Justine Hendricks (Telfer MBA ‘04) a fait ses preuves dans le secteur des services financiers et est une membre essentielle de la communauté canadienne des exportateurs depuis ses débuts à Exportation et développement Canada (EDC) en 2006. Nommée première vice-présidente du commerce durable et de la facilitation des affaires en 2019, elle est également devenue la toute première chef du développement durable d’EDC en mai 2021. Au fil des ans, elle a travaillé de près avec les partenaires bancaires de l’organisation et joué un rôle prédominant au sein du groupe de développement des affaires. L’École de gestion Telfer lui a décerné en 2017 une médaille Trudeau en reconnaissance de son leadership, de son sens de l’initiative et de ses apports au monde des affaires.
Patricia Saputo est la cofondatrice et présidente exécutive de CRYSALIA, une entreprise qui accompagne les entreprises familiales dans leur réussite multigénérationnelle en créant et en proposant des parcours d'apprentissage délibérés aux membres de leur famille. Elle est un modèle pour les femmes leaders dans les industries à prédominance masculine, le monde des affaires et la communauté à plus grande échelle. Après avoir fait carrière en fiscalité chez Deloitte, elle a été invitée à se joindre au conseil d’administration de Saputo à son entrée en bourse, en 1997. Adhérente au principe de l’éducation à vie, elle partage volontiers ses connaissances, convaincue qu’on ne doit jamais cesser d’apprendre pour mieux s’améliorer, contribuer à sa famille et renforcer sa communauté.
Macky Tall (Telfer MBA ‘92) est coprésident du groupe Carlyle Infrastructure, un acteur des milieux du transport, des énergies renouvelables, de l’eau, des eaux usées et du numérique. Avant de se joindre au groupe, il a occupé différents postes d’administration à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), l’un des plus grands investisseurs mondiaux en infrastructures et la deuxième caisse de retraite en importance au Canada. Il a préalablement siégé au comité de direction et au comité investissement-risques de la CDPQ, en plus d’avoir assuré la présidence du conseil d’administration d’Ivanhoé Cambridge.
Ian Telfer (Telfer MBA ’76), de qui notre école tient son nom, est un administrateur et philanthrope canadien reconnu pour ses stratégies d’affaires dans le secteur de l’exploitation minière et des ressources naturelles. Il a assuré la direction de Goldcorp Inc., une société aurifère de Vancouver, et présidé le conseil d’administration du World Gold Council. Nommé d’abord président et chef de la direction de Goldcorp en 2005, il a pris les rênes de son conseil d’administration en 2006. Son génie pour la valorisation des sociétés minières lui a valu la réputation de visionnaire de l’entrepreneuriat minier. Ses 30 années de succès dans le secteur des ressources peuvent être attribuées à une aptitude intrinsèque pour les acquisitions stratégiques et les fusions axées sur la plus-value. En reconnaissance de ses maintes réalisations, Ian Telfer a été intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2015, de même qu’au Canadian Mining Hall of Fame en 2018. Il s’est également vu décerner un doctorat honorifique de l’Université d’Ottawa.
Kathryn Tremblay (Telfer BCom ‘95) est présidente directrice générale et cofondatrice d’excelHR, Altis Recruitment, Altis Technology et excelITR. Elle se spécialise depuis plus de 30 ans dans le volet humain des RH. À 21 ans, elle a fondé une petite boîte de recrutement en Outaouais; depuis, elle a consacré l’ensemble de sa carrière à l’amélioration des processus de dotation. Ce faisant, elle a proposé aux employeurs de nouvelles façons de recruter des cadres ainsi que de la main-d’oeuvre qualifiée. Excel HR et ses entreprises affiliées sont aujourd’hui reconnues comme chefs de file dans la prestation de services de recrutement et de dotation au Canada. Mentore engagée auprès des femmes sur le marché du travail, Kathryn Tremblay ne manque jamais d’encourager les jeunes à faire carrière en entrepreneuriat. Elle a également été nommée PDG de l'année 2021 par l'Ottawa Business Journal et l'Ottawa Board of Trade.
