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Plusieurs équipes de la classe de 2017 du MBA pour cadres écrivent à propos de leur expérience à Kuala Lumpur dans le cadre du voyage de consultation d'affaires. Les blogues sont disponibles en anglais seulement.
The Before Picture: Departing for Kuala Lumpur
Written by Team Sirius - Mario Fowler
Exploring Kuala Lumpur as Teams Prepare for a Big Week
We're Not in Canada Anymore
Written by Team Kentarus
Reflecting on the Week: We Made it Happen!
Written by Team Arcturus
Twenty One Months Later: Reflecting on Where We've Come
Written by Team Procyon - Ashley Mascarenhas
Goodbye Kuala Lumpur, Hello Next Chapter
Written by Team Canopus - Sukri Sharbini
You can view photos from the trip here: Photo Gallery
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Nous sommes fières d’annoncer la création de la bourse BDO Canada pour étudiants autochtones au MBA de l’École de gestion Telfer.
« BDO s’engage à cultiver le talent de demain. Nous savons aussi que, pour de nombreux étudiants, les études postsecondaires représentent un fardeau financier impossible à porter. Afin de faire en sorte qu’un plus grand nombre d’étudiants aient l’occasion de se dépasser, nous avons créé une bourse d’études, conjointement avec l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa. Conçue pour inspirer et soutenir les étudiants autochtones qui excellent au programme de MBA Telfer, la bourse d’études comprend un appui financier en plus d’un stage rémunéré de quatre mois dans un bureau de BDO. La bourse d’études vise à offrir à un étudiant autochtone d’exception qui cherche à rehausser la prospérité économique des communautés autochtones l’occasion d’étudier », déclare Harry Lake, associé chez BDO.
Depuis 2009, BDO s’est associée à l’École de gestion Telfer pour créer une bourse de recherche dans le secteur public, un groupe de recherche en gestion du rendement dans le secteur public et une bourse d’études pour les étudiants à la maîtrise ès sciences. Le partenariat de BDO et de l’École de gestion Telfer comprend aussi des bourses et des stages coopératifs destinés aux étudiants de premier cycle au programme de comptabilité B. Com.
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi cette bourse est si importante pour l’École de gestion Telfer, le directeur du programme de MBA, Gregory Richards, s’est expliqué en ces mots : « Une fois qu’ils ont obtenu leur maîtrise, les finissants, selon nous, peuvent en faire beaucoup pour leur collectivité. Nous sommes donc ravis de pouvoir offrir une bourse d’études qui aidera des étudiants à travailler dans nos communautés autochtones. Nous sommes très reconnaissants à BDO d’avoir pris l’initiative de créer cette bourse. »
Pour être admissibles à cette bourse d’admission d’une valeur de 30 000 $, les candidats au programme de MBA à l’École de gestion Telfer doivent soumettre une lettre de 500 mots dans laquelle ils font valoir leur candidature à cette bourse. Cette lettre doit accompagner la demande de candidature. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le Bureau des études supérieures par courriel à l’adresse
BDO Canada LLP fait partie des nombreuses organisations qui continuent de maintenir des liens avec l'École Telfer et de redonner à cette dernière pour appuyer les programmes et les projets qui comptent le plus pour eux, et pour aider l'École à atteindre ses objectifs.
Dans un large éventail de projets et de programmes, les principales priorités de la campagne de financement de l'École Telfer sont de transformer la façon dont nous apprenons, d'investir dans la mondialisation, de générer de nouvelles connaissances, de favoriser l'apprentissage axé sur l'expérience, de contribuer aux bourses et de financer les nouvelles priorités stratégiques.
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La revue « CEO Magazine » (Londres, Royaume-Uni) a publié son classement annuel des meilleurs programmes de MBA pour cadres et a classé le programme de MBA pour cadres de l’École de gestion Telfer en première place au monde entier.
À l'aide d'un système de classement entièrement adapté et pondéré selon les critères fondés sur les faits, « CEO Magazine » vise à fournir aux étudiants potentiels une référence de performance pour les écoles de gestion et leurs programmes de MBA.
