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Chaque trimestre, les étudiants du cours de dernière année Évaluation d’entreprises (ADM 4350 et ADM 4750) participent à un projet d’intégration et se font concurrence les uns aux autres pour conseiller une entreprise confrontée à une situation difficile. Pendant le trimestre d’hiver 2017, sous la direction de la professeure Nitani, les étudiants ont entrepris de relever un défi posé à Dragonwave Inc., une entreprise qui fournit des systèmes de réseau sans fil à bande large et à capacité élevée à des fournisseurs d’exploitation de réseaux et de services de réseaux.
Scott, l’un des membres de l’équipe gagnante, décrit ainsi son expérience : « La compétition a fait appel à la capacité de mon équipe de faire le tri entre l’information réellement valable et le reste. Nous devions aussi éviter activement nos propres biais dans la mise au point de notre évaluation et de notre scénario pour cette entreprise ». Selon Scott, les membres de l’équipe avaient chacun différentes forces qu’ils ont tous mises à contribution, et ont ainsi réussi à amener les juges à adhérer à leurs recommandations d’investissement. Scott obtiendra son diplôme en décembre au terme d’un dernier trimestre d’études. Il est actuellement l’un des gestionnaires de portefeuille du Fonds de capital Telfer et travaillera cet été en services bancaires d’investissement chez BMO Marchés des capitaux.
Pour Roma, un autre membre de l’équipe gagnante, la compétition d’étude de cas du cours Évaluation d’entreprises a été la compétition la plus complète et la plus amusante de son baccalauréat. Il a beaucoup aimé le défi d’évaluer une petite société ouverte, d’examiner la possibilité d’une acquisition et de présenter le travail accompli par son équipe devant des camarades de classe, professeurs et professionnels de l’industrie. À la fin de ses études en juin, Roma occupera un poste d’agent en capital-investissement dans une entreprise d’Ottawa, tout en travaillant à l’obtention de son titre de CFA.
Félicitations à l’équipe gagnante :
- Roma Stepanchenko
- Scott Beiersdorfer
- William Tu
- Catégorie : Futurs diplômés
En avril 2017, les étudiants du cours de 4e année, Études de cas en comptabilité (ADM 4340), ont présenté leur projet final dans le cadre de la compétition d’étude de cas CPA.
Félicitations à l’équipe gagnante :
- Jordano Gonzalez
- Sarah Morin
- Zachary Princi
- Vaughn Asher Sapers
- Iskandar Nasrallah
Nous avons demandé aux membres de l’équipe gagnante de nous faire part de leur expérience et de leurs projets après l’obtention de leur diplôme puisque la plupart d’entre eux terminent leurs études ce trimestre.
Jordano propose d’abord quelques conseils aux étudiants qui suivront ce cours l’an prochain. Il explique qu’il est essentiel d’être confiant pendant sa présentation si l’on veut que l’auditoire adhère à ses propos. Il suggère également de bien se préparer pour la période de questions, qui peut s’avérer très stressante. Après l’obtention de son diplôme, Jordano se joindra à RCGT (Raymond Chabot Grant Thornton) à titre de consultant.
Tout comme Jordano, Sarah terminera ces études ce trimestre. Elle travaillera à la fonction publique tout en cherchant à obtenir son titre de CPA. Cette compétition a été la dernière de ses études de premier cycle. « Je n’oublierai pas cette présentation de sitôt, et bien franchement, c’est plutôt génial que ce soit la dernière de mon baccalauréat », dit-elle.
Zach se passionne pour l’entrepreneuriat et a cofondé une entreprise en démarrage appelée Eephorea, une entreprise de production et de promotion d’expériences de divertissement en direct. Après ses études, il espère faire croître son entreprise et contribuer à mousser l’industrie des spectacles et de la musique sur scène ici à Ottawa. Il sera également intégré dans un poste à temps plein à la Chambre des communes en tant qu’agent comptable.