Stéphane Brutus, Doyen, est actuellement le doyen de l’École de gestion Telfer. Entre 2006 et 2017, professeur Brutus a été doyen (par intérim), doyen associé des programmes professionnels de deuxième cycle, directeur du Département de gestion et directeur du Centre de recherche Bell en innovation des processus de gestion à l’École d’affaires John Molson, Université de Concordia. Dans le passé, professeur Brutus a été un professeur invité à l’Université fédérale de Bahia, au Brésil, et à l’Université Pablo de Olavide et à l’École de gestion Instituto de Empresa, en Espagne.
James Price, Secrétaire du Cabinet de leadership stratégique, est directeur général du développement et de l’engagement communautaire à l’École de gestion Telfer, où il est responsable de la réalisation de la vision externe de l'école, du développement et des initiatives d'engagement communautaire. Soucieux d’avoir un impact positif sur les collectivités, il se fait un point d’honneur de créer des rapports et des partenariats durables au profit de l’enseignement supérieur, de la recherche, de l’innovation et du développement économique. Avant de se joindre à l’École de gestion Telfer en 2019, il était président et chef de la direction de la Fondation canadienne de cellules souches, où il pilotait les efforts de promotion et de financement stratégique du secteur au Canada.
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L’École de gestion Telfer vient de dévoiler sa Vision pour un meilleur Canada. Le directeur des Programmes pour cadres Telfer, Glen Orsak, répond aux questions sur la façon dont les programmes pour cadres Telfer contribuent à la réalisation de cette vision audacieuse.
Que proposent les Programmes pour cadres de Telfer?
Nous nous concentrons presque exclusivement sur le développement du leadership. De nombreux établissements de formation pour cadres ont un éventail de sujets beaucoup plus large : comment devenir un meilleur ceci ou cela. Nous avons choisi de nous concentrer sur le leadership. Le leadership est un sujet qui fait évoluer les choses, tandis que les compétences en gestion permettent aux choses de fonctionner efficacement. Nous travaillons avec des leaders pour transformer leurs capacités de leadership. Nous travaillons également avec des organisations qui souhaitent développer leurs capacités de leadership. Il y a toujours ce double objectif. Nous répondons à un besoin organisationnel — un impératif stratégique — et nous répondons aux besoins du leader lui-même pour sa carrière ou son développement professionnel.
Comment ces programmes contribuent-ils à un « meilleur Canada »?
Vous savez, c’est drôle. À un moment donné, notre équipe a rédigé un énoncé d’objectifs clair et précis qui déclare que nous voulons : Transformer les leaders. Façonner les communautés. Changer le monde. Cette déclaration n’a pas encore fait l’objet d’une grande attention du public, mais elle est toujours au cœur de nos conversations. Notre objectif est de transformer les dirigeants. Ce faisant, nous contribuons à façonner les organisations et les communautés. Et en façonnant et en transformant les organisations et les communautés, cela mène à un monde meilleur. Transformer les leaders pour un meilleur Canada renforce cette orientation pour nos programmes, notre communauté de pratique et nos clients.
Je sais que ça semble être un objectif ambitieux — et ça l’est. Ça nous a amenés à nous arrêter et à nous dire : « Vraiment? Nous ne sommes que 17! » Mais nous avons réalisé que, oui, c’est ce que nous faisons. Nous travaillons tous les jours avec des personnes qui deviendront des leaders très accomplis et influents, des personnes qui cherchent à avoir un impact dans leur propre coin du monde en se basant, en partie, sur les expériences qu’elles ont vécues avec nous. Alors pourquoi viserions-nous moins haut?
Le fait d’avoir un nombre croissant de meilleures entreprises au Canada, de meilleures institutions gouvernementales ou de meilleurs organismes de soins de santé fera certainement du Canada un endroit meilleur.
À qui s’adressent vos Programmes pour cadres?
Beaucoup de nos clients œuvrent dans le secteur public, pour le bien public — littéralement pour faire du Canada un endroit meilleur. Beaucoup de nos clients sont dans le secteur des soins de santé et, encore une fois, ils font littéralement du Canada un endroit plus sain. Ces personnes sont absolument déterminées à bâtir un meilleur Canada. C’est ce qui me motive chaque jour.