« Nous sommes ravis d’avoir été reconnu par « CEO Magazine ». Le MBA pour cadres de l’École Telfer offre une plate-forme globale, pratique et pertinente qui mise sur un leadership responsable et efficace pour un impact optimal sur un marché mondial de plus en plus compétitif », a déclaré Sophia Leong, directrice du MBA pour cadres. « Cette reconnaissance souligne la qualité du programme et son impact sur la transformation des candidats. »
« J’aimerais reconnaitre le travail exceptionnel de toute l'équipe du MBA pour cadres, dirigée par Sophia Leong, ainsi que tous les membres du corps professoral qui ont enseigné dans ce programme » a dit le doyen François Julien. « De plus, nos étudiants et diplômés du MBA pour cadres, par leurs succès professionnels et leur impact au sein de leurs organisations et de leurs communautés, donnent un rayonnement remarquable à leur programme et à l’École Telfer. Je tiens à les féliciter chaleureusement pour cette remarquable réalisation et je souhaite les encourager à continuer leur excellent travail. »
Le classement complet est disponible en ligne sur le site du « CEO Magazine » (en anglais).
À propos du MBA pour cadres
Le MBA pour cadres de l’École Telfer offre une plus-value visant trois aspects distincts : une croissance continue en tant que dirigeant, des résultats au sein de votre organisation et une contribution à la collectivité. Notre programme offre aux professionnels un environnement d'apprentissage « en direct » et transformateur, axé sur l'expérience internationale et le leadership pour exceller dans l'économie mondiale d'aujourd'hui. Le curriculum comprend notre Série Signature de six projets de consultation d'affaires, dont deux projets proposent un volet international qui compte des voyages d'affaires à l'étranger.
À propos du « CEO Magazine »
« CEO Magazine » fait la promotion des meilleures écoles de gestion du monde entier depuis son lancement en 2008. En 2012, la publication a lancé ses classements annuels du MBA afin d’évaluer les programmes de MBA, de MBA pour cadres et de MBA en ligne à l’échelle internationale.
Cette année, « CEO Magazine » a communiqué avec des écoles de gestion en Amérique du Nord, en Europe, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans les pays BRICS, et a reçu des réponses de plus de 160 institutions - une augmentation de 20% par rapport aux soumissions de 2016.
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Félicitations à Brenda Lam, gagnante du Prix de l'étudiant coop de l'année de l’École de gestion Telfer ainsi que de l’Université d’Ottawa !
Brenda est étudiante au baccalauréat en sciences commerciales avec spécialisation en marketing. Inscrite au programme coop et au régime d’immersion française de l’Université d’Ottawa, Brenda est avide de nouvelles connaissances et ne recule devant aucun défi. Au cours des dernières années, elle a participé à un échange international en France et pris part au programme Explore à Moncton pour se perfectionner en français. Compte tenu son travail exceptionnel en marketing lors de son dernier stage coop, son plus récent employeur, la Financière Sun Life, a recruté Brenda pour en faire son ambassadrice sur le campus. Brenda s’implique activement dans sa communauté; elle a fait don de son temps à divers organismes, dont CASCO, un organisme universitaire de bienfaisance dont elle est vice-présidente aux commandites. Elle est aussi bénévole au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO), où elle a coordonné de nombreuses activités de financement.
Pour plus d’informations sur les prix, cliquez ici.
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L'initiative des cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa (uOttawa) reconnaît et célèbre l'aboutissement de chaque cycle annuel d'enseignement, de compétitions, d'ateliers et de travail acharné qui donne lieu à de formidables entreprises en démarrage.
Déjà à sa troisième année, cette recherche annuelle des cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus est le résultat d'un effort de collaboration entre l'École de gestion Telfer, la Faculté de génie, Garage Démarrage et le Carrefour de l'entrepreneuriat de l'Université d'Ottawa.