Pour sa part, Vaughn travaille actuellement à l’Agence du revenu du Canada, où il sera recruté à temps plein après ses études. Il lui tient à cœur d’utiliser son diplôme, son expérience et les connaissances acquises durant ses études pour aider à lutter contre ceux qui abusent de nos systèmes financiers et fiscaux.
Finalement, Iskandar a démarré sa propre entreprise de préparation de déclaration de revenus, qui se spécialise en déclarations de revenus d’étudiants. Il vise ainsi à donner aux étudiants en comptabilité la possibilité d’acquérir de l’expérience en remplissant les déclarations d’autres étudiants à peu de frais. Son associé et lui ont obtenu une subvention gouvernementale et ont fait l’objet d’un article dans la section affaires de la revue Glue.
Nous félicitons l’équipe gagnante et leur souhaitons beaucoup de succès dans leurs projets d’avenir!
Bâtissez votre entreprise et obtenez des crédits de cours grâce au cours « Fusion entrepreneuriale »
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Dans le but de mieux canaliser la motivation des étudiants qui ont l’esprit d’entreprise, l’École de gestion Telfer, en collaboration avec la Faculté de génie et la Faculté des arts, a récemment combiné des projets d’entrepreneuriat à des crédits de cours. Le cours « Fusion entrepreneuriale » est une initiative à l’échelle du campus qui mise sur les ressources de démarrage d’entreprise de l’Université et de la collectivité pour aider les étudiants à développer leurs entreprises dans le cadre d’un cours avec crédits d’une durée de 13 semaines.
« Le cours, qui se veut essentiellement un incubateur auquel sont assortis des crédits de cours, offre d’importantes occasions aux étudiants qui cherchent à mettre leur entreprise sur pied et qui souhaitent tirer profit des ressources externes et de celles offertes par l’Université, déclare Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick. À deux reprises au cours du semestre, les participants présentent leur projet d’affaires à des juges externes dans l’espoir de se voir décerner un prix en argent. »
Les étudiants présentent une demande en vue d’être admis au programme. Leurs entreprises font alors l’objet d’un examen afin de déterminer à quelle étape elles se trouvent et d’établir ce que les étudiants seront en mesure d’accomplir pendant le semestre. À la fin du cours, les étudiants font une dernière présentation et font état de leurs progrès pour mettre en relief les travaux qu’ils ont accomplis pendant le semestre. Les présentations obligatoires toutes les deux semaines permettront aux étudiants de peaufiner leurs techniques de présentation et de recueillir de précieux commentaires auprès de leurs professeurs, de leurs mentors externes et de leurs pairs.
Microbright, par exemple, est une entreprise en démarrage qui se sert des microbes naturellement présents dans l’environnement pour éliminer les métaux toxiques provenant d’activités minières qui se trouvent dans l’eau. « Le cours “Fusion entrepreneuriale” m’a aidé à comprendre, d’un point de vue commercial, comment il faut s’y prendre pour connaître du succès avec une entreprise en démarrage. Ce cours m’a donné les outils et le mentorat auxquels je n’aurais pas eu accès autrement », explique Daniel Grégoire, candidat au doctorat à la Faculté des sciences et l’un des fondateurs de Microbright.
L’entreprise Eephorea, quant à elle, vise à répondre aux besoins de l’industrie du divertissement grâce à la production et à la promotion d’expériences de divertissement en temps réel. « Si les gens se déplacent pour assister à un événement d’une durée de plusieurs heures, pourquoi ne pas leur offrir des activités intéressantes en plus des têtes d’affiche? Des activités simples, comme des dégustations, des danseurs acrobatiques, des accessoires pour prise de photos et des expositions visuelles intrigantes, peuvent nettement rehausser l’expérience des invités et rendre un événement encore plus inoubliable, affirme Zachary Princi, étudiant à l’École de gestion Telfer. Le cours “Fusion entrepreneuriale” m’a permis de consacrer plus de temps à mon entreprise sans pour autant nuire à mes études. »
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le programme et pour découvrir comment vous pouvez vous inscrire à la session d’hiver 2018, veuillez communiquer avec Stephen Daze.