L’une des choses que nous avons tendance à faire vraiment bien est de créer des programmes d’apprentissage personnalisés au sein de certaines communautés et de certains secteurs. Au sein du gouvernement fédéral, il existe des communautés de personnes partageant les mêmes idées. Nous avons donc créé un programme de leadership pour la communauté des politiques. Nous avons un programme de leadership pour la communauté de la sécurité et du renseignement. Nous en avons un pour les avocats et les personnes du ministère de la Justice. Nous avons un programme de leadership pour les personnes travaillant dans le secteur de la défense nationale et les secteurs connexes centrés sur d’énormes projets complexes — pensez aux achats militaires. Nous essayons de trouver des moyens d’élaborer des programmes de leadership qui sont contextualisés, personnalisés et pertinents pour ces communautés, de sorte que vous n’acquérez pas seulement des compétences génériques en matière de leadership, mais que vous apprenez la pratique du leadership dans votre propre contexte unique.
Comment vos programmes aident-ils les leaders à avoir un impact plus large?
Certaines personnes ont participé à nos programmes et, cinq ans plus tard, y envoient également leurs propres équipes de direction. Ils ont décrit l’énorme impact que cela a eu sur la culture de leur organisation. Toute la conversation sur le leadership peut changer. Parfois, mon équipe connaît toute l’équipe de direction de tel ou tel établissement de soins de santé ou de tel ou tel ministère parce que presque tous ont suivi l’un de nos programmes. De toute évidence, cela a un impact important sur ces organisations et ces communautés.
Je dirais également que notre activité a une mission sociale très forte. Lorsque vous travaillez dans le secteur des soins de santé ou le secteur public, vous travaillez avec des personnes engagées dans le développement social, économique et communautaire. Nous essayons d’aider les leaders à faire évoluer leur culture et à introduire des changements progressifs qui transformeront leur lieu de travail. Nous devons susciter ce genre de discussions, car nos clients le souhaitent.
Quel effet pensez-vous que vos programmes ont sur la carrière des participants?
Pouvons-nous attribuer leur succès entièrement à nos programmes? Bien sûr que non. Il n’y a pas de corrélation directe, mais ce n’est pas nécessaire. Je ne m’attribuerais pas le mérite de votre réussite, mais je m’attribuerais certainement le mérite de vous avoir poussé dans la bonne direction. Et un coup de pouce est suffisant pour moi. Je pense que c’est une intention valable, je pense que c’est la vérité sur ce que nous faisons et que ce n’est pas de l’orgueil démesuré. Nous ne nous posons pas en gourous héroïques du leadership. Nous nous positionnons plutôt comme des co-pèlerins dans un voyage de leadership — dans le pèlerinage pour faire du Canada un endroit meilleur.
Les choses ont-elles changé depuis le début de la pandémie?
Avant le 13 mars 2020, nous n’avions pas beaucoup de programmes en ligne. Depuis le premier confinement pandémique, chaque minute de programme a été diffusée dans un environnement virtuel. La conversion à l’Internet a été rapide et incroyablement réussie. On pourrait dire que la réponse à la pandémie dans l’espace d’apprentissage des cadres nous a tous ouvert l’esprit à l’apprentissage virtuel — et je pense que nous ne reviendrons jamais à l’ancienne méthode. Impossible de ne pas voir les possibilités. Oh, nous allons certainement revenir à l’expérience d’apprentissage en personne, cela ne fait aucun doute, mais il y a une tonne de choses que nous ne ferons plus en personne, parce que cela n’a plus de sens.
Cela nous a donné toute l’impulsion nécessaire pour innover et améliorer la façon dont nous offrons nos programmes — et cela nous donne accès à un plus grand nombre de clients potentiels. Nous avons déjà eu des gens de tout le pays qui se sont joints à nos programmes et qui ne l’auraient probablement pas fait autrement. Maintenant, tout d’un coup, nous pouvons enrichir notre engagement avec des communautés à l’extérieur d’Ottawa et peut-être avoir un impact encore plus grand sur le façonnement d’un meilleur Canada.