« Chaque année, la qualité des entreprises en démarrage sur le campus s'améliore », a déclaré Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l'École de gestion Telfer. « L'intérêt des étudiants, le programme des facultés et la croissance de la culture d'entrepreneuriat contribuent à une meilleure qualité, et je suis heureux de constater que notre nouvelle génération de dirigeants crée ses propres occasions. »
Voici les cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa, en ordre alphabétique :
Kegshoe
- Cofondateurs : Torin Regier, directeur financier (B.Com. Telfer 2017), Mike Eagar, directeur marketing (ancien étudiant, uOttawa) et Adrian Pawliszko, dirigeant principal de la technologie (étudiant en génie civil, uOttawa).
- Kegshoe Inc. est une entreprise de logiciels pour l'industrie de la bière qui fournit des solutions infonuagiques conviviales pour gérer les activités complexes de l'exploitation d'une brasserie. Avec des fonctionnalités comme le suivi des barils à bière et une gestion de la clientèle propre à la brasserie, Kegshoe Inc. aide à résoudre les problèmes les plus importants et les plus coûteux des brasseries.
Spiderwort
- Cofondateurs : Charles M. Cuerrier, chef de la direction (boursier postdoctoral, uOttawa), Andrew E. Pelling, dirigeant principal de la technologie (professeur agrégé, département de physique, uOttawa) et Daniel J. Modulevsky, agent principal des biomatériaux (candidat au doctorat, biologie, uOttawa).
- Spiderwort a développé des biomatériaux innovants pour la recherche médicale, la chirurgie reconstructive et la médecine régénérative. La stratégie de Spiderwort repose sur l'utilisation d'échafaudage de cellulose pour la régénération et la réparation de tissus endommagés ou malades.
Spivo Inc.
- Cofondateurs : Andre Bellerive, chef de la direction (B.Sc.A. 2014 et étudiant à la maîtrise en ingénierie, uOttawa) et Marc Bjerring, directeur de l'exploitation (B.Sc.A. en génie mécanique, 2014, uOttawa).
- Spivo Inc. conçoit, fabrique et vend des accessoires d'appareils photo créatifs qui captent les souvenirs de la vie comme jamais auparavant. Leur produit phare, le Spivo Stick, est un support de caméra rotatif (brevet en instance) qui permet aux aventuriers et aux voyageurs de changer instantanément le point de vue de leurs appareils photo. Les vidéos créées avec le Spivo Stick sont amusantes et créatives, en plus d'inclure des transitions entre les plans qui créent des images incroyables et attrayantes.
Welbi
- Cofondateurs : Elizabeth Audette-Bourdeau, chef de la direction (B.Com. Telfer 2016), Felipe Izquierdo, directeur de l'exploitation (B.Com. Telfer 2016) et Nicholas Petryna, dirigeant principal de la technologie (ancien étudiant en génie logiciel, uOttawa).
- Welbi est une application qui aide les familles à prendre soin d'un être cher plus âgé. Elle utilise une montre intelligente Fitbit pour analyser le sommeil, l'activité physique et la fréquence cardiaque, et vous avise ensuite des changements dans les habitudes de l'être cher. Son objectif principal est de fournir aux familles la visibilité et l'information dont elles ont besoin pour prendre soin de la santé et du bonheur de leur proche à la maison.
YouCollab
- Fondateur : Shaun Maclellan, chef de la direction (ancien étudiant, uOttawa).
- YouCollab est une plateforme unique qui permet une communication et une collaboration harmonieuses entre les créateurs de contenu YouTube. YouCollab relie les utilisateurs en fonction de l'emplacement, de la taille du public et de mots clés.
Comment les cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus ont-elles été sélectionnées?
Un appel de mises en candidature public sur le Web a permis aux entreprises en démarrage de manifester leur intérêt. Un comité d'entrepreneuriat du campus a ensuite évalué les candidats, et une première longue liste des meilleures entreprises en démarrage a été établie.
Une rétroaction de divers diplômés et entrepreneurs de la Silicon Valley a été obtenue avant la sélection de la liste définitive des cinq meilleures entreprises en démarrage. Ces cinq meilleures entreprises en démarrage seront invitées à visiter la Silicon Valley pour une expérience d'apprentissage et de développement des affaires en mai 2017. Ce voyage coïncide avec le voyage annuel à la Silicon Valley du programme de MBA pour cadres de l'École de gestion Telfer.
« Les voyages dans la Silicon Valley ouvrent la voie à un monde de liens et de possibilités que l'on ne trouve nulle part ailleurs », a soutenu Lee Silverstone, cofondateur de GymTrack et récipiendaire de l'initiative des cinq meilleures entreprises en 2016. « L'occasion de s'y rendre avec l'Université d'Ottawa et son réseau était une expérience incroyable, et je recommande fortement aux fondateurs d'entreprises en démarrage d'en profiter. »
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par Gregory Richards
En 1990, les trois plus importantes sociétés aux États-Unis employaient 1,2 million de personnes pour produire des revenus totaux de 250 millions de dollars. En 2014, les trois plus importantes sociétés aux États-Unis généraient des revenus de 247 milliards de dollars grâce à 137 000 employés[1]. Ces trois sociétés, toutes situées dans la Silicon Valley à San Francisco, génèrent environ le même montant de revenus que les sociétés de 1990, mais avec 1 163 000 employés en moins. Au cas où vous ne l’auriez pas deviné, les trois plus importantes sociétés en 1990 provenaient toutes de l’industrie de la fabrication automobile. Malgré le fait que le secteur de la fabrication sera toujours une partie importante de l’économie tant du Canada que des États-Unis, en raison du plus grand nombre de technologies utilisées pour améliorer la productivité humaine, les types de compétences dont les organisations auront besoin changeront de manière importante à l’avenir. Quels seront les types d’emplois qui connaîtront une demande plus importante, et quels types d’emplois connaîtront un déclin? Plus important encore, que feront les établissements d’enseignement pour préparer les gestionnaires au milieu de travail de demain?
Un sondage mondial effectué en 2015 par le Forum économique mondial auprès de 371 dirigeants principaux des ressources humaines a permis de conclure que les catégories d’emplois suivantes devraient vraisemblablement connaître une demande plus forte :
- La gestion
- La finance
- L’informatique
- Les mathématiques
- Le génie
- L’architecture
- Le domaine des ventes
- L’éducation et la formation
En revanche, les emplois dans la fabrication, la construction, l’extraction des ressources, l’administration, le divertissement et les services juridiques devraient connaître un déclin. De nombreux emplois qui devraient connaître une demande en croissance, cependant, devront être repensés. Ce réexamen devra prendre en considération la croissance rapide de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine. Les algorithmes d’intelligence artificielle, par exemple, peuvent effectuer des analyses financières plus rapidement et avec plus d’exactitude que la plupart des êtres humains. Les avancées dans le secteur des logiciels en ce qui a trait à la conception assistée par ordinateur permettent des expérimentations et des stimulations virtuelles, ce qui réduit le temps et les efforts nécessaires pour le travail de conception.
La bonne nouvelle est que ce thème sur les technologies qui remplacent la main-d’œuvre humaine n’est pas nouveau; par conséquent, nous devrions être capables de prévoir les compétences en gestion dont nous aurons un jour besoin. Par exemple, au fil de l’histoire, de nouvelles technologies ont mené à des changements dans l’offre de main-d’œuvre. Comme le soulignent Carl Frey et Michael Osborne[2], la déqualification a, en fait, été le résultat des premières inventions, comme la chaîne de montage et les pièces de rechange. En d’autres mots, une tâche de production qui était auparavant faite par un artisan pouvait être effectuée plus rapidement et plus efficacement par de nombreux travailleurs, chacun s’occupant d’une petite partie du travail de l’artisan. La spécialisation du travail, par conséquent, nécessitait un plus grand nombre de travailleurs ayant des compétences de niveau moins élevé.
L’arrivée de l’électricité a cependant renversé la tendance de déqualification. L’électricité a permis l’automatisation de certaines activités. À la place d’un grand nombre de travailleurs peu qualifiés, un plus petit nombre de travailleurs hautement qualifiés était nécessaire pour s’assurer que les nouvelles machines effectuaient le travail qu’elles étaient censées faire. Cette tendance s’est poursuivie avec la croissance de l’économie numérique. En fait, pour beaucoup, l’avènement de la numérisation est un peu comme l’a été, à l’époque, l’arrivée de l’électricité, puisqu’il s’agit d’un bien de portée générale qui peut être appliqué à différents types de tâches dans une organisation.
Qu’arrive-t-il aux travailleurs déplacés? Anciennement, ils se recyclaient pour s’intégrer au nouveau monde du travail. La même chose se produit en ce moment. Mais en plus, de nouveaux emplois ont été créés dans la foulée des changements technologiques qui ont mené à la création de nouvelles entreprises. Prenons comme exemple des sociétés comme Facebook, Google, Apple et Microsoft. Ces entreprises ne pouvaient exister avant l’ère de l’informatique et l’arrivée de l’Internet. Avec la numérisation en cours, un processus semblable se produira : le recyclage des travailleurs et la croissance de nouvelles entreprises auparavant inconcevables.
Le défi pour les établissements d’enseignement réside dans la capacité à prévoir quelles seront les compétences nécessaires de demain et à commencer à les construire. Les programmes de maîtrise en administration des affaires (MBA), tout spécialement, doivent continuellement ajuster leurs cours pour préparer les gestionnaires au milieu du travail numérisé de demain. De quoi ont l’air ces nouvelles compétences en gestion?
Commençons par la direction d’une organisation numérique. Que devrait connaître un gestionnaire en ce qui a trait à l’utilisation de données, à l’apprentissage machine et à l’intelligence artificielle? Comment un processus de planification devrait-il changer pour s’intégrer à une économie en évolution rapide? Comment un gestionnaire devrait-il interagir avec des employés qui sont le produit de l’ère numérique? Qu’est-ce que le niveau de connectivité amené par les téléphones intelligents et les médias sociaux signifie pour la communication au sein des organisations? Quelles sont les nouvelles occasions en entrepreneuriat qui existent compte tenu de la connectivité de masse des populations et des machines? Tandis que les fonctions de base de la gestion (planification, direction, organisation) ne changeront que très peu dans un monde numérique, les questions susmentionnées indiquent que la façon dont de nombreuses fonctions sont exécutées pourrait changer de façon draconienne. Nous sommes conscients de ces défis. Pour cette raison, le programme de MBA Telfer est ajusté sur une base régulière afin de refléter dans nos cours cette nouvelle réalité du monde du travail.
Le programme de MBA Telfer
Le programme de MBA Telfer est conçu pour vous fournir un contenu de cours qui compte pour les employeurs, dans l’environnement de travail concurrentiel d’aujourd’hui. Vous pouvez aussi personnaliser votre apprentissage de façon à étudier uniquement les sujets qui comptent pour vous. En outre, nous partageons avec vous les liens étroits que nous avons établis avec le milieu des affaires pour que vous puissiez établir les réseaux dont vous avez besoin pour faire progresser votre carrière. Les expériences que nous vous proposons en dehors des salles de classe aiguisent les compétences que vous avez acquises en classe, tout en vous permettant d’établir des relations durables avec des collègues sur qui vous pouvez compter.
Visitez notre site web à telfer.uOttawa.ca/mba afin de télécharger notre brochure ou de plus amples détails à propos de notre programme de MBA.
Bourses d’admission
Un nombre limité de bourses d’une valeur de 10,000 $ sont offertes pour les personnes posant leur candidature en ligne avant le 1er avril. Les documents requis doivent être fournis d’ici le 15 mai 2017.
Recevez une carte-cadeau* d'une valeur de 200 $ pour votre magasin ou votre restaurant préféré
Nous sommes très heureux d’annoncer le programme de recommandation du MBA Telfer. Nous savons que le bouche-à-oreille est le meilleur moyen de promouvoir notre programme de MBA. Vous connaissez quelqu’un souhaitant entreprendre le programme de MBA Telfer en français? Recommandez cette personne et vous recevrez une carte-cadeau* d'une valeur de 200 $ pour votre magasin ou votre restaurant préféré une fois que la personne recommandée aura terminé avec succès au moins le premier semestre du programme de MBA.
*Conditions applicables.
[1] Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution. (New York : Crown Publishing Group, 2016)
[2] Carl Benedikt Frey† et Michael A. Osborne. The Future of Employment : How Susceptible are Jobs to Computerisation?, 2013.
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Les compétitions de cas d'affaires – je suis persuadé qu'on vous l'a déjà dit – sont fortement recommandées et procurent d'importants avantages. Je n'ai jamais rencontré un diplômé universitaire ayant regretté d'avoir participé. Non seulement y participer vous distingue de vos pairs à votre arrivée sur le marché du travail, mais de plus, participer à des compétitions de cas d'affaires (que ce soit à titre de représentant ou de membre du comité exécutif de votre école) apporte de nombreux autres avantages :
- Réseautage et amitiés
D'une part, vous vous rapprocherez des membres de votre délégation, d'autre part, ce sera pour vous l'occasion de rencontrer des étudiants d'autres écoles avec lesquels vous aurez des affinités. En outre, une compétition de cas d'affaires est une vitrine pour rencontrer des employeurs et des professionnels.
- Analyser sous pression
C'est l'essence même d'une compétition de cas d'affaires : résoudre un problème dans un délai imparti, puis présenter la solution aux juges. Pouvoir réfléchir de manière analytique et claire peut contribuer à faire de vous un décideur de renom au cours de votre carrière.
- Compétences de présentation
Y a-t-il meilleure façon de vous entraîner à vous exprimer en public? Parlons franchement : on doit constamment vendre ses idées, et les compétences que vous gagnerez en suivant votre cours sur la présentation pourront croître lors des compétitions de cas d'affaires. Votre confiance en vous atteindra des sommets!
- Mettre en pratique les connaissances obtenues en cours
Nous avons tendance à nous souvenir de ce que nous mettons en pratique, pas vrai? Mettez en pratique ce que vous apprenez dans vos autres cours pour vous aider à résoudre ces cas. Faire appel à ces connaissances renforce vos apprentissages et peut vous aider dans votre rôle d'étudiant.
- Travail d'équipe
Vous collaborez étroitement avec les équipes de votre catégorie, mais également avec une délégation en entier. Le large soutien accordé par des pairs pour atteindre un objectif commun vous encouragera et stimulera votre confiance en vous. La capacité de bien travailler en équipe est une qualité personnelle que chérissent les employeurs. Quelle façon géniale de vous y exercer!
- Plaisir et congés
D'habitude, les compétitions de cas d'affaires qui ont lieu à d'autres universités demandent de se déplacer. En soirée, les organisateurs de la compétition de cas d'affaires auront prévu des activités de détente, ce qui vous permettra d'explorer une nouvelle ville à votre convenance.
- Fierté scolaire
Être un délégué signifie représenter son école dans les compétitions de cas d'affaires à l'extérieur. C'est une occasion rêvée pour démontrer votre sentiment de fierté à l'égard de votre école et pour renforcer votre sentiment d'appartenance à l'Université d'Ottawa et à l'École de gestion Telfer.
- GAGNER
OUI, GAGNER! C'est un peu vieux jeu, mais personne ne sort perdant d'une compétition de cas d'affaires! Que vous obteniez la première, la deuxième, la troisième place, voire rien de ce qui précède, vous en retirerez néanmoins un précieux bagage, sans parler de tous les avantages susmentionnés à propos des compétitions de cas d'affaires.
Écrit par Miranda Taing
- Catégorie : Annonces aux étudiants
Les étudiants ont pu mettre en pratique leurs connaissances théoriques grâce à DECA, un programme de perfectionnement professionnel mondial pour les étudiants qui cherchent à rivaliser et à établir des liens avec de jeunes professionnels qui ont le même état d’esprit. Les délégués participent à des concours qui comprennent des éléments de présentation orale et d’écriture dans diverses catégories, notamment les services financiers aux entreprises, la gestion de marketing, la gestion des voyages et la consultation en gestion.
Cette année, le chapitre de l’Université d’Ottawa (DECA uOttawa) a eu de nombreuses victoires triomphales lors du concours provincial de DECA, qui s’est déroulé du 20 au 22 janvier au Centre Sheraton, au centre-ville de Toronto. Avec ses 68 délégués, l’Université d’Ottawa était parmi les 20 universités et collèges partis pour la gloire, et quelle réussite! Voici les résultats :
Connor Giddens – 1re place au classement en gestion des ressources humaines, parmi les trois premiers en jeu de rôle
Anna Halawa et Sonia Alb – 2e place au classement en gestion de marketing, parmi les trois premiers en jeu de rôle
Tingi Mulvihill – 2e place au classement en services financiers aux entreprises
Jason Luo – 2e place au classement en gestion de la vente au détail
Jingwen Lin – parmi les trois premiers en jeu de rôle en gestion de la vente au détail
Sonia Alb – parmi les trois premiers prix pour les examens écrits
DECA uOttawa tient à remercier Matt Archibald, Kina Leclair, Émilie Kitchen et l’École de gestion Telfer d’avoir offert aux délégués leur soutien, leurs conseils et la formation universitaire nécessaires pour les préparer au concours. De plus, DECA uOttawa souhaite souligner les efforts d’Anna Halawa (présidente) et de Bobbi Nguyen (vice-présidente), de même que le temps, les efforts et le travail assidu qu’elles ont consacrés au club. Finalement, DECA souhaite également reconnaître le dévouement du comité exécutif du club, puisque son succès aurait été impossible sans les innombrables heures de travail que les membres y ont consacrées (Maxim Goldenberg, Divya Mehta, Jordan Monaghan, Nikita Gupta, Sonia Alb, Michelle Tam, Rula Al Halbouni, Zach Zhang, Fiona Doomasia et Connor Giddens).
Qu’est-ce qui attend DECA uOttawa? Les étudiants de la délégation de l’Université d’Ottawa continueront sur leur lancée en participant à divers concours sur invitation dans les universités de la province. Ils auront également l’occasion de participer à l’International Career Development Conference (conférence internationale sur le perfectionnement professionnel). Détails à venir.
Écrit par Nikita Gupta, vice-présidente des affaires internes, DECA uOttawa
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Si vous passez par le pavillon Desmarais pendant la fin de semaine du 28-29 janvier, nous vous invitons à aller jeter un coup d’œil à l’intérieur de l’édifice, qui sera bondé d’étudiants. Ces 400 étudiants, provenant de onze universités de tout l’Est du Canada, se réuniront à l’École de gestion Telfer pour Omnium Financier, une compétition d’étude de cas.
Ce genre de compétition offre aux étudiants l’opportunité de résoudre un cas académique dans une période de trois heures, et de préparer une recommandation qui doit ensuite être présentée à un panel de juges qualifiés. Dans le cas de l’Omnium Financier, les étudiants présentent des cas en finance et en comptabilité. Le thème de #OF2017, intitulé « D’un océan à l’autre », permettra aux participants de découvrir l’histoire et les valeurs du Canada et de célébrer le 150e anniversaire de la Confédération.
On ne peut pas parler d’étudiants dévoués sans mentionner le comité organisateur. Rangée arrière, de la gauche à la droite : Samuel Soucy (VP - logistiques), Joshua Ayer (VP - communications), Philippe Moore (Directeur - logistiques), Kevin Saumure (VP - commandites), Ryan Rahman (VP - finance). Rangée du milieu : Katarina Mrkela (VP - academie et finance), Kassandra Tannouri (Directrice - logistiques). Rangée du bas : Miranda Taing (VP - marketing), Kim Angèle Vallières (Présidente), Andrée-Anne Martel (VP - academie et comptabilité) et Sarah Morin (Directrice - traductions).
L’Université d’Ottawa et l’École de gestion Telfer tiennent à souhaiter la bienvenue aux participants de l’Omnium Financier. Au plaisir de vous accueillir sur le campus le 28 janvier et de vous permettre de vivre ce qui sera sûrement une fin de semaine inoubliable. Quel bel ajout aux célébrations du 10e anniversaire de la désignation du nom de l’École Telfer!
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez