Actualités
- Catégorie : Futurs diplômés
Six étudiants très performants en finance représenteront l'École de gestion Telfer à la Rotman International Trading Competition de 2015 du 19 au 22 février à Toronto. La Rotman International Trading Competition est une compétition et une conférence intensives de trois jours sur les opérations boursières qui accueille des équipes provenant des cinquante meilleures universités au monde. La compétition est très féroce et attire les étudiants les plus brillants de divers programmes de premier cycle et d'études supérieures. L'équipe de l'École de gestion Telfer de 2015 sera composée de Cassy Aite, d'Ian Harten, de Malanga Mposha, de Daniel Shannon, de William Tu et d'Ethan Zhang.
Pouya Safi est directeur du Laboratoire de recherche et d'apprentissage en finance de l'École et est chargé de gérer et de superviser l'équipe de cette année. Il doit veiller à ce que les étudiants aient toutes les ressources et les conseils nécessaires pour réussir et rivaliser au plus haut niveau. Pouya prépare l'équipe avec des séances de formation ainsi que des ateliers et des concours de préparation. Selon lui, les fréquentes séances d'entraînement et réunions en prévision de la compétition depuis novembre sont devenues une habitude pour les membres de l'équipe et seront leur avantage concurrentiel sur les équipes qui se sont peu préparées.
L'idée d'une forte concentration et d'un grand dévouement n'a rien de neuf pour ces étudiants qui ont dû se batailler et subir une entrevue afin de se tailler une place au sein de l'équipe. Lors de leurs réunions régulières, ils devaient créer des modèles complexes, construire des algorithmes pour les opérations boursières et établir des stratégies résistantes au stress. Selon William Tu, la préparation en prévision de la compétition en soi fut une expérience incroyable sur le plan de l'esprit de camaraderie, de penser stratégiquement comme une équipe et d'adopter la nature trépidante des opérations boursières. Cassy Aite ajoute que l'efficacité de l'équipe provient des compétences synergétiques que chaque membre apporte à l'équipe.
À l'approche de la date de compétition du 19 février, la fébrilité des membres est dans l'air. L'équipe est concentrée et est prête à affronter tous les obstacles qui se présentent à elle.
- Catégorie : Distinctions
Marvin Hough, cadre en résidence à l'École de gestion Telfer et diplômé de l'Université de l'Alberta (B.Com. et MBA), a consacré une grande partie de sa carrière à la promotion des échanges commerciaux entre le Canada et l'Inde. Il est également président de MIRA, un cabinet d'experts-conseils international.
M. Hough a travaillé pendant 30 ans à Exportation et développement Canada (EDC), où il a aidé plusieurs entreprises canadiennes à vendre leurs produits ou à faire des investissements en Inde en offrant des services de financement et d'assurance. Durant sa carrière à EDC, il a notamment exercé pendant quatre ans les fonctions de délégué commercial en Inde au nom du ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement, en vue d'acquérir de l'expérience sur le terrain.
Depuis qu'il a pris sa retraite de EDC, M. Hough a continué de soutenir cet effort à titre d'enseignant dans le programme MBA pour cadres et le programme de premier cycle à l'École de gestion Telfer (où il a élaboré des cours sur la conduite des affaires en Inde, en plus de participer à l'organisation du Telfer India Forum annuel). Il a également appuyé activement les échanges commerciaux entre le Canada et l'Inde, notamment par l'entremise de ses fonctions en tant que directeur du Conseil de Commerce Canada-Inde (CCCI) et en tant que membre de la Chambre de commerce indo-canadienne d'Ottawa. M. Hough a d'ailleurs reçu un prix d'excellence de la Chambre de commerce indo-canadienne d'Ottawa pour ses efforts de longue haleine visant à favoriser les échanges commerciaux entre le Canada et l'Inde.
Selon M. Hough, depuis son affectation en Inde il y a 25 ans, certains progrès de taille ont été réalisés, tant au chapitre du contexte commercial de l'Inde que des relations entre le Canada et ce pays. Selon lui, à bien des égards, le moment pour une collaboration commerciale entre l'Inde et le Canada n'a jamais été si propice et le marché indien est plus intéressant que jamais.
Les récentes élections en Inde sont très prometteuses, laissant entrevoir une accélération de la réforme économique et l'allégement de certaines formalités administratives. Par ailleurs, selon M. Hough, grâce aux relations intergouvernementales, un accord de libre-échange est en voie d'être conclu.
Du point de vue de M. Hough, la question qui se pose est de savoir si les entreprises canadiennes envisageront sérieusement de faire affaire avec l'Inde et si elles s'engageront à exercer leurs activités sur ce marché. Le niveau modeste du commerce bilatéral entre le Canada et l'Inde (six milliards de dollars) est imputable en grande partie au manque d'engagement de la part des entreprises canadiennes. Les cadres canadiens doivent comprendre qu'il faut non seulement investir du temps et de l'argent pour pénétrer un marché, mais il faut également adapter les approches adoptées pour les États-Unis et d'autres marchés établis.
En Inde, les entreprises canadiennes doivent avoir un programme plus flexible, chercher à établir des relations et à instaurer la confiance et vraiment concentrer leurs efforts sur ces relations qu'ils ont forgées. Il leur faut comprendre que leur succès repose sur une bonne présence sur le marché et qu'elles doivent s'adapter à la culture commerciale locale. Elles doivent également bien se préparer à mener des négociations difficiles et à traiter avec des acheteurs qui se préoccupent considérablement du prix.
M. Hough compte poursuivre ses efforts envers la cause en continuant d'enseigner à l'École de gestion Telfer, en continuant ses travaux à la CCCI et en offrant des services de consultation à des entreprises canadiennes qui souhaitent faire leur entrée sur le marché indien. « Pour pleinement réaliser le potentiel, il faut surtout montrer que les entreprises canadiennes s'engagent à bâtir des relations à long terme avec l'Inde et qu'elles sont capables de s'adapter au marché et disposées à le faire. »
Photo : Amiral (Ret.) Nirmal Verma, Haut-commissaire de l'Inde, en compagnie de Marvin Hough
- Catégorie : Actualités
Le 17 octobre, 15 étudiants de l'École de gestion Telfer sont partis à l'aventure en Chine, où ils ont pu vivre une expérience absolument inoubliable.
Enactus uOttawa est un organisme à but non lucratif composé d'une communauté de leaders étudiants qui s'engagent à exploiter la puissance de l'action entrepreneuriale pour transformer des vies et créer un monde meilleur et plus durable. Avec cinq incroyables projets menés dans cette même optique, Enactus uOttawa est l'une des meilleures équipes au Canada. Elle a ainsi eu l'occasion d'appuyer sur place l'équipe du Canada, représentée par Enactus Memorial, lors de la compétition Enactus World Cup de 2014, à Pékin, en Chine! Quinze représentants d'Enactus uOttawa se sont donc envolés le 17 octobre vers Pékin pour participer à cette compétition qui s'apparente aux Jeux olympiques dans le monde d'Enactus.
Cette expérience demeurera à jamais gravée dans nos mémoires.
À leur arrivée à Pékin, les membres de notre équipe ont visité de nombreuses attractions touristiques époustouflantes, telles que le Palais d'été, les marchés bourdonnants, la place Tiananmen, la Cité interdite et, bien sûr, la Grande Muraille de Chine. Nous avons même fait de la luge sur la montagne où se trouve la Grande Muraille de Chine!
Au total, 34 pays ont participé à la compétition, notamment le Brésil, l'Afrique du Sud, la Russie et l'Australie. Les festivités ont été lancées avec un carnaval dans le cadre duquel la culture (vêtements, nourriture et activités) de tous les pays a été représentée. Quelle belle expérience ce fut de déambuler dans cette grande salle bondée de gens provenant des quatre coins du monde!
Les présentations de la compétition World Cup étaient axées sur les projets de sensibilisation des équipes et sur leur capacité à exercer une influence positive sur la vie des gens. L'équipe du Canada a atteint la demi-finale. L'Irlande, la Chine, le Maroc et Porto Rico se sont qualifiés pour la finale, qui se déroulait le jour suivant.
Finalement, c'est la Chine qui a remporté la World Cup Enactus de 2014, sous une salve d'applaudissements de la foule comptant plus de 5 000 étudiants, universitaires et chefs d'entreprise! Dans le cadre de son projet, l'équipe de la Chine a créé un système de générateur solaire et éolien qui a alimenté en électricité un gardien de troupeau local, doublant ainsi son revenu annuel. Tout au long de la compétition, nous avons pu entendre de fascinants panélistes, dont le PDG de Walmart, premier vice-président de Coca-Cola, le président de la Fondation KPMG, s.r.l. (aux États-Unis) et bien plus encore.
Nous garderons de cette expérience un souvenir inoubliable. Nous étions absolument ravis d'avoir l'occasion d'explorer Pékin, mais aussi de rencontrer des centaines de personnes des quatre coins du monde qui partagent nos points de vue et qui aspirent, tout comme nous, à faire bouger les choses.
Par : Liora Raitblat
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