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Kim Angèle Vallières (B.Com. 2017)  : s’inspirer de son expérience étudiante pour redonner

Chaque année, le prix Jeune donateur ou Jeune donatrice de l’année est décerné à une diplômée ou un diplômé remarquable qui inspire par son exemple en redonnant à l’École de gestion Telfer tôt dans sa carrière. La lauréate de cette année, Kim Angèle Vallières, vice-présidente du secteur de la gestion du risque à NFP Canada, est une membre dévouée de la Telfer Nation depuis son passage à l’Université d’Ottawa. Étudiante au baccalauréat en sciences commerciales de 2013 à 2017, Kim Angèle Vallières s’est impliquée activement dans sa communauté tout au long de son parcours universitaire. Son indéfectible dévouement envers l’École et la nouvelle génération étudiante en gestion, de même que son engagement envers les futurs leaders du domaine lui ont valu cette reconnaissance.

Redonner à la communauté étudiante 

Prix Jeune donatrice de l’année avec gravure du nom et du grade : Kim AngèleKim Angèle Vallières a subvenu elle-même à ses besoins en occupant trois emplois différents lorsqu’elle étudiait en finances à finances à l’École Telfer. Qui plus est, elle dirigeait l’organisation de l’Omnium financier, l’un des plus grands concours d’études de cas en finance et comptabilité au pays, tout en siégeant à deux comités de clubs étudiants, soit le Club de comptabilité Telfer et le Club des entrepreneurs Telfer. 

Ce n’est pas facile de travailler et d’étudier à temps plein, sans compter le bénévolat… « C’est un cercle vicieux. Pour obtenir de l’aide financière, il faut de bons résultats; pour trouver le temps d’étudier, il faut de la stabilité financière; et pour faire des activités parascolaires, il faut du temps ». 

Comme elle, bon nombre d’étudiantes et d’étudiants ont besoin des prêts et bourses pour poursuivre leurs études et s’ouvrir des portes. Tous les parents n’ont pas les moyens de payer l’université. Voilà pourquoi, après avoir tracé son propre chemin à force de persévérance et de résilience, elle a décidé d’aider ceux et celles qui vivent la même expérience.  

La jeune vice-présidente croit que tout le monde devrait avoir accès à l’éducation postsecondaire, et aux possibilités qui en découlent, peu importe son revenu familial. « J’ai adoré mon expérience à l’École Telfer, où j’ai passé de très belles années. Je m’étais promis de redonner à la communauté une fois que j’aurais obtenu mon diplôme », explique-t-elle. 

Pour ce faire, elle a notamment financé une nouvelle bourse sans exigence de résultats scolaires, pour permettre aux étudiantes et étudiants du B.Com. de se consacrer à leurs études et de participer à des activités parascolaires sans stress supplémentaire. C’est justement pour son engagement envers son alma mater et son soutien bienveillant pour la nouvelle génération d’étudiantes et étudiants qu’elle a été nommée Jeune donatrice de l’année.  

Les compétences générales, un atout précieux 

L’expérience préférée de Kim Angèle Vallières durant ses études à Telfer demeure l’organisation de l’Omnium financier, un concours d’études de cas, en 2017. À la tête du comité organisateur, elle a travaillé avec une équipe étudiante dans le but de rassembler 400 participantes et participants de 11 universités de tout l’Est du Canada, qui se sont affrontés pour résoudre des cas en finance et en comptabilité pour ensuite présenter leurs résultats devant un jury. Reconnaissante de l’appui qu’elle a reçu pour organiser cet événement, elle se dit fière d’avoir représenté l’École lors de cet événement riche en apprentissages. Encore à ce jour, sa passion pour Telfer Nation fait partie de son identité. 

Les concours d’études de cas, surtout dans leur domaine de spécialité, sont déterminants dans le développement de compétences comme le leadership, la tenue de budget et la gestion de commanditaires. « Les compétences générales acquises à l’université ont vraiment fait une différence dans ma carrière. Les relations avec la clientèle occupent une grande partie de mon travail : je dois être capable de traiter avec différentes personnes, et de faire des présentations devant des gens d’horizons variés. Il y aura quelqu’un pour faire les choses différemment. On doit apprendre à travailler avec ça, à s’adapter », confie Kim Angèle Vallières. 

Une fois son diplôme de baccalauréat en poche, cette dernière a continué à s’impliquer au sein de la communauté étudiante et dans les compétitions de cas, prenant le rôle de vice-présidente des compétitions du Regroupement étudiant des facultés d’administration de l’Est du Canada (RÉFAEC). Elle a ensuite occupé la présidence du Regroupement, représentant ainsi plus de 40 000 étudiantes et étudiants en commerce dans l’Est du Canada, tout en amorçant sa carrière à Marsh Canada.                                                          

L’importance d’étudier et de s’impliquer 

Kim Angèle Vallières pose pour une photo Outre son expérience étudiante, il était important pour Kim Angèle Vallières d’obtenir de bons résultats dans le but d’exceller dans sa future carrière et de répondre aux exigences d’employeurs potentiels. Elle sait maintenant que les notes sont très importantes, et que de nombreuses organisations portent attention à la moyenne pondérée cumulative au moment d’examiner les CV, mais que les compétences non techniques comme la confiance et la compréhension du monde des affaires comptent aussi. Dans son emploi actuel, elle puise souvent dans ses acquis scolaires, par exemple aux exposés oraux du cours Business Communications Skills (ADM 2381) qui lui ont appris à s’exprimer de façon concise et dynamique devant la classe dirigeante.  

Une question de contacts 

Aujourd’hui, Kim Angèle Vallières en assurances et gestion du risque. Elle aime les défis quotidiens de son emploi, de même que la clientèle diversifiée (secteurs aéronautique et manufacturier, transport ferroviaire pour voyageurs, sports et divertissement). Depuis cinq ans, elle apprend quelque chose de nouveau chaque jour, et se réjouit à la perspective de participer à la formation continue dans ce milieu de travail dynamique.  

Sa chance de commencer sa carrière à Marsh Canada, elle la doit en partie à ses études à l’École Telfer : « L’École traite les étudiantes et étudiants comme des adultes, comme des égaux. François Julien, le doyen de l’époque, nous donnait accès à de prestigieux contacts alors qu’on travaillait pour l’Omnium financier. » Par l’entremise du programme, elle a donc acquis diverses compétences et tissé de nouvelles relations, ce qui a facilité son cheminement professionnel. En plus de son expérience étudiante à l’extérieur des cours, Kim Angèle Vallières a été choisie pour participer au programme de mentorat par les cadres de l’École de gestion Telfer, où elle a eu l’occasion de recevoir des conseils de deux personnes aguerries pendant deux ans, ce qui a aussi eu une énorme influence sur sa carrière. Pour elle, Telfer est comme une grande famille où l’on prend soin les uns des autres : elle se réjouit d’ailleurs du succès de ses camarades diplômés, à qui elle souhaite de réussir.  

Selon elle, c’est ce sentiment d’appartenance, doublé du désir de redonner, qui permettra de créer une société plus heureuse, un point de vue qui correspond d’ailleurs à l’un des piliers de la vision Telfer pour un meilleur Canada. Elle pense qu’une fois cet objectif atteint, les autres morceaux du casse-tête se placeront naturellement, puisqu’une personne heureuse peut se concentrer sur sa carrière et bâtir une richesse familiale. 

Lorsqu’elle regarde vers l’avenir, Kim Angèle Vallières est enchantée à l’idée de continuer de progresser au sein de Marsh Canada, et d’avancer vers de plus hauts postes. Elle ajoute maintenant le prix Jeune donatrice de l’année à son impressionnant parcours. Nous avons hâte de voir tout ce qu’elle accomplira dans l’avenir, et nous la remercions de redonner à l’expérience étudiante à l’École Telfer. 

Pour en savoir plus sur l’expérience étudiante à l’École Telfer, consultez la section Apprentissage par l’expérience et le blogue La voix des étudiants dans le Carrefour du savoir. 

Au sujet de l'autrice ou de l'auteur

Jeune diplômée du programme de baccalauréat en sciences commerciales spécialisé à l’École de gestion Telfer, Sonya Gankina a déjà amorcé sa carrière en tant que consultante et rédactrice en marketing numérique. Ses trois années d’expérience en agence cumulées pendant ses études l’ont aidée à fonder sa propre entreprise, où elle travaille avec de petites boîtes de la région comme de vastes sociétés au Canada et aux États-Unis. On peut la lire dans plusieurs publications de renom, et dans un blogue sur les arts et la culture à Ottawa. <br><br>Sonya Gankina is a recent graduate from the Honours Bachelor of Commerce program at the Telfer School of Management and has already begun her career as a consultant and writer in digital marketing. Armed with three years of agency experience earned while completing her studies, she has established her own business working with local businesses and large enterprises in Canada and the United States. She’s been featured in numerous respectable publications and also writes for an arts and culture blog in Ottawa.

Profile Photo of Sonya Gankina