Vous pouvez vous renseigner sur les Programmes pour cadres Telfer à telfer.uottawa.ca/fr/executiveprograms/
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Un message spécial de Stéphane Brutus, doyen de l’École de gestion Telfer
Chaque jour à Telfer, nous travaillons à propulser notre vision pour un meilleur Canada. Certains jours, comme aujourd’hui, cette vision en pleine ascension atteint de nouveaux sommets.
Aujourd’hui, la campagne Investir autrement et intelligemment à l’appui de la Vision pour un meilleur Canada de Telfer prend son essor. Nous vous invitons à prendre part à cette aventure qui selon nous changera le cours de l’histoire de Telfer et transformera le Canada à jamais.
Notre vision se bâtit depuis 50 ans
Nous aspirons à créer un Canada plus vert, plus en santé, plus heureux et plus prospère pour le bien de tous, à l’aide de laboratoires et instituts uniques dédiés à la recherche, à l’apprentissage et aux pratiques de gestion. Vous pouvez faire partie des visionnaires qui aideront à bâtir ces centres et à provoquer de profonds changements sociaux. Investir autrement et intelligemment, c’est aussi être un moteur du progrès.
L’École Telfer a toujours été un investissement judicieux
Sinon, pourquoi Ian Telfer nous aurait-il choisis pour le plus gros don jamais fait à une école de gestion canadienne à l’époque? Pourquoi le CEO Magazine aurait-il classé — à deux reprises! — notre programme de MBA pour cadres au premier rang de son palmarès mondial?
Ils ont vu en nous une École en avance sur son temps, animée depuis toujours par une volonté de travailler pour le profit de tous. Une École située à proximité du siège du pouvoir au Canada et prête à mettre toute la force de son potentiel inexploité au service du Canada.
Le monde a besoin d’un meilleur Canada, et le Canada a besoin de notre École visionnaire
Aidez-nous à concrétiser cette vision en appuyant la campagne Investir autrement et intelligemment.
En faisant un don dès maintenant, vous doublez votre impact : chaque dollar sera égalé par Ian Telfer lui-même jusqu’à concurrence de 50 000 $ (maximum de 5000 $ par donateur).
Vous pouvez faire un don ponctuel ou récurrent. Vous trouverez toute l’information au telfer.uottawa.ca/fr/donnez, où le Fonds de la Telfer Nation et le Fonds Telfer pour un meilleur Canada sont décrits.
Ensemble, investissons dans la start-up suprême
Sous bien des angles, concrétiser notre vision équivaut à démarrer une entreprise d’une envergure inégalée dont le RCI sera d’une importance cruciale pour nos enfants et petits-enfants.
Vous pouvez faire partie des visionnaires qui investissent dans un meilleur Canada. J’en suis. Notre corps professoral et notre personnel aussi. Joignez-vous à nous!
Cordialement,
Le doyen Stéphane Brutus
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James Price, directeur général du développement et de l’engagement communautaire à Telfer, mène, avec toute son équipe, la campagne Investir autrement et intelligemment à l’appui de notre Vision pour un meilleur Canada. Quelques heures seulement avant le coup d’envoi de la plus ambitieuse campagne de sensibilisation et de financement de toute l’histoire de Telfer, il a pris quelques minutes pour expliquer le but de la campagne, ce qu’elle permettra d’accomplir à Telfer et au Canada et pourquoi il faut s’y mettre dès maintenant. Toute personne qui rêve d’un meilleur Canada, qu’elle soit diplômée ou non de Telfer, peut y avoir un rôle à jouer.
Sur quoi repose la nouvelle vision de Telfer?
Nous croyons que le domaine des affaires a un rôle central à jouer dans la résolution des plus grands défis sociaux, économiques et financiers de notre pays. Nous générons de nouvelles connaissances, idées et pratiques par la recherche. Surtout, nous utilisons ces découvertes pour former de jeunes étudiants et des cadres chevronnés.
Quel est le rôle de la campagne Investir autrement et intelligemment dans tout ça?