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« Je crois que de se concentrer sur ce qui nous passionne naturellement nous permet d'accomplir beaucoup plus. » Voilà les mots de Maxime, un étudiant qui en est à sa quatrième année à l'École de gestion Telfer.
Ses passions? Le surf, la résolution de problèmes et son champ d'études, la gestion internationale. « Je suis l'un des quelques surfeurs à l'Université d'Ottawa. Je crois qu'il est essentiel d'avoir un passe-temps, quelque chose qui nous passionne et que nous voulons faire beau temps, mauvais temps, parce que c'est ce qui nous fait repousser nos limites. C'est la seule façon d'accomplir de grandes choses. »
Revenons quatre ans en arrière : Maxime était en dernière année du secondaire et visitait l'Université d'Ottawa à l'occasion d'une journée portes ouvertes. « La gestion était quelque chose qui m'intéressait, et j'espérais pouvoir me spécialiser rapidement. »
Aujourd'hui, Maxime est l'exemple parfait de l'étudiant engagé qui saisit les occasions qui s'offrent à lui. Ces quatre dernières années, Maxime a pris part à de nombreux événements de réseautage et a rencontré plein d'étudiants et de professionnels aux intérêts variés et issus de tous les domaines, sans compter sa participation au programme de mentorat et aux consultations individuelles.
Qui plus est, il a profité deux fois du programme d'échanges pour se rendre en France et en Australie. « Je suis fier des deux échanges que j'ai eu l'occasion de faire lors de ma troisième année d'université. Je crois que de s'adapter à un nouvel environnement, tant sur les plans personnel et professionnel que sur le plan culturel, devrait être obligatoire. S'adapter à la vie dans une petite ville en France, faire de l'immersion anglaise en Australie, partir pour une longue période et sortir de ma zone de confort étaient un défi, mais aussi une expérience incroyable. Je me suis fait des amis de partout dans le monde et j'ai perfectionné mes aptitudes professionnelles en participant à des séminaires et à des projets très intéressants et, bien entendu, en faisant du réseautage. »
Quand nous lui demandons s'il a des conseils à donner aux futurs étudiants, il répond avec cœur de s'impliquer dans le programme de mentorat, de se joindre à des clubs étudiants, de s'inscrire au programme d'échanges et de profiter de chacune des occasions offertes par l'École de gestion Telfer.
« Aujourd'hui, je me sens prêt à affronter tous les défis du monde des affaires. »
Ajoutez Maxime Therrien-Arel à votre réseau LinkedIn.
Aussi, vous pouvez suivre le fil des activités de l'École de gestion Telfer sur LinkedIn ici!
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La Rotman International Trading Competition (RITC) de l’Université de Toronto rassemble quelques-unes des meilleures écoles de gestion au monde pour une simulation intensive d’une durée de trois jours. Parmi les 52 écoles participantes, l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa a magnifiquement su tirer son épingle du jeu en obtenant la 13e position. L’École de gestion Telfer a notamment surpassé les écoles suivantes : McGill, Pennsylvania State University, Columbia, University of Chicago, Western, Queen’s, The Shanghai Advanced Institute of Finance et University of Hong Kong.
L’équipe de cette année était composée de six de nos étudiants en finance les plus performants : Evan Friend, Danika Fu, Jack Lau, Dmitry Shorikov, William Tu et Patrick Winogron. Ils ont été encadrés par Pouya Safi, gestionnaire du Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance. L’équipe a été formée après la performance exceptionnelle de chaque étudiant lors du concours sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer en octobre. Depuis, l’équipe s’est rencontrée régulièrement pour élaborer sa stratégie et s’entraîner sur le logiciel RIT. Tous ceux qui sont passés devant le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance ont probablement vu ces étudiants se préparer au concours. Cette préparation est devenue de plus en plus intense à mesure que le concours approchait. Au début de la semaine d’étude, les membres de l’équipe de la RITC s’entraînaient toujours; ils passaient souvent plus de 12 heures d’affilée au laboratoire. Même dans le train se rendant à Toronto, l’équipe a continué à perfectionner ses stratégies.