Cette campagne de cinq ans est un effort ciblé pour stimuler des investissements judicieux et stratégiques dans l’avenir par la recherche, l’apprentissage expérientiel et le renouvellement des programmes.
Pourquoi la campagne fait-elle une si grande place à l’enseignement basé sur la recherche?
La recherche amène de nouvelles perspectives et se traduit par une meilleure expérience en classe, chose d’une importance absolue. Selon les évaluations étudiantes, nos meilleurs chercheurs et praticiens sont aussi nos meilleurs professeurs et une source constante de nouvelles idées, de nouveaux défis et de nouvelles études de cas. Ils sont aussi à la fine pointe des connaissances dans leur domaine.
Cette approche favorise également de meilleures pratiques d’affaires
Oui, et non seulement pour nos étudiants, mais aussi pour les cadres. Dans le contexte de notre vision et de ses quatre thèmes, ça se traduit notamment par des initiatives visant la mise en œuvre de nouvelles pratiques d’affaires pour favoriser l’inclusion au travail, structurer les entreprises familiales de façon à encourager la relève, intégrer les préoccupations écologiques aux décisions d’affaires et aux rapports aux actionnaires, et repenser les systèmes de santé pour offrir de meilleurs soins de façon plus efficace.
Vous avez mentionné les entreprises familiales. Ces entreprises jouent un rôle important dans l’économie canadienne, n’est-ce pas?
Oui, et nous avons tout un groupe de chercheurs et de praticiens de renommée mondiale pour nous guider. Nous travaillons à mettre sur pied un programme complet de formation pour la relève des entreprises familiales.
Est-ce innovateur de se préoccuper de la relève plutôt que de se concentrer sur l’entreprise elle-même ou sur la figure du patriarche ou de la matriarche?
Nous nous intéressons à la prochaine génération, c’est-à-dire les personnes qui pourraient prendre — ou pas — la relève de l’entreprise familiale. Nous étudions différentes choses, comme la façon dont les enfants et petits-enfants utilisent le patrimoine familial pour créer de nouvelles entreprises qui sont souvent connexes. Notre perspective va au-delà de l’entreprise familiale elle-même.
Quelles sont les trois grandes idées maîtresses pour les cinq prochaines années?
Premièrement, l’apprentissage expérientiel. Notre doyen est convaincu que c’est en vivant des expériences concrètes que les étudiants peuvent réaliser leur plein potentiel. C’est pourquoi nous voulons ajouter une composante d’apprentissage expérientiel à tous nos programmes et activités d’apprentissage, et intégrer le plus possible cette approche à l’expérience étudiante. Nos équipes compétitives et nos clubs font un excellent travail en ce sens et sont très forts, mais nous voulons que les étudiants aient accès à ce type d’apprentissage là où ça compte le plus.
L’enseignement basé sur la recherche, dont nous avons déjà parlé, est la deuxième grande idée maîtresse.
La troisième est l’occasion de réinventer le Canada après la pandémie. Notre nouveau doyen a donc demandé le renouvellement complet de nos programmes. La campagne de financement va nous permettre d’innover dans tous nos programmes de premier cycle et d’études supérieures.
Il y a aussi de nouvelles infrastructures de prévues?
Oui, quand la situation l’exige. Dans le cas du Laboratoire des organisations et sociétés en croissance, de grands travaux sont prévus pour aménager un espace de pointe où il sera réellement possible d’étudier les dynamiques organisationnelles et le stress au travail en tirant parti de l’expertise de grands spécialistes canadiens de la santé psychologique au travail.
Certains pensent que la vision a été conçue dans la foulée de la pandémie
En fait, le travail sur la vision a commencé avant la pandémie. À l’approche de notre 50e anniversaire, célébré récemment, nous avions mené un processus de consultation pour déterminer nos pôles stratégiques d’impact. En réfléchissant à notre passé et à notre avenir, nous nous sommes rendu compte que notre École travaille depuis toujours à bâtir un meilleur Canada. Ça fait partie de son ADN. Il se trouve que la nouvelle vision répond aussi au besoin actuel de rebâtir le Canada sur de meilleures bases.