La série d’événements a commencé avec une cérémonie de bienvenue et une présentation de l’événement. Une ronde de criée à haute voix s’est aussi déroulée pour que les concurrents puissent exercer leur stratégie. Jack Lau a remporté la 2e position!
Cette année, la compétition a été divisée en six événements officiels qui se concentraient sur les thèmes suivants : options (les options), sales & trading (la vente et la négociation), commodities (les produits de base), fixed income (le revenu fixe), algorithmic trading (la négociation algorithmique) et quantitative outcry (la criée quantitative). Les concurrents étaient surtout des étudiants à la maîtrise en finance, en mathématiques, en ingénierie financière et en modélisation financière quantitative.
La première de ces compétitions était le cas BP Commodities (produits de base de BP). Les membres de l’équipe devaient tenir le rôle de négociants, de producteurs ou de raffineurs. L’équipe devait collaborer pour interpréter les signaux du marché, faire le commerce de divers produits de base du pétrole et faire des transactions sur les contrats à terme. L’équipe d’Ottawa a traité ce cas avec brio et a remporté la 6e position à cet événement.
Dans le cas des options, l’équipe devait analyser les données du marché pour échanger différentes options d’achat d’un fond négocié en bourse fictif. Les concurrents ont élaboré un modèle qui a recueilli, interprété et modélisé ces données, et ont conçu une stratégie pour faire avec succès des transactions liées aux données de ce modèle. La stratégie finale combinait des mesures de volatilité, une couverture en delta neutre et un arbitrage du prix, ce qui a valu à l’équipe la 6e position.
Avec deux sixièmes positions après la première journée, l’Université d’Ottawa entamait le jour suivant en 6e position! Lors de la deuxième journée, les concurrents ont pu s’affronter sur des cas tels que le risque de crédit, la négociation algorithmique et la criée quantitative.
Le cas S&P Global Credit Risk (risque de crédit de S&P Global) comprenait la tarification de produits de sociétés à revenu fixe et le calcul des risques. Pour prédire la trajectoire des prix et la capacité de la compagnie à rembourser ou non sa dette, des formules comme la différence implicite des prix et la méthode Altman Z-scores ont été utilisées. Après avoir fondé de très grands espoirs de succès sur ce cas, l’Université d´Ottawa s’est classée dans les 20 meilleures.
Le cas Sales & Trading (vente et négociation), commandité par Flow Traders, a aussi été un événement important pour l’équipe, qui y a obtenu la 14e position. Ce cas exigeait des participants qu’ils tiennent le rôle d’un négociant et qu’ils effectuent des évaluations rapides du risque de liquidité. Tout au long du cas, les négociants devaient évaluer la valeur et le niveau de risque d’une douzaine d’offres publiques d’achat et effectuer des transactions relativement aux positions obtenues par ces offres publiques d’achat. Le succès était déterminé par la capacité de l’équipe à gérer les risques du marché tout en exploitant les occasions de tenue de marché.
Le cas Algorithmic Trading (négociation algorithmique), où l’équipe a terminé dans les 25 meilleures, portait sur l’élaboration d’un algorithme de négociation qui analyserait les données du marché et effectuerait des transactions en fonction de ces données, tout en évitant les sanctions du marché. Ce cas demandait une préparation considérable et a été exécuté par un seul membre de l’équipe, Dmitry Shorikov, qui a été isolé dans une salle fermée.
La compétition la plus excitante a certainement été le cas Quantitative Outcry (la criée quantitative). Ce cas comprenait deux membres de l’équipe agissant comme analystes du marché et incorporant les données du marché à un modèle du PIB de plusieurs pays dans le but d’évaluer un indice boursier. Cette évaluation était ensuite transmise par des signaux manuels silencieux à deux autres membres de l’équipe travaillant sur un parquet à la criée. Ces joueurs, habillés dans des costumes colorés pour les rendre plus visibles par les analystes, achetaient et vendaient en fonction des instructions des analystes.
Parmi les équipes de l’Université d’Ottawa qui ont participé à l’événement ces quatre dernières années, l’équipe de cette année était l’une des mieux préparées et des plus déterminées. L’équipe a amélioré les résultats de l’École par rapport aux années précédentes; il est facile de comprendre pourquoi quand on constate tous ses efforts de préparation et d’entraînement. L’équipe de la RITC s’est réunie tous les dimanches depuis novembre 2016 afin de s’exercer et d’élaborer des stratégies. Les étudiants qui retourneront à l’École au prochain semestre sont déjà déterminés à améliorer leur performance de 2017, et les finissants de cette année auraient bien souhaité avoir une nouvelle chance. Nous remercions spécialement M. Pouya Safi, le département de marketing de l’École de gestion Telfer, le Conseil étudiant Telfer et le Centre des carrières pour leur aide relativement au financement des dépenses liées à la participation au concours.
Tous les ans, l’équipe cherche à ajouter de nouveaux talents, et c’est en octobre 2017 qu’aura lieu le recrutement dans le cadre du concours sur les opérations boursières de l’École de gestion Telfer. Si les domaines des investissements, du commerce, de la modélisation financière vous intéressent ou que vous souhaitez simplement vous impliquer davantage, n’hésitez pas à vous inscrire au concours. L’équipe encourage les étudiants à tenter leur chance ou à communiquer avec ses membres pour plus de renseignements.
Principaux résultats :
- Classement général : 13e position
- Criée à haute voix (Social Outcry) : 2e position – Jack Lau
- Produits de base (Commodities) : 6e position
- Cas des options (Options Case) : 6e position
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Du 22 au 26 février, sept étudiantes de l’École de gestion Telfer ont entrepris de représenter l’Université d’Ottawa à la National Model African Union Conference 2017 à l’Université Howard, située à Washington, D.C.
La National Model African Union Conference 2017 a réuni des universités canadiennes, américaines et coréennes qui représentaient divers pays africains. La conférence a permis aux participants d’apprendre davantage au sujet des rôles, des structures et des activités de l’Union africaine, y compris les enjeux économiques, sociaux, politiques et de sécurité auxquels font face les pays africains. La simulation des négociations était accomplie selon les informations en temps réel fournies par les diplomates de l’Union africaine à l’ambassade de leur pays respectif.
L’Université d’Ottawa représentait le Royaume du Swaziland, un petit pays africain délimité par le Mozambique et l’Afrique du Sud. En tant que diplomates du Swaziland, les étudiantes avaient besoin de comprendre de manière exhaustive leur pays en étudiant les divers conflits actuels qui touchent le Swaziland.
Les six comités étaient représentées par les étudiantes ci-dessous, et chaque étudiante était responsable de négocier une solution au nom du Swaziland :
- Conseil exécutif : Gaëlle Faye
- Commission de la paix et de la sécurité : Audrey Marie Traoré
- Commission des affaires économiques : Marilyne Vidjanagni et Rainatou Ouedraogo
- Commission de la démocratie, des droits de l’homme et de la gouvernance : Alexandrine Silga
- Commission des affaires sociales : Marie-Emmanuelle Kouadio
- Commission du panafricanisme et de l’unité continentale : Mame Marième Diop et Ashley Sidibé
La simulation a permis aux étudiantes de mettre en pratique les compétences qui leur seront grandement utiles au cours de leur carrière. Outre la simulation, il y a eu de nombreuses occasions de réseautage avec des diplomates africains.
Après des mois de préparation et des activités de financement pour couvrir les dépenses liées à la conférence, deux de nos étudiantes ont fait un effort supplémentaire en remportant deux prix de performance exceptionnelle : Gaëlle Faye et Marie-Emmanuelle Kouadio.
« La délégation aimerait remercier toutes les personnes pour leur soutien et pour leur confiance en nous », dit Gaëlle Faye au nom de la délégation. « Nous sommes toutes fières d’avoir pu représenter notre université ainsi que les couleurs du Swaziland. En tant qu’étudiantes internationales, nous avons attendu avec impatience de faire partie d’une activité qui nous permet d’en apprendre davantage au sujet de nos communautés africaines et de leur apporter notre contribution. Par l’entremise de ce programme, nous avions comme objectif de démontrer comment les étudiants pouvaient tirer profit des diverses ressources de Telfer liées à des éléments culturels pour mieux établir des liens entre les étudiants et ce qui compte. Nous avons été les premiers à participer à cette simulation et nous espérons que ce n’est pas la dernière fois. »
En préparation à la National Model African Union 2018, les étudiants qui souhaitent participer à l’activité ou en apprendre davantage au sujet de cette dernière sont invités à communiquer avec les étudiants faisant partie de la délégation cette année.
Écrit par la délégation du National Model African Union de 2017
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L'initiative des cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa (uOttawa) reconnaît et célèbre l'aboutissement de chaque cycle annuel d'enseignement, de compétitions, d'ateliers et de travail acharné qui donne lieu à de formidables entreprises en démarrage.
Déjà à sa troisième année, cette recherche annuelle des cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus est le résultat d'un effort de collaboration entre l'École de gestion Telfer, la Faculté de génie, Garage Démarrage et le Carrefour de l'entrepreneuriat de l'Université d'Ottawa.
« Chaque année, la qualité des entreprises en démarrage sur le campus s'améliore », a déclaré Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l'École de gestion Telfer. « L'intérêt des étudiants, le programme des facultés et la croissance de la culture d'entrepreneuriat contribuent à une meilleure qualité, et je suis heureux de constater que notre nouvelle génération de dirigeants crée ses propres occasions. »
Voici les cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa, en ordre alphabétique :
Kegshoe
- Cofondateurs : Torin Regier, directeur financier (B.Com. Telfer 2017), Mike Eagar, directeur marketing (ancien étudiant, uOttawa) et Adrian Pawliszko, dirigeant principal de la technologie (étudiant en génie civil, uOttawa).
- Kegshoe Inc. est une entreprise de logiciels pour l'industrie de la bière qui fournit des solutions infonuagiques conviviales pour gérer les activités complexes de l'exploitation d'une brasserie. Avec des fonctionnalités comme le suivi des barils à bière et une gestion de la clientèle propre à la brasserie, Kegshoe Inc. aide à résoudre les problèmes les plus importants et les plus coûteux des brasseries.
Spiderwort
- Cofondateurs : Charles M. Cuerrier, chef de la direction (boursier postdoctoral, uOttawa), Andrew E. Pelling, dirigeant principal de la technologie (professeur agrégé, département de physique, uOttawa) et Daniel J. Modulevsky, agent principal des biomatériaux (candidat au doctorat, biologie, uOttawa).
- Spiderwort a développé des biomatériaux innovants pour la recherche médicale, la chirurgie reconstructive et la médecine régénérative. La stratégie de Spiderwort repose sur l'utilisation d'échafaudage de cellulose pour la régénération et la réparation de tissus endommagés ou malades.
Spivo Inc.
- Cofondateurs : Andre Bellerive, chef de la direction (B.Sc.A. 2014 et étudiant à la maîtrise en ingénierie, uOttawa) et Marc Bjerring, directeur de l'exploitation (B.Sc.A. en génie mécanique, 2014, uOttawa).
- Spivo Inc. conçoit, fabrique et vend des accessoires d'appareils photo créatifs qui captent les souvenirs de la vie comme jamais auparavant. Leur produit phare, le Spivo Stick, est un support de caméra rotatif (brevet en instance) qui permet aux aventuriers et aux voyageurs de changer instantanément le point de vue de leurs appareils photo. Les vidéos créées avec le Spivo Stick sont amusantes et créatives, en plus d'inclure des transitions entre les plans qui créent des images incroyables et attrayantes.
Welbi
- Cofondateurs : Elizabeth Audette-Bourdeau, chef de la direction (B.Com. Telfer 2016), Felipe Izquierdo, directeur de l'exploitation (B.Com. Telfer 2016) et Nicholas Petryna, dirigeant principal de la technologie (ancien étudiant en génie logiciel, uOttawa).
- Welbi est une application qui aide les familles à prendre soin d'un être cher plus âgé. Elle utilise une montre intelligente Fitbit pour analyser le sommeil, l'activité physique et la fréquence cardiaque, et vous avise ensuite des changements dans les habitudes de l'être cher. Son objectif principal est de fournir aux familles la visibilité et l'information dont elles ont besoin pour prendre soin de la santé et du bonheur de leur proche à la maison.
YouCollab
- Fondateur : Shaun Maclellan, chef de la direction (ancien étudiant, uOttawa).
- YouCollab est une plateforme unique qui permet une communication et une collaboration harmonieuses entre les créateurs de contenu YouTube. YouCollab relie les utilisateurs en fonction de l'emplacement, de la taille du public et de mots clés.
Comment les cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus ont-elles été sélectionnées?
Un appel de mises en candidature public sur le Web a permis aux entreprises en démarrage de manifester leur intérêt. Un comité d'entrepreneuriat du campus a ensuite évalué les candidats, et une première longue liste des meilleures entreprises en démarrage a été établie.
Une rétroaction de divers diplômés et entrepreneurs de la Silicon Valley a été obtenue avant la sélection de la liste définitive des cinq meilleures entreprises en démarrage. Ces cinq meilleures entreprises en démarrage seront invitées à visiter la Silicon Valley pour une expérience d'apprentissage et de développement des affaires en mai 2017. Ce voyage coïncide avec le voyage annuel à la Silicon Valley du programme de MBA pour cadres de l'École de gestion Telfer.
« Les voyages dans la Silicon Valley ouvrent la voie à un monde de liens et de possibilités que l'on ne trouve nulle part ailleurs », a soutenu Lee Silverstone, cofondateur de GymTrack et récipiendaire de l'initiative des cinq meilleures entreprises en 2016. « L'occasion de s'y rendre avec l'Université d'Ottawa et son réseau était une expérience incroyable, et je recommande fortement aux fondateurs d'entreprises en démarrage d'en profiter. »
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« J’ai choisi de poursuivre mes études de doctorat à l’École de gestion Telfer en raison de l’expertise à ma disposition au sein de la faculté et de l’engagement reconnu de l’École à fournir à ses étudiants des cycles supérieurs une expérience d’apprentissage rigoureuse adaptée à leurs objectifs de recherche. Les programmes de recherche Telfer sont conçus pour être souples, c’est-à-dire pour permettre aux candidats d’harmoniser leurs cours et leurs travaux à leur propre domaine de recherche, ce qui leur permet de commencer à fouiller leur sujet de thèse dès le premier jour du programme. La nature interdisciplinaire de ces programmes et la diversité des sujets qui sont traités par les candidats et le corps professoral favorisent aussi les échanges riches en contenu et permettent aux candidats d’être sensibilisés à une variété de domaines et de méthodes qui enrichissent leur propre projet de thèse. »
Caroline est doctorante en gestion et se spécialise dans les systèmes de santé. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences sociales en développement international et mondialisation, et d’une maîtrise ès sciences en systèmes de santé de l’Université d’Ottawa.
Pendant ses études de maîtrise en systèmes de santé à l’École de gestion Telfer, Caroline s’est concentrée sur les ressources humaines en matière de santé maternelle dans les contextes du développement. De ce fait, les recherches menées en vue de sa thèse comportaient notamment une étude de cas sur les obstacles et les instruments d’habilitation du perfectionnement professionnel de sages-femmes compétentes offrant des soins périnataux aux immigrantes et aux réfugiées à l’intérieur d’un système de santé autonome à la frontière de la Thaïlande et du Myanmar.
Sous la supervision continue de la professeure Ivy Lynn Bourgeault, Caroline utilisera son doctorat en gestion pour perfectionner ses compétences en recherche et enrichir sa compréhension des complexités de la durabilité de la main-d’œuvre en santé maternelle dans les contextes de déplacement prolongé et de fragilité. Caroline a présenté un exposé lors de la conférence de l’Association canadienne pour la recherche et les politiques de la santé, ainsi que devant le World Congress on Public Health, la Conférence canadienne sur la main-d’œuvre en santé, et lors du Symposium mondial sur la recherche sur les systèmes de santé, et elle effectuera une présentation lors du Congrès triennal de l’International Confederation of Midwives.
Doctorat en gestion de l’École de gestion Telfer
Dans notre monde en transformation, il faut des théoriciens originaux, ingénieux et tenaces. Le programme de doctorat de l’École de gestion Telfer prépare une nouvelle génération d’universitaires avant-gardistes à confronter, grâce à la recherche, les enjeux complexes relatifs à la gestion. Notre programme de doctorat est élaboré pour former des penseurs visionnaires et influents qui, par leur recherche, auront une influence positive sur la vie des gens, des organisations et des collectivités. Plus que tout, nous avons des attentes très élevées à l’égard de nos étudiants. Quels que soient leurs objectifs, nous sommes toujours à proximité pour les aider à les atteindre.
Téléchargez notre brochure ou découvrez en quoi consistent notre programme de doctorat et nos cinq champs d’études en consultant notre site Web à l’adresse telfer.uOttawa.ca/phd.
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Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemble une journée dans la vie d'un président et chef de la direction? J'ai eu la chance de passer une journée avec Goldy Hyder, président et chef de la direction de Hill+Knowlton Strategies Canada, une firme de relations publiques réputée. Grâce au programme CEOx1 jour, mis sur pied par Odgers Berndtson, et à la suite d'un rigoureux processus de sélection à plusieurs étapes, j'ai pu accompagner M. Hyder durant toute sa journée de travail le 1er février dernier.
J'ai commencé ma journée dans les bureaux de Hill+Knowlton à Ottawa. M. Hyder a immédiatement fait une forte impression sur moi. J'aurais pu me sentir intimidé par son intelligence, son esprit et ses vastes connaissances politiques et économiques, mais il m'a mis à l'aise dès que j'ai mis le pied dans son bureau. Il m'a encouragé à m'exprimer et à poser des questions au cours des réunions internes auxquelles j'ai assisté. C'est également avec plaisir que j'ai rencontré certains des principaux membres de l'équipe d'Ottawa, dont Don Boudria, ancien ministre fédéral maintenant conseiller principal chez Hill+Knowlton.
L'un des moments forts de la journée a été le repas du midi au Parlement, qui m'a permis de discuter avec Jennifer Ditchburn, rédactrice en chef d'Options politiques à l'Institut de recherche en politiques publiques. De plus, j'ai terminé ma journée en assistant à l'enregistrement de l'émission On the Money à la CBC. J'ai ainsi pu écouter M. Hyder parler des effets du statut socioéconomique sur l'espérance de vie.
Bref, mon expérience CEOx1 jour a été incroyable. J'ai pu voir le portrait global d'une vaste organisation du point de vue de son président et chef de la direction. J'en ai appris davantage sur les succès de l'entreprise et les obstacles auxquelles elle fait face, ainsi que sur son incidence sur diverses industries. Plus important encore, j'ai passé du temps en tête à tête avec son président et chef de la direction. Il a répondu avec empressement à mes nombreuses questions au sujet de son cheminement de carrière et a donné à l'étudiant que je suis de précieux conseils pour amorcer mon parcours professionnel.
L'an prochain, j'encourage tous les étudiants de 3e et 4e années de l'École de gestion Telfer à soumettre leur candidature au programme CEOx1 jour pour profiter de cette occasion d'apprentissage unique en son genre!
Écrit par Anna Halawa, étudiante.
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