La santé est un des piliers de cette vision. Regardez ce qui s’est passé pendant la pandémie : beaucoup des problèmes sont de nature opérationnelle ou logistique. Le bonheur est un autre pilier de la vision : or, le milieu de travail a complètement changé. Les équipes travaillent à distance depuis un an. Quelles seront les conséquences sur les milieux de travail, les équipes et le bien-être des travailleurs?
N’oublions pas non plus les problèmes systémiques liés à l’équité, à la diversité et à l’inclusion. Nos chercheurs étudient ces choses depuis longtemps, mais ont récemment suscité beaucoup d’intérêt par leurs travaux démontrant que les groupes marginalisés sont frappés plus durement que les autres par la pandémie et qu’il faut mettre ces personnes au centre de tout effort de reprise économique.
Impossible de rester les bras croisés. C’est le moment d’agir et nous sommes déterminés à le faire.
Diriez-vous que notre message aux diplômés qui veulent s’impliquer n’est pas « nous sommes les meilleurs, donnez-nous votre argent », mais bien « bâtissons cet avenir ensemble »?
Totalement! Nous avons une excellente École et une direction claire, mais nous avons besoin de votre aide. Cette vision et cette campagne sont ambitieuses. D’ici cinq ans, tout le monde saura que notre École fait partie des meilleures, mais nous ne pouvons y arriver sans vous.
Il y a tant de façons de contribuer
Oui, et chaque don compte. Bien sûr, nous avons besoin de dons d’envergure pour bâtir ces instituts et recruter de nouvelles chaires et leaders de renom, mais il nous faut aussi développer notre équipe actuelle, déjà très forte, et faire rayonner son travail. Nos efforts de recrutement des dernières années ont porté d’excellents fruits. Notre corps professoral est un groupe motivé et moderne, et chaque dollar nous aide à avancer sur la voie de l’excellence.
Autre exemple de vos dons à l’œuvre : nos instituts ne sont pas des tours d’ivoire. La présence de cadres en résidence permet à nos professeurs de travailler main dans la main avec des praticiens de façon à ancrer la recherche et l’enseignement dans la pratique. En contribuant au Fonds Telfer pour un meilleur Canada, vous appuyez la poursuite de ce travail qui contribue à la fois à la qualité de l’enseignement et à l’amélioration des pratiques.
D’autre part, vos contributions au Fonds de la Telfer Nation, qui appuient notre engagement envers l’apprentissage expérientiel et l’expérience étudiante, nous aideront à offrir toute une gamme de possibilités uniques à nos étudiants et étudiantes, quel que soit leur programme.
À quels fonds peut-on contribuer?
Vous pouvez faire un don au Fonds de la Telfer Nation, qui porte sur l’apprentissage expérientiel et l’amélioration de l’expérience étudiante, ou au Fonds Telfer pour un meilleur Canada, qui appuie la recherche et son application à l’enseignement et à la pratique.
Chaque don, qu’il soit de l’ordre de 100 $, 1000 $ ou 1 000 000 $, sera mis à contribution de façon extrêmement judicieuse. Le but ultime est de créer l’École, les entreprises et, oui, le pays que nous voulons et qu’il nous faut d’ici cinq ans.
Il n’y a donc pas de temps à perdre. Il faut s’y mettre tout de suite
Extraits d'un entretien avec James Price
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L'impact Telfer va au-delà de la salle de classe. Au cours des six dernières semaines, nous vous avons fait découvrir des expériences incroyables d'étudiants et de diplômés qui ont fait une réelle différence par leur implication, leur engagement communautaire, leur vision entrepreneuriale et leur dur labeur. Jetez un coup d'œil à nos capsules d'impact Telfer pour vous inspirer de la formidable contribution de #TelferNation sur notre campus, dans notre communauté et dans le monde.
L'impact du CASCO
Il y a 20 ans, deux étudiants Telfer motivés ont fondé l'organisme sans but lucratif CASCO. Chaque année, les étudiants de Telfer se réunissent pour organiser des événements spectaculaires qui permettent de recueillir des fonds pour les familles du Centre hospitalier pour enfants de l'est de l'Ontario (CHEO). Depuis, CASCO a contribué plus de 560 000 $ à cette cause.
L'impact Growcer
Après avoir visité des collectivités aux prises avec l'insécurité alimentaire dans le Nord du Canada, deux anciens élèves du B.Com. à Telfer, Alida Burke et Corey Ellis, ont créé un système hydroponique qui cultive les produits dans des conteneurs d'expédition remaniés. De là est née l'entreprise, The Growcer Inc. Aujourd'hui, l'entreprise fait partie du programme d'accélérateur d'Investissement Ottawa, et ses systèmes sont vendus partout au Canada, ce qui permet aux collectivités du monde entier de cultiver leurs propres produits.
L'impact du doctorat
Alex Chung, candidat au doctorat Telfer, fait des recherches sur la conception des technologies portables qui influencent le changement de comportement humain. Grâce au programme équilibré du doctorat, Alex peut mener une vie active et épanouie, tout en ayant un impact sur l'avenir des technologies portables.
L'impact de l'entreprise sans odeur
Anie Rouleau, une diplômée du baccalauréat en commerce de Telfer, vit son rêve en dirigeant sa propre entreprise de produits de nettoyage écoresponsables et certifiés B Corp, The Unscented Company (TUC). Grâce à son modèle d'affaires novateur, Anie a attiré l'attention du public grâce à son entente avec Dragons' Den pour vendre des produits TUC dans plus de 500 magasins Canadian Tire au Canada.
L’impact du MBA
Après avoir découvert le monde de l'administration alors qu'elle travaillait à l'Hôpital Montfort, Mélanie Potvin a décidé de renforcer son expérience avec un MBA en français à Telfer. Elle dispose désormais des connaissances et de la confiance essentielles dans son rôle de direction en tant que gestionnaire de projet pour le carrefour de santé d'Orléans à l'hôpital.
Ce ne sont là que quelques exemples du changement significatif créé par les étudiants Telfer. Et vous, quel sera VOTRE impact?
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À l'École de gestion Telfer de l'Université d'Ottawa, nous croyons que c'est grâce aux expériences d'apprentissage pratique et au soutien des membres de la communauté que nous pouvons aider nos étudiants à atteindre leurs objectifs, accélérer leur carrière et avoir un impact positif sur notre avenir collectif.
C'est le cas de "The Growcer Inc." une entreprise sociale d'Ottawa co-fondée par Corey Ellis et Alida Burke, deux diplômés du programme du baccalauréat en commerce de Telfer. Le duo a eu l'idée de créer un système de culture hydroponique modulaire après avoir visité des communautés éloignées qui font face à l'insécurité alimentaire dans le Grand Nord canadien.
Le système hydroponique donne aux plantes tout ce dont elles ont besoin pour pousser dans un environnement contrôlé. Construits dans des conteneurs d'expédition rétro-équipés, les systèmes permettent aux collectivités nordiques, aux écoles, aux gouvernements autochtones et régionaux, ainsi qu'à d'autres entreprises et organismes sans but lucratif de développer des réseaux alimentaires locaux plus autonomes et durables.
Grâce aux cours spécialisés comme celui de fusion entrepreunariale et aux activités parascolaires tel qu'Enactus, Corey et Alida ont pu parcourir le monde, comprendre les défis auxquels font face les communautés et du même coup, bâtir leur entreprise.
Enactus est un organisme étudiant qui utilise le pouvoir de l'entrepreneuriat pour aider à résoudre des problèmes sociaux. En 2017, l'Université d'Ottawa est devenue l'un des premiers clients de "The Growcer" et a fait l'acquisition de l'un des modules pour cultiver des aliments locaux qui sont maintenant servis dans notre propre cafétéria.
Aujourd'hui, "The Growcer" compte plus de 15 employés et ses opérations se déroulent dans le cadre du programme d'accélérateur d'Investissement Ottawa au Cours Bayview.
Pour en savoir plus sur The Growcer Inc.
Pour en savoir plus sur l'entrepreneuriat à Telfer.
Pour en savoir plus sur la Branche Enactus de l'Université d'Ottawa.
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez